"Fidèle à ses valeurs sportives et humanistes qui ont toujours marqué le Wydad à travers son Histoire, la Direction du club et ses supporters apportent leur total soutien à Moussa Ndaw, ancien attaquant et encadrant du club, face au comportement raciste dont il a été l'objet".
Tel est le contenu du seul communiqué officiel réagissant à l'agression raciste dont a été victime Moussa Ndaw, coach actuel de l'ASS et ancienne gloire du Wydad. Les faits se sont déroulés au stade Père Jégo samedi après-midi lors de la rencontre RAC/ASS.
Victime d'un acte raciste dont l'auteur se trouvait sur les gradins, Moussa Ndaw a réagi véhément. Son attitude a été considérée par l'arbitre, selon les règlements du jeu, antisportive. Ce qui lui a valu une expulsion. Un rapport détaillant l'incident sera transmis à la FRMF par l'arbitre et le commissaire du match.
Officiellement, il n'y a pas de réaction ni de la FRMF, ni de la LNFP, ni d'ailleurs. Officieusement, selon Moussa Ndaw, le président de la FRMF, l'aurait contacté, lui aurait manifesté son soutien et lui aurait promis une suite à l'affaire.
La réaction a été surtout du côté des réseaux sociaux. La question posée : le match se jouait à huis clos. Les personnes se trouvant au stade sont identifiées et très limitées. L'auteur de l'acte raciste devrait donc être connu et devrait subir les conséquences de son acte.
Tel est le contenu du seul communiqué officiel réagissant à l'agression raciste dont a été victime Moussa Ndaw, coach actuel de l'ASS et ancienne gloire du Wydad. Les faits se sont déroulés au stade Père Jégo samedi après-midi lors de la rencontre RAC/ASS.
Victime d'un acte raciste dont l'auteur se trouvait sur les gradins, Moussa Ndaw a réagi véhément. Son attitude a été considérée par l'arbitre, selon les règlements du jeu, antisportive. Ce qui lui a valu une expulsion. Un rapport détaillant l'incident sera transmis à la FRMF par l'arbitre et le commissaire du match.
Officiellement, il n'y a pas de réaction ni de la FRMF, ni de la LNFP, ni d'ailleurs. Officieusement, selon Moussa Ndaw, le président de la FRMF, l'aurait contacté, lui aurait manifesté son soutien et lui aurait promis une suite à l'affaire.
La réaction a été surtout du côté des réseaux sociaux. La question posée : le match se jouait à huis clos. Les personnes se trouvant au stade sont identifiées et très limitées. L'auteur de l'acte raciste devrait donc être connu et devrait subir les conséquences de son acte.
