Lors du séminaire organisé, mercredi en marge de la 38ème édition du festival du film de Haïfa, les organisateurs ont passé en revue les perspectives de coopération maroco-israélienne dans le secteur cinématographique.
Les films des réalisateurs marocains projetés lors de la 38ème édition du festival du film de Haïfa ont connu un franc succès, ce qui crée, selon les organisateurs, un terrain propice pour envisager de futures coproductions maroco-israéliennes.
Lors de la 2ème table ronde tenue en marge du festival, le directeur artistique, Yaron Shamir, a mis en exergue le développement que connaît la scène cinématographique marocaine et qui offre de nouvelles perspectives de partenariat entre les deux pays. «Nous avons insisté sur la présence du cinéma marocain lors du festival du film de Haïfa, en particulier le cinéma féminin qui a connu un développement qualitatif important ces dernières années, reflété dans la participation relevée dans les grands festivals”.
Il a aussi ajouté que les sept films marocains projetés, lors de cette édition, ont connu un succès majeur du fait que de nombreux juifs sont originaires du Maroc et apprécient vivement la présence du cinéma marocain à ce festival.
Dans son intervention, la productrice internationale marocaine Khadija Alami a mis en lumière le cinéma et la production cinématographique au Maroc, considérant que le Royaume est désormais connu comme destination prisée pour le tournage de films internationaux.
Et d'ajouter que le Maroc compte de nombreux réalisateurs déclinant de nouvelles visions, ainsi que des équipes techniques expérimentées.
Pour sa part, Rafael Barbibay, responsable de la Chambre de commerce et d’industrie Maroc-Israël, a exhorté les acteurs de cinéma des deux pays à établir des partenariats et des productions conjointes, les invitant à développer le dialogue et les échanges dans ce sens.
De son côté, Youssef Britel, représentant du ministère de la Culture et de la Communication, a expliqué que des démarches sont en cours pour signer un accord entre les deux pays sur la production cinématographique.
Par ailleurs, il a souligné la volonté du gouvernement marocain de développer et de promouvoir le secteur cinématographique, en évoquant à cet égard le programme visant la réhabilitation de 150 cinémas dans plusieurs régions marocaines.
Dans le même sens, la productrice a mis en lumière les incitations financières et fiscales fournies par le Maroc pour encourager les investissements étrangers, les tournages et les projets de production au Maroc.
Pour rappel, sept films ont été programmés lors du festival du film de Haïfa: «Le Blue du Caftan » (2022), «Aya and the Sea», «Adam» de Maryam Touzani (2019), «Malakat» de Yasmine Benkirane (2022), «Rock the Casbah» de Leila Marrakchi (2013), «Ya Khail Allah» (2013) et «Ali Zaoua» de Nabil Ayouch (2000).
Les films des réalisateurs marocains projetés lors de la 38ème édition du festival du film de Haïfa ont connu un franc succès, ce qui crée, selon les organisateurs, un terrain propice pour envisager de futures coproductions maroco-israéliennes.
Lors de la 2ème table ronde tenue en marge du festival, le directeur artistique, Yaron Shamir, a mis en exergue le développement que connaît la scène cinématographique marocaine et qui offre de nouvelles perspectives de partenariat entre les deux pays. «Nous avons insisté sur la présence du cinéma marocain lors du festival du film de Haïfa, en particulier le cinéma féminin qui a connu un développement qualitatif important ces dernières années, reflété dans la participation relevée dans les grands festivals”.
Il a aussi ajouté que les sept films marocains projetés, lors de cette édition, ont connu un succès majeur du fait que de nombreux juifs sont originaires du Maroc et apprécient vivement la présence du cinéma marocain à ce festival.
Dans son intervention, la productrice internationale marocaine Khadija Alami a mis en lumière le cinéma et la production cinématographique au Maroc, considérant que le Royaume est désormais connu comme destination prisée pour le tournage de films internationaux.
Et d'ajouter que le Maroc compte de nombreux réalisateurs déclinant de nouvelles visions, ainsi que des équipes techniques expérimentées.
Pour sa part, Rafael Barbibay, responsable de la Chambre de commerce et d’industrie Maroc-Israël, a exhorté les acteurs de cinéma des deux pays à établir des partenariats et des productions conjointes, les invitant à développer le dialogue et les échanges dans ce sens.
De son côté, Youssef Britel, représentant du ministère de la Culture et de la Communication, a expliqué que des démarches sont en cours pour signer un accord entre les deux pays sur la production cinématographique.
Par ailleurs, il a souligné la volonté du gouvernement marocain de développer et de promouvoir le secteur cinématographique, en évoquant à cet égard le programme visant la réhabilitation de 150 cinémas dans plusieurs régions marocaines.
Dans le même sens, la productrice a mis en lumière les incitations financières et fiscales fournies par le Maroc pour encourager les investissements étrangers, les tournages et les projets de production au Maroc.
Pour rappel, sept films ont été programmés lors du festival du film de Haïfa: «Le Blue du Caftan » (2022), «Aya and the Sea», «Adam» de Maryam Touzani (2019), «Malakat» de Yasmine Benkirane (2022), «Rock the Casbah» de Leila Marrakchi (2013), «Ya Khail Allah» (2013) et «Ali Zaoua» de Nabil Ayouch (2000).