Le film d’Asmae El Moudir, qui a fait le tour de plusieurs festivals internationaux cette année, a remporté le prix de l’expression artistique et celui de "Valentina Pedicini".
"La réalisatrice a pu stimuler un processus de guérison à travers la récupération créative d’une mémoire qui est à la fois individuelle et collective", indiquent les organisateurs, soulignant que le travail réalisé par la jeune réalisatrice marocaine "témoigne d’un talent et d’une maturité cinématographiques étonnants pour un premier opus".
Le film raconte l'histoire de la jeune cinéaste Asmae, qui rend visite à ses parents à Casablanca pour les aider à déménager. Une fois chez elle, Asmae commence à trier les vieilles affaires de son enfance. Tout d'un coup, elle tombe sur une photo qui devient le point de départ d’une investigation durant laquelle Asmae interroge tous les petits mensonges que lui a dit sa famille. Au fur et à mesure, elle explore la mémoire de son quartier et de son pays.
Par ailleurs, le prix de l’Amour a été attribué au film libanais "Danse sur le bord d’un volcan" de Cyril Aris, alors que celui du Jury est revenu au long métrage yéménite "The Burdened" d’Amr Gamal.
Une mention spéciale a été octroyée à l’actrice espagnole, Maria Vázquez, protagoniste de "Matria" d’Álvaro Gago. Le film français "Voix des autres" de Fatima Kaci a remporté le prix du court métrage tandis que le prix Cervantes Roma a été décerné au Syrien "Retour" de Yazan Rabee.
En présence de l’ambassadeur du Maroc en Italie, Youssef Balla, la cérémonie de remise des prix a été marquée par la projection du film marocain "Les jours d’été" de Faouzi Bensaidi.
L’Espagne a été l’invité d’honneur de cette édition, qui a, en outre, offert des débats, des rencontres et des master class professionnels, marqués notamment par la participation distinguée du Marocain Faouzi Bensaidi.
Le festival a, par ailleurs, rendu hommage à Maria Callas, "voix de la Méditerranée et figure féminine profondément liée à la créativité".
Pour la neuvième année consécutive, le MedFilm Festival s’est aussi penché sur le monde de la littérature euro-méditerranéenne pour mettre en avant les œuvres les plus intéressantes et transversales de la région.
"La réalisatrice a pu stimuler un processus de guérison à travers la récupération créative d’une mémoire qui est à la fois individuelle et collective", indiquent les organisateurs, soulignant que le travail réalisé par la jeune réalisatrice marocaine "témoigne d’un talent et d’une maturité cinématographiques étonnants pour un premier opus".
Le film raconte l'histoire de la jeune cinéaste Asmae, qui rend visite à ses parents à Casablanca pour les aider à déménager. Une fois chez elle, Asmae commence à trier les vieilles affaires de son enfance. Tout d'un coup, elle tombe sur une photo qui devient le point de départ d’une investigation durant laquelle Asmae interroge tous les petits mensonges que lui a dit sa famille. Au fur et à mesure, elle explore la mémoire de son quartier et de son pays.
Par ailleurs, le prix de l’Amour a été attribué au film libanais "Danse sur le bord d’un volcan" de Cyril Aris, alors que celui du Jury est revenu au long métrage yéménite "The Burdened" d’Amr Gamal.
Une mention spéciale a été octroyée à l’actrice espagnole, Maria Vázquez, protagoniste de "Matria" d’Álvaro Gago. Le film français "Voix des autres" de Fatima Kaci a remporté le prix du court métrage tandis que le prix Cervantes Roma a été décerné au Syrien "Retour" de Yazan Rabee.
En présence de l’ambassadeur du Maroc en Italie, Youssef Balla, la cérémonie de remise des prix a été marquée par la projection du film marocain "Les jours d’été" de Faouzi Bensaidi.
L’Espagne a été l’invité d’honneur de cette édition, qui a, en outre, offert des débats, des rencontres et des master class professionnels, marqués notamment par la participation distinguée du Marocain Faouzi Bensaidi.
Le festival a, par ailleurs, rendu hommage à Maria Callas, "voix de la Méditerranée et figure féminine profondément liée à la créativité".
Pour la neuvième année consécutive, le MedFilm Festival s’est aussi penché sur le monde de la littérature euro-méditerranéenne pour mettre en avant les œuvres les plus intéressantes et transversales de la région.