Libre de continuer: Manchester City, initialement suspendu deux ans des coupes d’Europe pour manquement au fair-play financier, a été autorisé en appel par le Tribunal arbitral du sport lundi à y participer: ses propriétaires émiratis peuvent donc continuer à rêver de gagner la C1 un jour.
Continuer à rêver de gagner la C1
En février dernier, la décision de l’UEFA de priver City d’une de ses principales sources de revenus avait créé une onde de choc importante. L’an dernier, l’apport de la Ligue des champions au budget pharaonique des Citizens avait atteint 93 millions d’euros rien qu’en droits télévisuels, auxquels étaient venus s’ajouter les revenus soir de match ou de sponsoring liés à l’évènement.
La perte d’une telle manne aurait posé la question du maintien d’un effectif compétitif, même si, à titre personnel, l’entraîneur Pep Guardiola s’était dit prêt à continuer.
Le Belge Kevin de Bruyne, au sommet de son art à 29 ans, par exemple, n’aurait pas eu deux ans à perdre sans disputer la compétition continentale reine. Une suspension aurait aussi posé la question des efforts financiers auxquels les propriétaires émiratis auraient été prêts à consentir, en l’absence de cette vitrine, malgré la popularité de la Premier League.
Amende abaissée à 10 M EUR
Au final, pas de suspension, et une amende initiale de 30 M EUR abaissée à 10 M EUR simplement pour mauvaise coopération avec les autorités.
Manchester City n’a en tout cas jamais varié de son attitude défiante, voire méprisante selon certains, vis à vis de cette procédure, de la sanction et du principe du fair-play financier lui même.
Quelques secondes à peine après leur exclusion pour deux ans, ils avaient tiré à boulets rouges sur l’UEFA, juge et partie, et sur une procédure «biaisée».
De même, ils n’ont eu de cesse d’afficher leur confiance dans une issue favorable.
Le point de départ de la procédure est issu des Football Leaks, une enquête réalisée par un consortium de journaux européens, qui avait révélé le recours par le club mancunien à des contrats de sponsoring surévalués et à des contrats détournés pour alléger sa masse salariale.
Manchester City s’était déjà vu infliger une amende de 60 millions d’euros, dont 20 millions ferme, en 2014, pour avoir enfreint les règles du FPF.
Maintenant qu’il est fixé, Manchester va en tout cas pouvoir se tourner vers le terrain et notamment l’édition de la C1 de cette année, pour laquelle les Anglais sont encore en course.
Continuer à rêver de gagner la C1
En février dernier, la décision de l’UEFA de priver City d’une de ses principales sources de revenus avait créé une onde de choc importante. L’an dernier, l’apport de la Ligue des champions au budget pharaonique des Citizens avait atteint 93 millions d’euros rien qu’en droits télévisuels, auxquels étaient venus s’ajouter les revenus soir de match ou de sponsoring liés à l’évènement.
La perte d’une telle manne aurait posé la question du maintien d’un effectif compétitif, même si, à titre personnel, l’entraîneur Pep Guardiola s’était dit prêt à continuer.
Le Belge Kevin de Bruyne, au sommet de son art à 29 ans, par exemple, n’aurait pas eu deux ans à perdre sans disputer la compétition continentale reine. Une suspension aurait aussi posé la question des efforts financiers auxquels les propriétaires émiratis auraient été prêts à consentir, en l’absence de cette vitrine, malgré la popularité de la Premier League.
Amende abaissée à 10 M EUR
Au final, pas de suspension, et une amende initiale de 30 M EUR abaissée à 10 M EUR simplement pour mauvaise coopération avec les autorités.
Manchester City n’a en tout cas jamais varié de son attitude défiante, voire méprisante selon certains, vis à vis de cette procédure, de la sanction et du principe du fair-play financier lui même.
Quelques secondes à peine après leur exclusion pour deux ans, ils avaient tiré à boulets rouges sur l’UEFA, juge et partie, et sur une procédure «biaisée».
De même, ils n’ont eu de cesse d’afficher leur confiance dans une issue favorable.
Le point de départ de la procédure est issu des Football Leaks, une enquête réalisée par un consortium de journaux européens, qui avait révélé le recours par le club mancunien à des contrats de sponsoring surévalués et à des contrats détournés pour alléger sa masse salariale.
Manchester City s’était déjà vu infliger une amende de 60 millions d’euros, dont 20 millions ferme, en 2014, pour avoir enfreint les règles du FPF.
Maintenant qu’il est fixé, Manchester va en tout cas pouvoir se tourner vers le terrain et notamment l’édition de la C1 de cette année, pour laquelle les Anglais sont encore en course.