Le Raja a perdu devant le Zamalek d’Egypte (0-1) à cause d’un arbitrage scandaleux qui a privé les locaux, de l’avis de tous les sportifs arabes voire africains, de pas moins 3 penalties flagrants. Le malheur est que cet arbitre véreux, le Camerounais Alioum Nyant a refusé de se référer à la VAR (le seul arbitre au monde qui a refusé la nouvelle technologie qui tranche les différends sur le terrain).
Un arbitre qui n’a pas froid aux yeux
Devant une planète foot médusée, le Camerounais n’a pas eu froid aux yeux en regardant, en face, ses victimes protester contre des décisions scandaleuses qui ont choqué le monde sportif. Quand est-ce l’Afrique va-t-elle se débarrasser ; ou du moins arrêter cette hémorragie d’arbitrage à sens unique qui a toujours rongé le Continent au vu et au su de la FIFA ? Quand est-ce les responsables africains de foot prendront-ils le taureau par les cornes et mettre sur la touche des directeurs de jeu de l’acabit de cet sinistre arbitre.
Il a tellement faussé la partie qu’il n’a rien laissé à la presse pour disserter sur un match qu’il a faussé de bout en bout. Imaginer un peu, si « cet soi-disant juge » avait accordé le premier penalty flagrant, contre Rahimi, qu’en serait-il du Zamalek ? Tous les fans du RCA avaient « pronostiqué» 3-0 ou 3-1 en faveur du club casablancais. Non, non ce n’était pas du chauvinisme ou de la passion pure ; mais tout simplement une constatation logique de ce que peut réaliser le Raja en ces temps de forme étincelante. Puis tout au long de la rencontre, intelligemment, il a n’a pas levé le pouce sur les actions brutales contre Rahimi, Metouali et Hafidi alors que le moindre contact avec les Egyptiens est sanctionné manu militari.
Dans une vidéo qui circule, l’ex-international, égyptien Farouk Gaafar, avait déclaré devant la stupeur du journaliste qui l’a interviewé, qu’ «on s’assoyait avec un arbitre africain avant nos rencontres et que ce dernier nous disait: qu’est-ce que voulez ? Qu’on donne un penalty ou qu’on expulse un joueur ? ». Et parfois même, l’arbitre africain fait preuve d’initiative et applique les deux sanctions ; l’expulsion et le penalty. Souvenez-vous de la finale de la Coupe d’Afrique des Champions alors entre le Tarajji et le Raja lorsque l’arbitre d’entrée de jeu accord un penalty imaginaire à l’Espérance de Tunis et expulse Jrindou. Pour la petite histoire pour les jeunes générations. Cela n’a pas empêché les Verts marocains d’arracher la Coupe du cœur de la Tunisie.
Aujourd’hui, nous subissons toujours ce calvaire, plaie et honte de l’Afrique qui s’appelle l’arbitrage au plus offrant. Nous en avons souffert sur le mandat du non-regretté Issa Hayatou, (camerounais aussi) et nous continuons d’en subir sous le règne de « Ahmad deux fois ».
Un arbitre qui n’a pas froid aux yeux
Devant une planète foot médusée, le Camerounais n’a pas eu froid aux yeux en regardant, en face, ses victimes protester contre des décisions scandaleuses qui ont choqué le monde sportif. Quand est-ce l’Afrique va-t-elle se débarrasser ; ou du moins arrêter cette hémorragie d’arbitrage à sens unique qui a toujours rongé le Continent au vu et au su de la FIFA ? Quand est-ce les responsables africains de foot prendront-ils le taureau par les cornes et mettre sur la touche des directeurs de jeu de l’acabit de cet sinistre arbitre.
Il a tellement faussé la partie qu’il n’a rien laissé à la presse pour disserter sur un match qu’il a faussé de bout en bout. Imaginer un peu, si « cet soi-disant juge » avait accordé le premier penalty flagrant, contre Rahimi, qu’en serait-il du Zamalek ? Tous les fans du RCA avaient « pronostiqué» 3-0 ou 3-1 en faveur du club casablancais. Non, non ce n’était pas du chauvinisme ou de la passion pure ; mais tout simplement une constatation logique de ce que peut réaliser le Raja en ces temps de forme étincelante. Puis tout au long de la rencontre, intelligemment, il a n’a pas levé le pouce sur les actions brutales contre Rahimi, Metouali et Hafidi alors que le moindre contact avec les Egyptiens est sanctionné manu militari.
Dans une vidéo qui circule, l’ex-international, égyptien Farouk Gaafar, avait déclaré devant la stupeur du journaliste qui l’a interviewé, qu’ «on s’assoyait avec un arbitre africain avant nos rencontres et que ce dernier nous disait: qu’est-ce que voulez ? Qu’on donne un penalty ou qu’on expulse un joueur ? ». Et parfois même, l’arbitre africain fait preuve d’initiative et applique les deux sanctions ; l’expulsion et le penalty. Souvenez-vous de la finale de la Coupe d’Afrique des Champions alors entre le Tarajji et le Raja lorsque l’arbitre d’entrée de jeu accord un penalty imaginaire à l’Espérance de Tunis et expulse Jrindou. Pour la petite histoire pour les jeunes générations. Cela n’a pas empêché les Verts marocains d’arracher la Coupe du cœur de la Tunisie.
Aujourd’hui, nous subissons toujours ce calvaire, plaie et honte de l’Afrique qui s’appelle l’arbitrage au plus offrant. Nous en avons souffert sur le mandat du non-regretté Issa Hayatou, (camerounais aussi) et nous continuons d’en subir sous le règne de « Ahmad deux fois ».
A quand le nettoyage, Ahmad Ahmad ?
Si le Malgache, président de la Confédération Africaine de Football, n’est pas capable de faire face à cette pandémie, pire que Coronavirius, il n’a qu’à déposer les clés sous le paillasson. Les Marocains ne le respecteront plus. Car pour se réhabiliter aux yeux d’un pays qui l’a soutenu, il doit donner ses directives pour prendre des sanctions contre cet Sidi Alioum qui a maintenant 38 ans, né en 1982. Il a, encore, de belles années devant lui pour massacrer les clubs et les sélections africaines et … le football africain.