Le gouvernement Angela Merkel compte nommer un nouvel ambassadeur au Maroc, plusieurs noms apparaissent pour la succession. Le choix semble porter sur Thomas Peter Zahneisen, un diplomate qui occupe actuellement le poste de directeur de l’aide humanitaire au sein du ministère allemand des Affaires étrangères.
En effet, avec le départ de Götz Schmidt- Bremme, Berlin veut dépasser le blocage actuel, sachant que les relations bilatérales sont en gel. Le ministère des Affaires étrangères a bloqué tout rapport formel avec l’ambassade d’Allemagne à Rabat et n’a pas manqué de rappeler son ambassadrice à Berlin, Zohour Alaoui, pour concertations, et ce, à la stupéfaction générale du gouvernement allemand qui a manifesté son incompréhension de la colère de Rabat.
Pourtant, les raisons sont claires : le Maroc reproche au pays d’Angela Merkel une attitude perfide et hostile vis-à-vis de son intégrité territoriale... L’Allemagne a été le premier pays à se lever contre la reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara en n’ayant pas hésité à appeler à une réunion du Conseil de Sécurité le lendemain de la décision de Trump. Les agissements de Berlin ne se sont pas arrêtés là. Le Parlement régional de Bremen a ostensiblement accueilli une délégation du Polisario.
La situation s’est exacerbée suite à l’exclusion du Maroc de la Conférence Berlin I sur la Libye, ce qui a poussé le Maroc à hausser le ton. Les contacts sont quasiment gelés jusqu’à présent. Pour autant, les ministres des Affaires étrangères des deux pays, Nasser Bourita et Heiko Maas, ont eu l’occasion de s’entretenir brièvement, à l’abri des caméras, lors du Sommet du G20 tenu en Italie.
En effet, avec le départ de Götz Schmidt- Bremme, Berlin veut dépasser le blocage actuel, sachant que les relations bilatérales sont en gel. Le ministère des Affaires étrangères a bloqué tout rapport formel avec l’ambassade d’Allemagne à Rabat et n’a pas manqué de rappeler son ambassadrice à Berlin, Zohour Alaoui, pour concertations, et ce, à la stupéfaction générale du gouvernement allemand qui a manifesté son incompréhension de la colère de Rabat.
Pourtant, les raisons sont claires : le Maroc reproche au pays d’Angela Merkel une attitude perfide et hostile vis-à-vis de son intégrité territoriale... L’Allemagne a été le premier pays à se lever contre la reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara en n’ayant pas hésité à appeler à une réunion du Conseil de Sécurité le lendemain de la décision de Trump. Les agissements de Berlin ne se sont pas arrêtés là. Le Parlement régional de Bremen a ostensiblement accueilli une délégation du Polisario.
La situation s’est exacerbée suite à l’exclusion du Maroc de la Conférence Berlin I sur la Libye, ce qui a poussé le Maroc à hausser le ton. Les contacts sont quasiment gelés jusqu’à présent. Pour autant, les ministres des Affaires étrangères des deux pays, Nasser Bourita et Heiko Maas, ont eu l’occasion de s’entretenir brièvement, à l’abri des caméras, lors du Sommet du G20 tenu en Italie.
Anass MACHLOUKH