L’amendement assouplissant les critères d’éligibilité en équipe représentative des joueurs binationaux, adopté vendredi à la majorité par le 70e congrès de la FIFA, permettra à n’importe quel joueur binational ayant déjà représenté son pays d’accueil en match officiel de changer de maillot sous certaines conditions.
Dans un premier temps, le joueur en question doit avant tout ne pas avoir représenté la première association membres au niveau international « A » en match officiel, ne pas déjà avoir fêté son 21e anniversaire au moment de son dernier match pour la première association et satisfaire à l’une des conditions relatives aux liens réels envers cette nouvelle association membre en termes de famille ou de durée.
La deuxième exception concerne un joueur ayant deux nationalités au moment de son premier match officiel pour une association et ayant représenté cette même association au niveau international «A». Si le joueur souhaite changer d'association à l'avenir au profit de sa seconde nationalité, il doit ne pas avoir représenter la première association au niveau international «A» dans plus de 3 matchs officiels, ne pas déjà avoir fêté son 21e anniversaire au moment de son dernier match pour la première association, attendre un an avant son dernier match officiel au niveau international «A» pour la première association, et ne pas avoir joué au niveau international «A» en phase finale de compétition continentale ou de Coupe du monde pour la première association.
Ces amendements offrent la possibilité au marocain Munir El Haddadi, qui en 2014 avait joué pour la sélection espagnole, pour une durée 13 minutes lors d’un match officiel, la possibilité de changer de maillot. Il s’agit ainsi d’une victoire pour le joueur, qui fut au centre d’une polémique, ainsi que pour la Fédération royale marocaine de football (FRMF), qui pour rappel avait saisi la FIFA pour permettre à El Haddadi de porter le maillot national pendant le Mondial 2018, mais la demande a été rejetée.
Dans un premier temps, le joueur en question doit avant tout ne pas avoir représenté la première association membres au niveau international « A » en match officiel, ne pas déjà avoir fêté son 21e anniversaire au moment de son dernier match pour la première association et satisfaire à l’une des conditions relatives aux liens réels envers cette nouvelle association membre en termes de famille ou de durée.
La deuxième exception concerne un joueur ayant deux nationalités au moment de son premier match officiel pour une association et ayant représenté cette même association au niveau international «A». Si le joueur souhaite changer d'association à l'avenir au profit de sa seconde nationalité, il doit ne pas avoir représenter la première association au niveau international «A» dans plus de 3 matchs officiels, ne pas déjà avoir fêté son 21e anniversaire au moment de son dernier match pour la première association, attendre un an avant son dernier match officiel au niveau international «A» pour la première association, et ne pas avoir joué au niveau international «A» en phase finale de compétition continentale ou de Coupe du monde pour la première association.
Ces amendements offrent la possibilité au marocain Munir El Haddadi, qui en 2014 avait joué pour la sélection espagnole, pour une durée 13 minutes lors d’un match officiel, la possibilité de changer de maillot. Il s’agit ainsi d’une victoire pour le joueur, qui fut au centre d’une polémique, ainsi que pour la Fédération royale marocaine de football (FRMF), qui pour rappel avait saisi la FIFA pour permettre à El Haddadi de porter le maillot national pendant le Mondial 2018, mais la demande a été rejetée.