La composante sous-jacente de cette inflation devrait osciller autour de 2,3% cette année et en 2025, indique BAM dans un communiqué publié à l'issue de la première réunion de son Conseil en 2024.
Après le pic de 10,1% atteint en février 2023, l'inflation s'est inscrite en baisse, revenant à 3,4% en décembre pour terminer l'année 2023 avec une moyenne de 6,1%, après 6,6% en 2022, fait savoir la même source, ajoutant que la composante sous-jacente a suivi une trajectoire similaire, passant de 6,6% en 2022 à 5,6% en 2023.
Aussi, le Conseil a pris note qu'après deux trimestres successifs de baisse, les anticipations d'inflation à moyen terme, telles qu'elles ressortent de l'enquête trimestrielle de BAM auprès des experts du secteur financier, ont connu une quasi-stabilité au premier trimestre de 2024.
Sur le plan de la transmission de la politique monétaire, les taux débiteurs se sont stabilisés au dernier trimestre de 2023, l'accroissement total depuis le début du resserrement monétaire se maintenant ainsi à 112 points de base (pbs) contre 150 pbs pour le taux directeur.
La hausse des taux a concerné davantage les entreprises que les particuliers et a été moins importante pour les très petites, petites et moyennes entreprises (TPME) que pour les grandes entreprises.
Après le pic de 10,1% atteint en février 2023, l'inflation s'est inscrite en baisse, revenant à 3,4% en décembre pour terminer l'année 2023 avec une moyenne de 6,1%, après 6,6% en 2022, fait savoir la même source, ajoutant que la composante sous-jacente a suivi une trajectoire similaire, passant de 6,6% en 2022 à 5,6% en 2023.
Aussi, le Conseil a pris note qu'après deux trimestres successifs de baisse, les anticipations d'inflation à moyen terme, telles qu'elles ressortent de l'enquête trimestrielle de BAM auprès des experts du secteur financier, ont connu une quasi-stabilité au premier trimestre de 2024.
Sur le plan de la transmission de la politique monétaire, les taux débiteurs se sont stabilisés au dernier trimestre de 2023, l'accroissement total depuis le début du resserrement monétaire se maintenant ainsi à 112 points de base (pbs) contre 150 pbs pour le taux directeur.
La hausse des taux a concerné davantage les entreprises que les particuliers et a été moins importante pour les très petites, petites et moyennes entreprises (TPME) que pour les grandes entreprises.