Quique Setién sera-t-il l'entraîneur du FC Barcelone en Ligue des champions, début août ? Conforté par la direction du club lundi, le technicien ne convainc pas, et se trouve encore sur un siège éjectable avant le dernier match de la saison sur le terrain d'Alavés, joué hier dimanche.
La désillusion de trop ? Alors que le Barça n'avait déjà pas son destin en mains pour continuer à croire en ses chances de titre en Liga jeudi, les Catalans ont creusé leur propre trou en concédant leur première défaite depuis la reprise de la compétition 2-1 contre Osasuna, pour leur dernier match de championnat au Camp Nou.
Tous les regards se sont alors tournés sur Quique Setién: le technicien volontaire pour la mission kamikaze de redresser la saison du Barça à la place d'Ernesto Valverde en janvier a raté son pari et sa place sur le banc blaugrana s'en est à nouveau trouvée menacée.
"Quique Setién dirigera l'équipe pour ce qu'il reste de la Liga et en Ligue des champions. Notre volonté est d'aller au bout de son contrat, et qu'il reste la saison prochaine", a pourtant assuré le président du Barça, Josep Maria Bartomeu, lundi dans un entretien à la chaîne régionale TV3.
Mais l'homme recruté pour rendre son ADN au Barça a failli dans sa mission.
Après un premier match impressionnant le 19 janvier contre Grenade, où les Blaugranas avaient effectué 1.005 passes (dont 921 réussies, soit 92%) pour se rapprocher des meilleurs quotas de la grande époque Pep Guardiola (2008-2012), le Barça a continué à s'enliser dans sa saison cauchemar, ponctuée par des résultats décevants (dont la défaite 2-0 dans le clasico retour de Liga au Bernabeu, le 1er mars) et des scandales en série.
Et après le revers contre Osasuna jeudi, l'assurance transmise par le président Bartomeu s'est délitée : "J'espère être l'entraîneur du Barça en Ligue des champions", a timidement osé prononcer Setién à la sortie du terrain, jeudi soir.
Un revirement accentué par la perte de la couronne nationale au profit de l'ennemi juré, le Real Madrid, et par la colère noire du capitaine Lionel Messi, qui a tapé du poing sur la table en direct à la TV Movistar+ jeudi soir : "Il faut faire une autocritique, à commencer par les joueurs, mais une autocritique globale", a tonné l'Argentin.
La désillusion de trop ? Alors que le Barça n'avait déjà pas son destin en mains pour continuer à croire en ses chances de titre en Liga jeudi, les Catalans ont creusé leur propre trou en concédant leur première défaite depuis la reprise de la compétition 2-1 contre Osasuna, pour leur dernier match de championnat au Camp Nou.
Tous les regards se sont alors tournés sur Quique Setién: le technicien volontaire pour la mission kamikaze de redresser la saison du Barça à la place d'Ernesto Valverde en janvier a raté son pari et sa place sur le banc blaugrana s'en est à nouveau trouvée menacée.
"Quique Setién dirigera l'équipe pour ce qu'il reste de la Liga et en Ligue des champions. Notre volonté est d'aller au bout de son contrat, et qu'il reste la saison prochaine", a pourtant assuré le président du Barça, Josep Maria Bartomeu, lundi dans un entretien à la chaîne régionale TV3.
Mais l'homme recruté pour rendre son ADN au Barça a failli dans sa mission.
Après un premier match impressionnant le 19 janvier contre Grenade, où les Blaugranas avaient effectué 1.005 passes (dont 921 réussies, soit 92%) pour se rapprocher des meilleurs quotas de la grande époque Pep Guardiola (2008-2012), le Barça a continué à s'enliser dans sa saison cauchemar, ponctuée par des résultats décevants (dont la défaite 2-0 dans le clasico retour de Liga au Bernabeu, le 1er mars) et des scandales en série.
Et après le revers contre Osasuna jeudi, l'assurance transmise par le président Bartomeu s'est délitée : "J'espère être l'entraîneur du Barça en Ligue des champions", a timidement osé prononcer Setién à la sortie du terrain, jeudi soir.
Un revirement accentué par la perte de la couronne nationale au profit de l'ennemi juré, le Real Madrid, et par la colère noire du capitaine Lionel Messi, qui a tapé du poing sur la table en direct à la TV Movistar+ jeudi soir : "Il faut faire une autocritique, à commencer par les joueurs, mais une autocritique globale", a tonné l'Argentin.