Netflix est un service de streaming sur abonnement qui permet aux utilisateurs de regarder et télécharger des séries et des films sans publicité sur un appareil connecté à Internet. Avec 117,6 millions d’abonnés payants, et des productions originales, l’entreprise comptait jusqu’à 9.000 points de vente dans le monde au début des années 2000, selon un Podcast social. Des chiffres qui concurrencent les studios de cinéma, et font désormais de cette chaîne américaine un véritable géant de la tech, au même titre qu’Amazon ou Facebook.
En une dizaine d’années, la plateforme de streaming a connu un succès fulgurant et est devenue la plus grande plateforme de vidéo en streaming par abonnement. Aujourd’hui, on voit qu’elle essaye de se diversifier en concrétisant son positionnement sur le jeu vidéo, à cause d’une perte d’un million d’abonnés, une première depuis sa création.
Une initiative qui vise à offrir des jeux «maison», basés sur les séries à succès, comme «La casa de Papel», une ambition qui parie actuellement sur le développement de trois jeux pour l’année 2023. Un contenu inédit, des partenariats importants et des interventions ludiques sont mobilisés pour essayer de garder les abonnés dans l’écosystème Netflix. C’est à Helsinki que l’entreprise a posé ses valises vidéoludiques, avec Marko Lastikka comme directeur de ce studio.
Elle indique auprès d’Engadget, un réseau de blogs technologiques multilingues, que le fruit de ce nouveau studio «maison » ne sera pas visible avant «des années». Mais Netflix fait tout de même preuve actuellement d’une certaine force de frappe dans le projet, révélant être en mesure de créer ses propres titres.
La plateforme utilise une multitude d’algorithmes, s’appuyant sur le Machine Learning. Entre autres on trouve le “Personalized Video Ranker” qui personnalise un classement des vidéos suggérées selon la popularité des contenus. Le “Top- N Video Ranker” qui couvre les recommandations en se basant sur les vidéos les plus visionnées. Le “Continue watching” qui recommande du contenu selon les préférences de l’utilisateur. Ainsi que l’algorithme de “similitude vidéo à vidéo”, qui propose des films en fonction des catégories examinées.
Au Maroc, les avis sont mitigés, pour la plupart des cinéphiles le catalogue proposé aux internautes du Royaume est l’un des plus pauvres au monde. Après avoir interviewé quelques utilisateurs de la plateforme, les retours ont été pour la plupart positifs en ce qui concerne le projet des jeux vidéo. «Un large éventail de choix qui gomme parfois la pauvreté de quelques productions, et nous met la pression en tant qu’utilisateurs. Le choix est diversifié mais l’initiative semble déjà intéressante puisque l’entreprise fait face à une très forte concurrence de la part d’Amazone, de Hulu, et de HBO», nous affirme un jeune cinéphile marocain.
En une dizaine d’années, la plateforme de streaming a connu un succès fulgurant et est devenue la plus grande plateforme de vidéo en streaming par abonnement. Aujourd’hui, on voit qu’elle essaye de se diversifier en concrétisant son positionnement sur le jeu vidéo, à cause d’une perte d’un million d’abonnés, une première depuis sa création.
Une initiative qui vise à offrir des jeux «maison», basés sur les séries à succès, comme «La casa de Papel», une ambition qui parie actuellement sur le développement de trois jeux pour l’année 2023. Un contenu inédit, des partenariats importants et des interventions ludiques sont mobilisés pour essayer de garder les abonnés dans l’écosystème Netflix. C’est à Helsinki que l’entreprise a posé ses valises vidéoludiques, avec Marko Lastikka comme directeur de ce studio.
Elle indique auprès d’Engadget, un réseau de blogs technologiques multilingues, que le fruit de ce nouveau studio «maison » ne sera pas visible avant «des années». Mais Netflix fait tout de même preuve actuellement d’une certaine force de frappe dans le projet, révélant être en mesure de créer ses propres titres.
La plateforme utilise une multitude d’algorithmes, s’appuyant sur le Machine Learning. Entre autres on trouve le “Personalized Video Ranker” qui personnalise un classement des vidéos suggérées selon la popularité des contenus. Le “Top- N Video Ranker” qui couvre les recommandations en se basant sur les vidéos les plus visionnées. Le “Continue watching” qui recommande du contenu selon les préférences de l’utilisateur. Ainsi que l’algorithme de “similitude vidéo à vidéo”, qui propose des films en fonction des catégories examinées.
Au Maroc, les avis sont mitigés, pour la plupart des cinéphiles le catalogue proposé aux internautes du Royaume est l’un des plus pauvres au monde. Après avoir interviewé quelques utilisateurs de la plateforme, les retours ont été pour la plupart positifs en ce qui concerne le projet des jeux vidéo. «Un large éventail de choix qui gomme parfois la pauvreté de quelques productions, et nous met la pression en tant qu’utilisateurs. Le choix est diversifié mais l’initiative semble déjà intéressante puisque l’entreprise fait face à une très forte concurrence de la part d’Amazone, de Hulu, et de HBO», nous affirme un jeune cinéphile marocain.