Ziyech l'artiste
Ziyech a fait l'essentiel, le nécessaire et le spectacle. Omniprésent en attaque, sur les 4 réalisations marocaines, il était actif. Sur le premier but, sa remise à Hakimi était lumineuse. Il a concrétisé le penalty obtenu par El Arabi redonnant l'avantage à l'équipe nationale. Son centre-tir a trouvé les filets centrafricains pour le 3ème but. Il a été l'initiateur de l'action aboutissant au 4ème. Altruiste, artiste, gaucher magique, efficace, bâtisseur, finisseur...Ziyech est en train de se propulser et de propulser la sélection nationale.
Des joueurs qui ont la grinta !
Malgré quelques frayeurs, malgré un penalty évident refusé aux visiteurs et un but invalidé pour hors-jeu, les Marocains dans l'ensemble ont bien géré le match. On sent bien quelque chose en construction. Vahid Halilhodzic est en train de bâtir sa propre équipe avec sa propre touche. Il est en train de lui donner une âme et un corps. Des joueurs psychologiquement présents et conscients de leur rôle. Ils ne sont pas là pour faire le tourisme. Ils sont engagés et agressifs. Une certaine "grinta" est en train de naître. Des joueurs qui mouillent leurs maillots. C'est l'une des grandes satisfactions de la soirée. Des joueurs qui sont en train de former un collectif. L'individu au service du groupe et non le contraire. La marge de progression est là. La cohésion n'est qu'une question de temps. Il y a encore quelques semaines, la majorité des joueurs n'avait jamais joué ensemble. Les mécanismes demandent du temps.
A la recherche d'un arrière gauche de métier !
Vahid Halilhodzic est toujours à la recherche d'un arrière gauche de métier. Il a multiplié les tests. Il n'arrive pas à trouver son homme. Mandil ne répond pas aux exigences. Il est loin de sa forme. En attendant un éventuel retour de ce dernier, le sélectionneur national poursuit sa quête. Vendredi soir, il a testé Roman Saiss. Mais le latéral gauche de la soirée n'était pas performant. Il est mieux dans son poste habituel. Le seul qui puisse faire l'affaire pour le moment est Hakimi. Seulement, le patron de l'équipe nationale préfère exploiter ses talents ailleurs.
Une défense axiale à revoir !
La faille de la soirée était défensive. La défense axiale a été flottante et surtout lente. Sa réactivité manquait de vitesse. Elle a été prise en défaut sur les balles en profondeur dans le dos de nos deux défenseurs axiaux Mamaee et Feddal. Le but encaissé en était l'illustration. Aguerd sera d'un grand secours. Il est très réactif, plus rapide et gestionnaire de sa défense et même des joueurs médians. Il est même généreux en mouvements offensifs au point de devenir buteur.
Une imminente qualification
Elle est très proche. Elle sera très utile. Elle permettra de poursuivre en toute sérénité le chantier pour colmater les quelques brèches qui restent encore. Trois points nous séparent de la prochaine CAN. Les ingrédients sont là. Le match se déroule sur un terrain neutre, à Douala au Cameroun. Le staff technique dispose des séquences du match de vendredi pour mieux gérer celui de mardi. Il n'y a plus d'effet de surprise.
Ziyech a fait l'essentiel, le nécessaire et le spectacle. Omniprésent en attaque, sur les 4 réalisations marocaines, il était actif. Sur le premier but, sa remise à Hakimi était lumineuse. Il a concrétisé le penalty obtenu par El Arabi redonnant l'avantage à l'équipe nationale. Son centre-tir a trouvé les filets centrafricains pour le 3ème but. Il a été l'initiateur de l'action aboutissant au 4ème. Altruiste, artiste, gaucher magique, efficace, bâtisseur, finisseur...Ziyech est en train de se propulser et de propulser la sélection nationale.
Des joueurs qui ont la grinta !
Malgré quelques frayeurs, malgré un penalty évident refusé aux visiteurs et un but invalidé pour hors-jeu, les Marocains dans l'ensemble ont bien géré le match. On sent bien quelque chose en construction. Vahid Halilhodzic est en train de bâtir sa propre équipe avec sa propre touche. Il est en train de lui donner une âme et un corps. Des joueurs psychologiquement présents et conscients de leur rôle. Ils ne sont pas là pour faire le tourisme. Ils sont engagés et agressifs. Une certaine "grinta" est en train de naître. Des joueurs qui mouillent leurs maillots. C'est l'une des grandes satisfactions de la soirée. Des joueurs qui sont en train de former un collectif. L'individu au service du groupe et non le contraire. La marge de progression est là. La cohésion n'est qu'une question de temps. Il y a encore quelques semaines, la majorité des joueurs n'avait jamais joué ensemble. Les mécanismes demandent du temps.
A la recherche d'un arrière gauche de métier !
Vahid Halilhodzic est toujours à la recherche d'un arrière gauche de métier. Il a multiplié les tests. Il n'arrive pas à trouver son homme. Mandil ne répond pas aux exigences. Il est loin de sa forme. En attendant un éventuel retour de ce dernier, le sélectionneur national poursuit sa quête. Vendredi soir, il a testé Roman Saiss. Mais le latéral gauche de la soirée n'était pas performant. Il est mieux dans son poste habituel. Le seul qui puisse faire l'affaire pour le moment est Hakimi. Seulement, le patron de l'équipe nationale préfère exploiter ses talents ailleurs.
Une défense axiale à revoir !
La faille de la soirée était défensive. La défense axiale a été flottante et surtout lente. Sa réactivité manquait de vitesse. Elle a été prise en défaut sur les balles en profondeur dans le dos de nos deux défenseurs axiaux Mamaee et Feddal. Le but encaissé en était l'illustration. Aguerd sera d'un grand secours. Il est très réactif, plus rapide et gestionnaire de sa défense et même des joueurs médians. Il est même généreux en mouvements offensifs au point de devenir buteur.
Une imminente qualification
Elle est très proche. Elle sera très utile. Elle permettra de poursuivre en toute sérénité le chantier pour colmater les quelques brèches qui restent encore. Trois points nous séparent de la prochaine CAN. Les ingrédients sont là. Le match se déroule sur un terrain neutre, à Douala au Cameroun. Le staff technique dispose des séquences du match de vendredi pour mieux gérer celui de mardi. Il n'y a plus d'effet de surprise.