Il est le premier à avoir dirigé la première expérience de la télévision régionale en Afrique. Mohamed Larhdaf Eddah avait participé à la mise en place des piliers de Laâyoune TV.
Ses débuts dans le domaine journalistique étaient dans les années 1970 dans la presse du Parti de l’Istiqlal, en l’occurrence à L’Opinion et à Al Alam.
Il était ensuite à la tête des bureaux régionaux des deux journaux à Laâyoune. Il était également le premier journaliste marocain à être affecté comme correspondant de la MINURSO. En 1993, le défunt devient reporter de l'Agence France-Presse (AFP).
Sa grande maîtrise de la langue française, sa large connaissance du dossier du Sahara sur les plans politique, géographique et sociologique, et ses couvertures médiatiques équilibrées ont contribué à pousser de nombreux journaux français à le solliciter, tels que L'Express, Le Monde et Le Figaro.
Puisse Allah avoir l’âme du défunt Mohamed Larhdaf Eddah en Sa Miséricorde.
Ses débuts dans le domaine journalistique étaient dans les années 1970 dans la presse du Parti de l’Istiqlal, en l’occurrence à L’Opinion et à Al Alam.
Il était ensuite à la tête des bureaux régionaux des deux journaux à Laâyoune. Il était également le premier journaliste marocain à être affecté comme correspondant de la MINURSO. En 1993, le défunt devient reporter de l'Agence France-Presse (AFP).
Sa grande maîtrise de la langue française, sa large connaissance du dossier du Sahara sur les plans politique, géographique et sociologique, et ses couvertures médiatiques équilibrées ont contribué à pousser de nombreux journaux français à le solliciter, tels que L'Express, Le Monde et Le Figaro.
Puisse Allah avoir l’âme du défunt Mohamed Larhdaf Eddah en Sa Miséricorde.