Lors d'un point de presse à l'issue de ses entretiens avec le président du gouvernement régional des Iles Canaries, Fernando Clavijo, M. Bourita a indiqué que cette décision est "un coup d'épée dans l'eau" qui n'a suscité aucune réaction de la part des Nations Unies ou du secrétaire général de l'ONU et n'impactera nullement le dossier grâce à la dynamique impulsée par SM le Roi Mohammed VI.
Au niveau des relations entre le Royaume du Maroc et l'Union européenne, cette décision "est isolée", a-t-il affirmé, rappelant, à cet égard, la déclaration conjointe de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen et du Haut-représentant de l’Union Européenne, Josep Borrell, ainsi que les positions exprimées par plusieurs pays de l’UE qui ont fait part de leur attachement au partenariat avec le Maroc.
Aussi, il a mis en avant le nouveau camouflet des soutiens des séparatistes au Parlement européen suite au rejet de leurs tentatives voulant inscrire à l'ordre du jour un débat sur les arrêts de la CJUE concernant les accords Maroc-UE sur la pêche et l’agriculture.
Selon M. Bourita, le Maroc n'adhèrera aucunement à tout accord qui ne respecte pas son unité nationale et son intégrité territoriale. Il a affirmé que pour le Royaume, il appartient à la partie européenne de trouver des solutions et d'apporter la sécurité juridique que le Maroc est en droit d'attendre en tant que partenaire, sachant que les fondements et les lignes rouges du Royaume "sont clairs et non-négociables".
Ces accords internationaux ont été conclus après avoir été négociés par la Commission Européenne, conclus par le Conseil de l’Europe, approuvés par le Parlement Européen et ratifiés par les Etats membres, a-t-il rappelé.
Concernant la question du Sahara marocain, M. Bourita a souligné que la décision de la Cour est "sans impact", car elle n’entame en rien la dynamique internationale de soutien impulsée par Sa Majesté le Roi. Elle est également sans impact parce que la question du Sahara est du ressort exclusif du l’ONU et de son Conseil de Sécurité, a-t-il dit.
"Il y a une méconnaissance des réalités juridiques, politiques, historiques et humaines", a-t-il souligné.
De son côté, M. Clavijo a affirmé que le gouvernement régional des Iles Canaries adhère complètement à la Déclaration conjointe de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen et du Haut-représentant de l’Union Européenne, Josep Borrell, qui ont réitéré l’engagement de l'UE en faveur davantage de préservation et de renforcement de ses relations étroites avec le Maroc dans tous les domaines, ainsi qu’aux propos du chef de la diplomatie espagnole, José Manuel Albares, qui a souligné l’attachement de l’Espagne au partenariat stratégique avec le Maroc et sa détermination à "préserver et promouvoir" ce partenariat.
Evoquant la question du Sahara marocain, il a fait part de l’adhésion totale du gouvernement canarien à la position du gouvernement espagnol, exprimée dans la Déclaration Conjointe adoptée le 7 avril 2022, à l’issue de la rencontre entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le président du gouvernement espagnol, M. Pedro Sanchez.
Au niveau des relations entre le Royaume du Maroc et l'Union européenne, cette décision "est isolée", a-t-il affirmé, rappelant, à cet égard, la déclaration conjointe de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen et du Haut-représentant de l’Union Européenne, Josep Borrell, ainsi que les positions exprimées par plusieurs pays de l’UE qui ont fait part de leur attachement au partenariat avec le Maroc.
Aussi, il a mis en avant le nouveau camouflet des soutiens des séparatistes au Parlement européen suite au rejet de leurs tentatives voulant inscrire à l'ordre du jour un débat sur les arrêts de la CJUE concernant les accords Maroc-UE sur la pêche et l’agriculture.
Selon M. Bourita, le Maroc n'adhèrera aucunement à tout accord qui ne respecte pas son unité nationale et son intégrité territoriale. Il a affirmé que pour le Royaume, il appartient à la partie européenne de trouver des solutions et d'apporter la sécurité juridique que le Maroc est en droit d'attendre en tant que partenaire, sachant que les fondements et les lignes rouges du Royaume "sont clairs et non-négociables".
Ces accords internationaux ont été conclus après avoir été négociés par la Commission Européenne, conclus par le Conseil de l’Europe, approuvés par le Parlement Européen et ratifiés par les Etats membres, a-t-il rappelé.
Concernant la question du Sahara marocain, M. Bourita a souligné que la décision de la Cour est "sans impact", car elle n’entame en rien la dynamique internationale de soutien impulsée par Sa Majesté le Roi. Elle est également sans impact parce que la question du Sahara est du ressort exclusif du l’ONU et de son Conseil de Sécurité, a-t-il dit.
"Il y a une méconnaissance des réalités juridiques, politiques, historiques et humaines", a-t-il souligné.
De son côté, M. Clavijo a affirmé que le gouvernement régional des Iles Canaries adhère complètement à la Déclaration conjointe de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen et du Haut-représentant de l’Union Européenne, Josep Borrell, qui ont réitéré l’engagement de l'UE en faveur davantage de préservation et de renforcement de ses relations étroites avec le Maroc dans tous les domaines, ainsi qu’aux propos du chef de la diplomatie espagnole, José Manuel Albares, qui a souligné l’attachement de l’Espagne au partenariat stratégique avec le Maroc et sa détermination à "préserver et promouvoir" ce partenariat.
Evoquant la question du Sahara marocain, il a fait part de l’adhésion totale du gouvernement canarien à la position du gouvernement espagnol, exprimée dans la Déclaration Conjointe adoptée le 7 avril 2022, à l’issue de la rencontre entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le président du gouvernement espagnol, M. Pedro Sanchez.