L’ancien président du MAT et actuel membre fédéral Abdelmalek Abroune est de nouveau sur la scène sportive. Il pointe du doigt son successeur Redouane Ghazi qu’il met sur la sellette à la suite d’un litige financier qui pourrait faire couler beaucoup d’encre.
A vrai dire, le torchon brule entre les deux importants hommes du football tétouanais. Que se passe-t-il pour qu’ils arrivent à un désaccord total ? Abdelmalek Abroune a révélé à la presse nationale que son dossier trainait depuis trois ans au bureau de la première équipe de la ville. Il réclame son argent dépensé ou prêté avec des pièces justificatives et reconnues par le propre comité.
Abroune a déclaré : "Les autorités compétentes ont statué en ma faveur, concernant mes contributions financières, qui s'élèvent à 700 millions de centimes. La revendication de mon droit ne signifie pas que je suis contre le MAT ou les intérêts du club. J'ai essayé de diverses manières avec le président actuel de trouver des solutions qui satisferont toutes les parties, mais ce dernier a refusé de comprendre. J'ai attendu trois ans, et je n'ai rien atteint, et avant de partir, je me suis assis avec le président actuel, pour trouver une formule pour faciliter le processus de réception du montant mentionné, par le biais de paiements, mais Redouane Ghazi n'a pas respecté cet accord", disait Abroune.
Et il a ajouté : "Tout président doit être patient, courageux et accepter le club, quelle que soit sa situation financière, et c'est ce que j'ai fait pendant la période où j'étais président. Certaines parties cherchent à exploiter cette question et à promouvoir ma description d'ennemi du club, mais je voudrais dire que de telles actions ne réussiront pas et que mon image restera positive et ma relation est bonne avec le MAT de Tétouan et ses supporters ».
Il a conclu son discours en adressant un message aux supporters de Tétouan en disant : "Je resterai fidèle et aimant envers le club. Je ne revendique que mes droits".
Tous les sportifs de la deuxième capitale du Nord attendent avec impatience le dénouement de cette affaire qui est entre les mains des autorités compétences de la justice.
Pour le moment, le club se retrouve dans une situation financière très délicate. La FIFA et la FRMF lui réclament de l’argent pour le non respect des contrats des anciens entraineurs espagnols et des footballeurs étrangers.
La dernière déclaration du président Redouane Ghazi donne beaucoup à réfléchir : « Le comité n’a reçu aucun sou depuis plus de six mois. Nous n’avons aucun sponsor et les conseils élus ne nous aident pas ».
Aux toutes dernières minutes, une autre décision fédérale vient de secouer le comité : le MAT sera privé de la subvention 250 millions de centimes des droits de la télévision. D’où vient l’argent pour payer régulièrement l’effectif joueurs et le staff technique est la question qui se pose dans les coulisses.
Avec la crise de la pandémie, il n’y a plus de public au stade Saniat Rmel et la société familiale Ghazi distributive du lait subventionne l’équipe mais jusqu’à quand.
Ainsi, il parait que le dossier de ce litige restera sans issue et les biens du MAT pourraient être saisis un
jour sur ordre du Tribunal. Affaire à suivre qui explique bien que le football marocain est encore loin de toute structuration professionnelle.
A vrai dire, le torchon brule entre les deux importants hommes du football tétouanais. Que se passe-t-il pour qu’ils arrivent à un désaccord total ? Abdelmalek Abroune a révélé à la presse nationale que son dossier trainait depuis trois ans au bureau de la première équipe de la ville. Il réclame son argent dépensé ou prêté avec des pièces justificatives et reconnues par le propre comité.
Abroune a déclaré : "Les autorités compétentes ont statué en ma faveur, concernant mes contributions financières, qui s'élèvent à 700 millions de centimes. La revendication de mon droit ne signifie pas que je suis contre le MAT ou les intérêts du club. J'ai essayé de diverses manières avec le président actuel de trouver des solutions qui satisferont toutes les parties, mais ce dernier a refusé de comprendre. J'ai attendu trois ans, et je n'ai rien atteint, et avant de partir, je me suis assis avec le président actuel, pour trouver une formule pour faciliter le processus de réception du montant mentionné, par le biais de paiements, mais Redouane Ghazi n'a pas respecté cet accord", disait Abroune.
Et il a ajouté : "Tout président doit être patient, courageux et accepter le club, quelle que soit sa situation financière, et c'est ce que j'ai fait pendant la période où j'étais président. Certaines parties cherchent à exploiter cette question et à promouvoir ma description d'ennemi du club, mais je voudrais dire que de telles actions ne réussiront pas et que mon image restera positive et ma relation est bonne avec le MAT de Tétouan et ses supporters ».
Il a conclu son discours en adressant un message aux supporters de Tétouan en disant : "Je resterai fidèle et aimant envers le club. Je ne revendique que mes droits".
Tous les sportifs de la deuxième capitale du Nord attendent avec impatience le dénouement de cette affaire qui est entre les mains des autorités compétences de la justice.
Pour le moment, le club se retrouve dans une situation financière très délicate. La FIFA et la FRMF lui réclament de l’argent pour le non respect des contrats des anciens entraineurs espagnols et des footballeurs étrangers.
La dernière déclaration du président Redouane Ghazi donne beaucoup à réfléchir : « Le comité n’a reçu aucun sou depuis plus de six mois. Nous n’avons aucun sponsor et les conseils élus ne nous aident pas ».
Aux toutes dernières minutes, une autre décision fédérale vient de secouer le comité : le MAT sera privé de la subvention 250 millions de centimes des droits de la télévision. D’où vient l’argent pour payer régulièrement l’effectif joueurs et le staff technique est la question qui se pose dans les coulisses.
Avec la crise de la pandémie, il n’y a plus de public au stade Saniat Rmel et la société familiale Ghazi distributive du lait subventionne l’équipe mais jusqu’à quand.
Ainsi, il parait que le dossier de ce litige restera sans issue et les biens du MAT pourraient être saisis un
jour sur ordre du Tribunal. Affaire à suivre qui explique bien que le football marocain est encore loin de toute structuration professionnelle.