Après presque un an de guerre dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas palestinien, le front s'est déplacé ces derniers jours vers la frontière nord avec le Liban, en pleine escalade militaire entre l'armée israélienne et le Hezbollah, allié du Hamas et soutenu par l'Iran.
Tôt dimanche, l'armée israélienne a annoncé qu'elle menait des frappes sur des cibles du Hezbollah au Liban, après des tirs du mouvement islamiste sur des zones habitées dans le nord d'Israël, qui ont atteint les environs de la grande ville d'Haïfa.
"Il y a eu une alarme et immédiatement après une grande explosion, une très, très grande explosion", a raconté à l'AFP Achiya Itschaky, un habitant du village de Kiryat Bialik où les tirs ont incendié des maisons et des voitures.
"C'est la guerre, ce n'est agréable pour personne", a ajouté Sharon Hacmishvili, un autre habitant du village.
"Des centaines de milliers de personnes ont dû se réfugier dans des abris antiaériens dans le nord d'Israël", a déclaré à l'AFP un porte-parole de l'armée, le lieutenant-colonel Nadav Shoshani.
Il a indiqué que l'armée israélienne avait frappé toute une série de cibles depuis samedi, "afin d'empêcher une attaque à plus grande échelle".
Les autorités israéliennes ont ordonné la fermeture de toutes les écoles jusqu'à lundi 18H00 dans les régions du nord du pays, dont certaines sont situées jusqu'à 80 kilomètres de la frontière libanaise.
Selon l'armée, "environ 150 roquettes, missiles de croisière et drones" ont été tirés vers Israël pendant la nuit, la plupart depuis le Liban vers le nord du pays, "sans faire de dégâts significatifs".
Le Hezbollah a affirmé avoir ciblé des installations de production militaire israéliennes, "dans une première réponse" aux explosions meurtrières, mardi et mercredi, de ses appareils de transmission à travers le Liban.
Tôt dimanche, l'armée israélienne a annoncé qu'elle menait des frappes sur des cibles du Hezbollah au Liban, après des tirs du mouvement islamiste sur des zones habitées dans le nord d'Israël, qui ont atteint les environs de la grande ville d'Haïfa.
"Il y a eu une alarme et immédiatement après une grande explosion, une très, très grande explosion", a raconté à l'AFP Achiya Itschaky, un habitant du village de Kiryat Bialik où les tirs ont incendié des maisons et des voitures.
"C'est la guerre, ce n'est agréable pour personne", a ajouté Sharon Hacmishvili, un autre habitant du village.
"Des centaines de milliers de personnes ont dû se réfugier dans des abris antiaériens dans le nord d'Israël", a déclaré à l'AFP un porte-parole de l'armée, le lieutenant-colonel Nadav Shoshani.
Il a indiqué que l'armée israélienne avait frappé toute une série de cibles depuis samedi, "afin d'empêcher une attaque à plus grande échelle".
Les autorités israéliennes ont ordonné la fermeture de toutes les écoles jusqu'à lundi 18H00 dans les régions du nord du pays, dont certaines sont situées jusqu'à 80 kilomètres de la frontière libanaise.
Selon l'armée, "environ 150 roquettes, missiles de croisière et drones" ont été tirés vers Israël pendant la nuit, la plupart depuis le Liban vers le nord du pays, "sans faire de dégâts significatifs".
Le Hezbollah a affirmé avoir ciblé des installations de production militaire israéliennes, "dans une première réponse" aux explosions meurtrières, mardi et mercredi, de ses appareils de transmission à travers le Liban.