Le démenti est cinglant. Lundi, la radio officielle algérienne a affirmé qu’une intervention militaire française serait imminente au Niger. Plus mystérieux encore, le média a également avancé que les autorités algériennes auraient donné une réponse négative à une « demande française de survol du territoire national pour attaquer le Niger ». Sauf que la France n’a rien demandé.
Alors que le site de la radio algérienne prétend que ces informations proviennent de «sources confirmées», l’armée française a opposé un démenti catégorique dans la foulée, rapporte Le Figaro. «Il n’y a absolument aucune velléité d’attaque contre le Niger», a assuré un haut gradé auprès du quotidien. Encore moins d’une intervention militaire, l’armée réfute toute demande d’autorisation d’un vol militaire déposée ces derniers jours par la France.
La radio nationale algérienne a rapporté, lundi, sur son site Internet, les déclarations de "sources confirmées" sous couvert de l'anonymat, que "la France s'apprête à exécuter ses menaces contre le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) au Niger, en procédant à une intervention militaire au cas où le président Mohamed Bazoum n'est pas libéré".
La même source ajoute que " L’Algérie, qui a toujours rejeté la force, a donné une suite négative à la demande française de survol du territoire national pour attaquer le Niger. La réponse d’Alger est ferme et sans équivoque". De même que le démenti français.
Alors que le site de la radio algérienne prétend que ces informations proviennent de «sources confirmées», l’armée française a opposé un démenti catégorique dans la foulée, rapporte Le Figaro. «Il n’y a absolument aucune velléité d’attaque contre le Niger», a assuré un haut gradé auprès du quotidien. Encore moins d’une intervention militaire, l’armée réfute toute demande d’autorisation d’un vol militaire déposée ces derniers jours par la France.
La radio nationale algérienne a rapporté, lundi, sur son site Internet, les déclarations de "sources confirmées" sous couvert de l'anonymat, que "la France s'apprête à exécuter ses menaces contre le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) au Niger, en procédant à une intervention militaire au cas où le président Mohamed Bazoum n'est pas libéré".
La même source ajoute que " L’Algérie, qui a toujours rejeté la force, a donné une suite négative à la demande française de survol du territoire national pour attaquer le Niger. La réponse d’Alger est ferme et sans équivoque". De même que le démenti français.
