Le Maroc, en tant que signataire de la Convention internationale contre le dopage dans le sport, est entré de plein dans cette bataille. Depuis la ratification par le Maroc le 15 avril 2009, la lutte contre toutes les formes de dopage dans le sport est devenue une des premières préoccupations du Département du sport. Cette lutte a commencé par la mise en place de Lois et de textes réglementaires pour se mettre au niveau des normes internationales. Vint ensuite la création de l’Agence Marocaine Anti Dopage (AMAD) en 2017.
Les missions de l’AMAD Selon la Loi 97-12, l’AMAD s’était vue confier les missions suivantes :
• Préparer et exécuter le programme annuel des actions de contrôle antidopage dans le sport sous toutes ses formes ;
• Coordonner les actions de prévention et de lutte contre le dopage ;
• Proposer toute mesure de nature à permettre la prévention et la lutte contre le dopage ;
• Entreprendre des campagnes d’information, à travers tous les moyens possibles, afin d’informer le public et les intéressés des mesures législatives, réglementaires et fédérales prévues pour la lutte contre le dopage ;
• Mettre en oeuvre un programme d’éducation, de formation et de sensibilisation, aussi bien pour les sportifs que pour le personnel d’encadrement, se rapportant aux effets négatifs du dopage sur l’éthique et les valeurs du sport, ses conséquences sur la santé, les droits et les devoirs du sportif à ce sujet et les voies et moyens d’éviter le recours au dopage dans la pratique et la compétition sportives ;
• Statuer sur tous les dossiers à caractère disciplinaire relatifs aux affaires de dopage ;
• Participer aux études et recherches et au développement de la recherche scientifique en matière de lutte contre le dopage ainsi que les moyens et méthodes de sa découverte.
Depuis la ratification par le Maroc de la Convention internationale contre le dopage dans le sport en 2009, ces missions ont été assurées par une Division du ministère de la Jeunesse et des Sports appelée « médecine du sport ». Mais les pouvoirs publics ont décidé de la création d’une Agence gouvernementale dotée de la personne juridique morale afin qu’elle dispose des moyens financiers, matériels et humains pour jouer pleinement son rôle.
Une dame à la tête de l’AMAD
Le démarrage effectif de l’AMAD n’a eu lieu qu’après la nomination d’une présidente en la personne du Docteur Fatima Abouali en septembre 2020. Médecin de formation ayant suivi d’autres formations spécialisées en chimie et en médecine du sport, elle est considérée comme la seule marocaine habilitée à assumer cette responsabilité d’autant plus qu’elle avait une grande expérience de par ses fonctions précédentes au sein du ministère de la Jeunesse et des Sports en tant que Cheftaine de la Division de médecine du sport. C’est elle qui a mis en place l’organigramme de l’Agence et finalisé tous les documents du travail.
Actuellement, l’AMAD a ouvert plusieurs chantiers en vue de sensibiliser tous les intervenants dans le domaine du sport. Elle a été reconnue par l’Agence Mondiale Antidopage (AMA) et fait partie, désormais, du réseau mondial qui défend l’intégrité du sport et l’éthique sportive.
Les missions de l’AMAD Selon la Loi 97-12, l’AMAD s’était vue confier les missions suivantes :
• Préparer et exécuter le programme annuel des actions de contrôle antidopage dans le sport sous toutes ses formes ;
• Coordonner les actions de prévention et de lutte contre le dopage ;
• Proposer toute mesure de nature à permettre la prévention et la lutte contre le dopage ;
• Entreprendre des campagnes d’information, à travers tous les moyens possibles, afin d’informer le public et les intéressés des mesures législatives, réglementaires et fédérales prévues pour la lutte contre le dopage ;
• Mettre en oeuvre un programme d’éducation, de formation et de sensibilisation, aussi bien pour les sportifs que pour le personnel d’encadrement, se rapportant aux effets négatifs du dopage sur l’éthique et les valeurs du sport, ses conséquences sur la santé, les droits et les devoirs du sportif à ce sujet et les voies et moyens d’éviter le recours au dopage dans la pratique et la compétition sportives ;
• Statuer sur tous les dossiers à caractère disciplinaire relatifs aux affaires de dopage ;
• Participer aux études et recherches et au développement de la recherche scientifique en matière de lutte contre le dopage ainsi que les moyens et méthodes de sa découverte.
Depuis la ratification par le Maroc de la Convention internationale contre le dopage dans le sport en 2009, ces missions ont été assurées par une Division du ministère de la Jeunesse et des Sports appelée « médecine du sport ». Mais les pouvoirs publics ont décidé de la création d’une Agence gouvernementale dotée de la personne juridique morale afin qu’elle dispose des moyens financiers, matériels et humains pour jouer pleinement son rôle.
Une dame à la tête de l’AMAD
Le démarrage effectif de l’AMAD n’a eu lieu qu’après la nomination d’une présidente en la personne du Docteur Fatima Abouali en septembre 2020. Médecin de formation ayant suivi d’autres formations spécialisées en chimie et en médecine du sport, elle est considérée comme la seule marocaine habilitée à assumer cette responsabilité d’autant plus qu’elle avait une grande expérience de par ses fonctions précédentes au sein du ministère de la Jeunesse et des Sports en tant que Cheftaine de la Division de médecine du sport. C’est elle qui a mis en place l’organigramme de l’Agence et finalisé tous les documents du travail.
Actuellement, l’AMAD a ouvert plusieurs chantiers en vue de sensibiliser tous les intervenants dans le domaine du sport. Elle a été reconnue par l’Agence Mondiale Antidopage (AMA) et fait partie, désormais, du réseau mondial qui défend l’intégrité du sport et l’éthique sportive.