Zinédine Zidane peut dire merci à Ferland Mendy! Le défenseur français a permis au Real Madrid de venir à bout d’une Atalanta (1-0) réduite à dix pendant plus de 70 minutes, mercredi à Bergame, et l’a mis en position favorable en vue des quarts.
Plombé par des absences innombrables, dont le capitaine porte-bonheur Sergio Ramos et le goleador Karim Benzema, la confiance en berne après une phase de poules compliquée, le Real a assuré l’essentiel. Et peut entrevoir les quarts, un stade qu’il n’a plus atteint depuis 2018, grâce à une jolie frappe enroulée de Mendy dans les cinq dernières minutes.
«Je ne savais même pas quoi célébrer vu que c’est mon premier but en Ligue des champions», en a rigolé l’international français sur RMC Sport.
Héros de la fin de match, Mendy en a aussi été le détonateur au début en provoquant l’expulsion du milieu bergamasque Remo Freuler dès la 17e minute. La faute était évidente, le rouge sans doute sévère, mais l’arbitre n’a pas hésité, au grand dam de Gian Piero Gasperini.
«Le match a clairement été gâché par un épisode excessif», a pesté l’entraîneur italien, qui s’en est pris à un arbitrage tendant selon lui à «retirer toutes formes de contacts».
L’Atalanta avait reçu avant le match le soutien de quelques milliers de supporteurs rassemblés devant le stade en dépit d’une mise en garde des autorités sanitaires sur les risques de contagion du coronavirus. Elle ne pouvait redouter une pire entame pour le premier match à élimination directe de C1 disputé dans son stade.
Un exploit à Madrid ?
Elle s’est retrouvée dans un rôle à contre-emploi, à devoir défendre bas. D’autant que son son meilleur buteur en C1, Le Colombien Duvan Zapata, est sorti lui aussi à la demi-heure de jeu, sur blessure, laissant orphelin son compatriote et compère de l’attaque Luis Muriel, principalement dangereux sur une frappe non cadrée (41e).
Ce scénario a évidemment facilité la tâche d’un Real Madrid amoindri car privé, outre Benzema et Ramos, de Hazard, Marcelo et Carvajal. Avec Modric et Kroos en métronomes, un Vinicius très en jambes sur son côté gauche, et l’appui d’un Mendy offensif, l’histoire semblait écrite.
Vini Jr a beaucoup tenté, il a été contré (39e) alors que Gollini a dû sortir un arrêt réflexe sur un coup franc de Kroos (45e+1). Le gardien italien a été tout heureux de voir filer à côté une frappe contrée de Luka Modric (47e) puis une nouvelle frappe contrée de Vini Jr (53e), avant de bloquer un coup franc d’Asensio (72e).
L’Atalanta semblait tenir son 0-0 inespéré quand, finalement, Mendy a surgi, juste à temps, et Zidane a souri.
«On n’a pas fait un grand match, mais c’est un bon résultat, on marque un but à l’extérieur, on n’en encaisse pas...», a résumé l’entraîneur français.
La «Dea», elle, est désormais contrainte à un exploit à Madrid. Ca tombe bien, car si elle n’a encore jamais gagné à domicile cette saison en C1 (2 nuls, 2 défaites), elle a remporté ses trois matches à l’extérieur, notament à Liverpool et chez l’Ajax Amsterdam. Revoir les quarts, après l’échec de la saison dernière contre le Paris SG, est à ce prix.
Plombé par des absences innombrables, dont le capitaine porte-bonheur Sergio Ramos et le goleador Karim Benzema, la confiance en berne après une phase de poules compliquée, le Real a assuré l’essentiel. Et peut entrevoir les quarts, un stade qu’il n’a plus atteint depuis 2018, grâce à une jolie frappe enroulée de Mendy dans les cinq dernières minutes.
«Je ne savais même pas quoi célébrer vu que c’est mon premier but en Ligue des champions», en a rigolé l’international français sur RMC Sport.
Héros de la fin de match, Mendy en a aussi été le détonateur au début en provoquant l’expulsion du milieu bergamasque Remo Freuler dès la 17e minute. La faute était évidente, le rouge sans doute sévère, mais l’arbitre n’a pas hésité, au grand dam de Gian Piero Gasperini.
«Le match a clairement été gâché par un épisode excessif», a pesté l’entraîneur italien, qui s’en est pris à un arbitrage tendant selon lui à «retirer toutes formes de contacts».
L’Atalanta avait reçu avant le match le soutien de quelques milliers de supporteurs rassemblés devant le stade en dépit d’une mise en garde des autorités sanitaires sur les risques de contagion du coronavirus. Elle ne pouvait redouter une pire entame pour le premier match à élimination directe de C1 disputé dans son stade.
Un exploit à Madrid ?
Elle s’est retrouvée dans un rôle à contre-emploi, à devoir défendre bas. D’autant que son son meilleur buteur en C1, Le Colombien Duvan Zapata, est sorti lui aussi à la demi-heure de jeu, sur blessure, laissant orphelin son compatriote et compère de l’attaque Luis Muriel, principalement dangereux sur une frappe non cadrée (41e).
Ce scénario a évidemment facilité la tâche d’un Real Madrid amoindri car privé, outre Benzema et Ramos, de Hazard, Marcelo et Carvajal. Avec Modric et Kroos en métronomes, un Vinicius très en jambes sur son côté gauche, et l’appui d’un Mendy offensif, l’histoire semblait écrite.
Vini Jr a beaucoup tenté, il a été contré (39e) alors que Gollini a dû sortir un arrêt réflexe sur un coup franc de Kroos (45e+1). Le gardien italien a été tout heureux de voir filer à côté une frappe contrée de Luka Modric (47e) puis une nouvelle frappe contrée de Vini Jr (53e), avant de bloquer un coup franc d’Asensio (72e).
L’Atalanta semblait tenir son 0-0 inespéré quand, finalement, Mendy a surgi, juste à temps, et Zidane a souri.
«On n’a pas fait un grand match, mais c’est un bon résultat, on marque un but à l’extérieur, on n’en encaisse pas...», a résumé l’entraîneur français.
La «Dea», elle, est désormais contrainte à un exploit à Madrid. Ca tombe bien, car si elle n’a encore jamais gagné à domicile cette saison en C1 (2 nuls, 2 défaites), elle a remporté ses trois matches à l’extérieur, notament à Liverpool et chez l’Ajax Amsterdam. Revoir les quarts, après l’échec de la saison dernière contre le Paris SG, est à ce prix.