L’année 2023 confirme les tendances qui vont bon train à l’issue de l’année 2022 et au préambule de l’année 2023. La montée croissante de la Tech dans les usages du quotidien touche maintenant au Petit Robert qui dévoile ses nouveaux mots.
Reflet de la place croissante prise par le numérique, Le Petit Robert 2023 adopte de nombreux mots majoritairement propres aux technologies et à Internet. Ils rejoignent ainsi la liste des nouvelles définitions répertoriées dans le dictionnaire. Cette manifestation culturelle fait référence à l’actualité de ces deux dernières années, qui regorge de mots employés dans la vie courante ou ceux apparus dans la langue contemporaine.
L’âme de la technologie gagne en vocabulaire Notre société poursuit ses mutations et livre un nouveau tumulte d’expressions qui ont ponctué notre vie quotidienne ces deux dernières années, désormais entérinées par le dictionnaire. Ces mots se mettent à la page pour accueillir l’édition 2023, tout comme «cyberespionnage» qui signifie l’espionnage pratiqué en infiltrant les systèmes informatiques pour s’emparer de données stratégiques.
Le NFT (Non Fungible Token ou jeton non fongible) qui est un certificat cryptographique associé à un objet numérique (image, vidéo, musique…) On remarque par cette même occasion que les anglicismes continuent ainsi à s’encastrer dans le dictionnaire et dans l’usage quotidien de la langue française. Ou encore le mystérieux terme relatif à la tech: «brouteur».
Popularisé par la série ivoirienne Brouteur.com, diffusée sur TV5 Monde, le mot désigne un «escroc qui piège ses victimes sur Internet». Dans cette même optique on retient un vocabulaire propre aux nouveaux métiers apparus depuis quelques années. Prenant par exemple le mot «instagrameur » qui entre dans le Petit Robert et qui le définit comme «une personne (influenceur, créateur de contenu) qui exerce son activité en publiant des photos et des vidéos sur son compte Instagram ».
Il y a cinq ans, c’est le mot «Youtubeur» qui a fait son entrée. Ainsi, le langage que nous utilisons pour parler change avec l’évolution et les maintes circonstances que connaît la nouvelle génération.
Avec la pandémie ces derniers temps, les connaissances sur la maladie et la crise sanitaire qui en découle évoluent sans cesse, modifient la façon de parler en faisant émerger des mots inconnus ou inventés.
Force est de constater que la troisième génération d’Internet continue de grandir auprès de ce vocabulaire devenu très influent et courant dans les conversations de tous les jours.
Reflet de la place croissante prise par le numérique, Le Petit Robert 2023 adopte de nombreux mots majoritairement propres aux technologies et à Internet. Ils rejoignent ainsi la liste des nouvelles définitions répertoriées dans le dictionnaire. Cette manifestation culturelle fait référence à l’actualité de ces deux dernières années, qui regorge de mots employés dans la vie courante ou ceux apparus dans la langue contemporaine.
L’âme de la technologie gagne en vocabulaire Notre société poursuit ses mutations et livre un nouveau tumulte d’expressions qui ont ponctué notre vie quotidienne ces deux dernières années, désormais entérinées par le dictionnaire. Ces mots se mettent à la page pour accueillir l’édition 2023, tout comme «cyberespionnage» qui signifie l’espionnage pratiqué en infiltrant les systèmes informatiques pour s’emparer de données stratégiques.
Le NFT (Non Fungible Token ou jeton non fongible) qui est un certificat cryptographique associé à un objet numérique (image, vidéo, musique…) On remarque par cette même occasion que les anglicismes continuent ainsi à s’encastrer dans le dictionnaire et dans l’usage quotidien de la langue française. Ou encore le mystérieux terme relatif à la tech: «brouteur».
Popularisé par la série ivoirienne Brouteur.com, diffusée sur TV5 Monde, le mot désigne un «escroc qui piège ses victimes sur Internet». Dans cette même optique on retient un vocabulaire propre aux nouveaux métiers apparus depuis quelques années. Prenant par exemple le mot «instagrameur » qui entre dans le Petit Robert et qui le définit comme «une personne (influenceur, créateur de contenu) qui exerce son activité en publiant des photos et des vidéos sur son compte Instagram ».
Il y a cinq ans, c’est le mot «Youtubeur» qui a fait son entrée. Ainsi, le langage que nous utilisons pour parler change avec l’évolution et les maintes circonstances que connaît la nouvelle génération.
Avec la pandémie ces derniers temps, les connaissances sur la maladie et la crise sanitaire qui en découle évoluent sans cesse, modifient la façon de parler en faisant émerger des mots inconnus ou inventés.
Force est de constater que la troisième génération d’Internet continue de grandir auprès de ce vocabulaire devenu très influent et courant dans les conversations de tous les jours.