Ph: Nidal
L’occasion que le Royaume sur tout son territoire célèbre avec liesse en l’occurrence la fête de l’Indépendance était trop belle pour ne pas s’illustrer dans la capitale de l’Oriental. Le veinard public oujdi a eu droit un récital dont le chef d’orchestre, à savoir Regragui, a mené ses troupes à la conquête des coeurs du public marocain. On savait que le châtiment allait être dur pour les Lesotiens. Tous les adversaires du Onze national ont, pratiquement tous, été passés à la moulinette. Sans pitié. Mais avec fair-play.
Tout récemment, la formation qui posait des problèmes au Onze national en l’occurrence les Panthères du Gabon ont été proprement mis sur l’autel du sacrifice par un 5-1 magistral. Les joueurs du Lesotho savaient à quel point ils allaient subir en affrontant des Lions marocains au summum de leur art. Ainsi, ils ne durent pas attendre longtemps pour voir leur let secouer par un Brahim Diaz qui laissa à Oujda des souvenirs indélébiles. Auteur d’un hat-trick, le premier depuis son arrivée en équipe nationale, donnera le plein ton de son grand talent. Rapidité, dribbles, altruisme... Ce garçon a tout pour être un des meneurs de jeu de cette magni que sélection. Loin de tout chauvinisme béat, le Onze du Maroc est bien parti pour être l’un des favoris; sinon « Le Favori » (avec mention) pour la CAN 2025, qu’il organise sur ses terres. En tous les cas, la prestation de la sélection du Maroc laisse rêveur. Un groupe talentueux, réceptif, homogène et e cace. Que veut le peuple ? Si les joueurs marocains gardent ces atouts, s’ils sont préservés des blessures, il ne faut pas trop chercher pour trouver le prochain roi d’Afrique.
Le fait remarquable chez cette équipe du Maroc est qu’il n’y a pas de véritables remplaçants. Tous les joueurs se valent: jeunes et plus jeunes s’adonnent à un véritable plaisir pour jouer sous le maillot de l’équipe nationale : Aznou, Bensghir, Saibari, El Khannous, Ezzalzouli, en attendant Adli, Richardson, Akhoumach, Sahraoui, Targhaline, Bouchouari et d’autres pépites. Si Regragui ou n’importe quel autre coach, sait se servir de ces surdoués, nous sommes bien partis pour régner sur le football africain pour longtemps, très longtemps.
Tout récemment, la formation qui posait des problèmes au Onze national en l’occurrence les Panthères du Gabon ont été proprement mis sur l’autel du sacrifice par un 5-1 magistral. Les joueurs du Lesotho savaient à quel point ils allaient subir en affrontant des Lions marocains au summum de leur art. Ainsi, ils ne durent pas attendre longtemps pour voir leur let secouer par un Brahim Diaz qui laissa à Oujda des souvenirs indélébiles. Auteur d’un hat-trick, le premier depuis son arrivée en équipe nationale, donnera le plein ton de son grand talent. Rapidité, dribbles, altruisme... Ce garçon a tout pour être un des meneurs de jeu de cette magni que sélection. Loin de tout chauvinisme béat, le Onze du Maroc est bien parti pour être l’un des favoris; sinon « Le Favori » (avec mention) pour la CAN 2025, qu’il organise sur ses terres. En tous les cas, la prestation de la sélection du Maroc laisse rêveur. Un groupe talentueux, réceptif, homogène et e cace. Que veut le peuple ? Si les joueurs marocains gardent ces atouts, s’ils sont préservés des blessures, il ne faut pas trop chercher pour trouver le prochain roi d’Afrique.
Le fait remarquable chez cette équipe du Maroc est qu’il n’y a pas de véritables remplaçants. Tous les joueurs se valent: jeunes et plus jeunes s’adonnent à un véritable plaisir pour jouer sous le maillot de l’équipe nationale : Aznou, Bensghir, Saibari, El Khannous, Ezzalzouli, en attendant Adli, Richardson, Akhoumach, Sahraoui, Targhaline, Bouchouari et d’autres pépites. Si Regragui ou n’importe quel autre coach, sait se servir de ces surdoués, nous sommes bien partis pour régner sur le football africain pour longtemps, très longtemps.
Chercher plus d’efficacité !
Certains vont se dire si on n’a pas un peu perdu la tête en parlant d’efficacité alors que durant ces matches de qualification ou de préparation, nous avons marqué pas moins de 22 buts en 6 matches avec une première place à la clé et un parcours sans faute. On répond : « Vous avez raison !», mais la chose que vous semblez oublier, c’est la qualité de l’adversaire. Si nous arrivons à planter 5 ou 6 buts à la Côte d’Ivoire, à l’Egypte, au Ghana, à la Tunisie, à l’Afrique du Sud, au RDC… on saura alors que nul ne pourra nous contester la couronne du foot africain.
