Depuis la reprise des relations entre Israël et le Maroc, celles-ci ont tendance à se solidifier. On le voit à travers la panoplie d’accords qui enrichissent le paysage relationnel entre les deux pays, mais pas que. Dernièrement, un responsable politique israélien, membre du comité directeur du parti travailliste et expert en relations internationales auprès de plusieurs organismes en Israël, Meir Masri, a affirmé sur son compte Twitter qu’ « Il est honteux et inacceptable qu’un Européen ou un Russe puisse entrer en Israël sans visa, et de demander un visa d’entrée à nos frères marocains. J’ai été invité à la prochaine réunion de la Commission des relations étrangères et de la défense de la Knesset. Je présenterai une initiative conjointe israélo-marocaine d’exemption mutuelle de visas ».
Si c’est la première fois que la question de l’exemption de visas entre les deux pays est portée devant le Parlement, l’idée fait son chemin. D’origine marocaine, Aryé Dery, alors ministre de l’Intérieur, avait déjà évoqué le sujet par téléphone avec Abdelouafi Laftit, son homologue marocain, au moment où les deux pays préparaient la reprise de leurs relations, dans le sillage des Accords d’Abraham. Ainsi, si cela aboutit, on ajoutera l’évènement à la panoplie garnie d’accords déjà signés entre les deux pays, notamment ceux après la visite officielle de Yair Lapid, ministre israélien des Affaires étrangères, au Maroc, à l’issue de laquelle plusieurs d’entre eux ont été signés. Ils concernent divers domaines, principalement les secteurs liés à l’innovation et à la technologie qui concernent aussi bien ceux manufacturiers que ceux relatifs aux domaines de l’énergie, de l’économie verte, que ceux classiques comme le transport aérien et le tourisme, l’automobile, l’agro-industrie, le textile…
Par ailleurs, force est de noter qu’une exemption de visas devrait permettre au Maroc d’accroître le chiffre des quelque 50.000 à 70.000 touristes israéliens qui visitaient le royaume avant la pandémie de Covid-19. Plus encore, elle devrait permettre à plus de Marocains de visiter l’État hébreu sans avoir besoin du visa d’une durée de 90 jours qui est exigé.
Si c’est la première fois que la question de l’exemption de visas entre les deux pays est portée devant le Parlement, l’idée fait son chemin. D’origine marocaine, Aryé Dery, alors ministre de l’Intérieur, avait déjà évoqué le sujet par téléphone avec Abdelouafi Laftit, son homologue marocain, au moment où les deux pays préparaient la reprise de leurs relations, dans le sillage des Accords d’Abraham. Ainsi, si cela aboutit, on ajoutera l’évènement à la panoplie garnie d’accords déjà signés entre les deux pays, notamment ceux après la visite officielle de Yair Lapid, ministre israélien des Affaires étrangères, au Maroc, à l’issue de laquelle plusieurs d’entre eux ont été signés. Ils concernent divers domaines, principalement les secteurs liés à l’innovation et à la technologie qui concernent aussi bien ceux manufacturiers que ceux relatifs aux domaines de l’énergie, de l’économie verte, que ceux classiques comme le transport aérien et le tourisme, l’automobile, l’agro-industrie, le textile…
Par ailleurs, force est de noter qu’une exemption de visas devrait permettre au Maroc d’accroître le chiffre des quelque 50.000 à 70.000 touristes israéliens qui visitaient le royaume avant la pandémie de Covid-19. Plus encore, elle devrait permettre à plus de Marocains de visiter l’État hébreu sans avoir besoin du visa d’une durée de 90 jours qui est exigé.