Au cours de cette entrevue, M. Mayara a mis en avant l'évolution significative des relations bilatérales, notamment sur le plan politique, basée sur des liens humains partagés et des valeurs de compréhension et de respect mutuel, indique un communiqué de la Chambre des conseillers.
Il a estimé que les deux pays sont appelés à renforcer et promouvoir leurs relations sur divers niveaux, particulièrement sur le plan économique, "qui reste en deçà des aspirations des deux pays et peuples amis".
A cet égard, le président de la deuxième Chambre a souligné l'importance de la coopération parlementaire en tant que vecteur pour promouvoir et renforcer la coopération bilatérale et établir des passerelles de coopération et de rapprochement entre les deux nations amies.
Dans cette optique, il a exprimé la forte volonté de l’institution législative de développer des liens de coopération avec le Sénat des Philippines et mettre en place des canaux permanents de dialogue parlementaire en vue d’assurer le suivi continu des relations bilatérales et multilatérales, note-t-on de même source.
Concernant la question du Sahara marocain, le président de la Chambre des conseillers a salué la position de la République des Philippines et son soutien inébranlable à la souveraineté du Maroc et à son intégrité territoriale, tout en affirmant à cette occasion l'appui du Royaume aux Philippines face à toutes les formes de séparatisme et en faveur de son intégrité territoriale.
De son côté, l'ambassadeur des Philippines s'est félicité du niveau des relations politiques et diplomatiques entre les deux pays, qui entament leur cinquième décennie, soulignant la nécessité de tirer parti du cinquantième anniversaire des relations bilatérales pour donner un nouvel élan à la coopération bilatérale "en l'enrichissant dans les questions prioritaires telles que la migration, la lutte contre les changements climatiques et les énergies renouvelables".
Dans ce contexte, M. Baja a insisté sur l'importance de renforcer la coopération entre les parlementaires des deux pays en échangeant des expériences et en intensifiant la coordination et la consultation dans diverses instances parlementaires régionales et internationales sur les questions d'intérêt commun, conclut le communiqué.
Il a estimé que les deux pays sont appelés à renforcer et promouvoir leurs relations sur divers niveaux, particulièrement sur le plan économique, "qui reste en deçà des aspirations des deux pays et peuples amis".
A cet égard, le président de la deuxième Chambre a souligné l'importance de la coopération parlementaire en tant que vecteur pour promouvoir et renforcer la coopération bilatérale et établir des passerelles de coopération et de rapprochement entre les deux nations amies.
Dans cette optique, il a exprimé la forte volonté de l’institution législative de développer des liens de coopération avec le Sénat des Philippines et mettre en place des canaux permanents de dialogue parlementaire en vue d’assurer le suivi continu des relations bilatérales et multilatérales, note-t-on de même source.
Concernant la question du Sahara marocain, le président de la Chambre des conseillers a salué la position de la République des Philippines et son soutien inébranlable à la souveraineté du Maroc et à son intégrité territoriale, tout en affirmant à cette occasion l'appui du Royaume aux Philippines face à toutes les formes de séparatisme et en faveur de son intégrité territoriale.
De son côté, l'ambassadeur des Philippines s'est félicité du niveau des relations politiques et diplomatiques entre les deux pays, qui entament leur cinquième décennie, soulignant la nécessité de tirer parti du cinquantième anniversaire des relations bilatérales pour donner un nouvel élan à la coopération bilatérale "en l'enrichissant dans les questions prioritaires telles que la migration, la lutte contre les changements climatiques et les énergies renouvelables".
Dans ce contexte, M. Baja a insisté sur l'importance de renforcer la coopération entre les parlementaires des deux pays en échangeant des expériences et en intensifiant la coordination et la consultation dans diverses instances parlementaires régionales et internationales sur les questions d'intérêt commun, conclut le communiqué.