Assurant fermement que le nouveau modèle de développent ne peut connaitre de succès que s’il est un produit purement marocain, comme l’a affirmé SM le Roi dans Son discours à l’occasion du 66ème anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, le Secrétaire général du Parti de l’Istiqlal, M. Nizar Baraka, a souligné que ce discours constitue un appel clair et franc pour asseoir ledit nouveau modèle de développent. Ce nouveau modèle devant engendrer un nouveau contrat social, à même de transcender les états d’épuisement politique, social et économique atteints par l’actuel modèle, lequel a distillé les conditions d’une crise de confiance au sein des différents niveaux de la vie publique.
Dans une déclaration faite au site Istiqlal.info, Nizar Baraka a indiqué que le nouveau contrat social se décline comme une nécessité impérieuse afin de garantir l’efficience des droits invoqués dans la Constitution 2011. Puisqu’il faut bien souligner la déficience des politiques publiques en cours dans la concrétisation de ces droits au profit de l’ensemble des citoyens et citoyennes, tel le droit au travail, à l’habitat salubre, à l’enseignement adéquat, à l’accès aux soins sanitaires, à un environnement sain et à l’eau, rappelant que nombre de provinces du Royaume ont essuyé, ces dernières semaines, une crise de soif aiguë.
Il a, ainsi, insisté sur la nécessité de modifier les politiques publiques afin d'assurer la pleine citoyenneté à tous les Marocains, en s'occupant particulièrement des catégories qui souffrent le plus de déplorables conditions de vie, notamment celles vivant dans les zones rurales et dans les périphéries des villes.
Le Secrétaire général a également appelé à revoir les politiques adoptées à l'égard du monde rural afin de promouvoir cet espace territorial, invitant, dans le même contexte, à ne pas se satisfaire uniquement de l'agriculture pour améliorer les conditions de vie de la population. Il a estimé que l'exploitation des opportunités et du potentiel offerts par le secteur agricole est nécessaire, mais reste insuffisante sans la diversification des activités économiques. Le monde rural a besoin du renforcement du tourisme rural et du développement des activités économiques, industrielles et génératrices de revenus, tout en permettant aux habitants du monde rural d'accéder aux services sociaux et administratifs nécessaires par le biais de la décentralisation administrative et en œuvrant à mettre en place des politiques intégrées pour atteindre cet objectif.
Concernant la classe moyenne, Nizar Baraka a souligné que cette classe sociale vit, aujourd'hui, dans la crainte de l’appauvrissement et de la dégradation de son niveau de vie, souffrant de la détérioration de son pouvoir d'achat, notamment après la libéralisation des prix du carburant et de la hausse du coût de la vie tous les domaines, notamment ceux de l'éducation privée, de la santé, du logement et des transports. Cette catégorie, qui constitue une force de production et un facteur de cohésion et de stabilité de la société marocaine, est obligé, a-t-il indiqué, de sortir des villes pour bénéficier de logement décent, en plus de souffrir de la multitude de prêts et de leurs coûts élevés, appelant dans ce contexte à renforcer la classe moyenne, à élargir sa base et à œuvrer pour son développement.
En ce qui concerne l'emploi et la formation, Nizar Baraka a insisté sur la nécessité de renforcer l’effet d’entrainement de la croissance sur la création d’emplois et d'offrir une formation qui ouvre des perspectives d'intégration professionnelle, de stabilité sociale, notamment une formation professionnelle adaptée aux besoins du marché du travail et au renforcement des capacités de la population à participer au développement.
Le Secrétaire général du PI a, en outre, souligné la nécessité de revoir les politiques adoptées dans notre pays, lesquelles conduisent à un élargissement des disparités sociales et spatiales et à l’enlisement de l'héritage générationnel de la pauvreté. Ces politiques se sont avérées incapables de créer une croissance créatrice d'emplois, ce qui nécessite la production de politiques différentes, afin de mettre fin à l’hémorragie et de surmonter les problématiques de redressement des dysfonctionnements et de correction des déséquilibres. Dans ce sens, il a estimé que Sa Majesté a souligné la nécessité de lancer une nouvelle révolution du Roi et du Peuple, afin de réaliser la dignité de tous les citoyens et de semer l'espoir dans le cœur des jeunes et des classes qui souffrent de cette crise.
Il a, enfin, mis en avant la mobilisation totale et l'engagement responsable du Parti de l’Istiqlal, de ses dirigeants, de ses organisations parallèles et de ses militants des diverses régions et provinces, derrière Sa Majesté, pour organiser les nouveaux ateliers de réforme portés par le discours royal prononcé à l'occasion de l'anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, ainsi que du discours du Trône, en réponse aux demandes urgentes et légitimes des citoyens.
Dans une déclaration faite au site Istiqlal.info, Nizar Baraka a indiqué que le nouveau contrat social se décline comme une nécessité impérieuse afin de garantir l’efficience des droits invoqués dans la Constitution 2011. Puisqu’il faut bien souligner la déficience des politiques publiques en cours dans la concrétisation de ces droits au profit de l’ensemble des citoyens et citoyennes, tel le droit au travail, à l’habitat salubre, à l’enseignement adéquat, à l’accès aux soins sanitaires, à un environnement sain et à l’eau, rappelant que nombre de provinces du Royaume ont essuyé, ces dernières semaines, une crise de soif aiguë.
Il a, ainsi, insisté sur la nécessité de modifier les politiques publiques afin d'assurer la pleine citoyenneté à tous les Marocains, en s'occupant particulièrement des catégories qui souffrent le plus de déplorables conditions de vie, notamment celles vivant dans les zones rurales et dans les périphéries des villes.
Le Secrétaire général a également appelé à revoir les politiques adoptées à l'égard du monde rural afin de promouvoir cet espace territorial, invitant, dans le même contexte, à ne pas se satisfaire uniquement de l'agriculture pour améliorer les conditions de vie de la population. Il a estimé que l'exploitation des opportunités et du potentiel offerts par le secteur agricole est nécessaire, mais reste insuffisante sans la diversification des activités économiques. Le monde rural a besoin du renforcement du tourisme rural et du développement des activités économiques, industrielles et génératrices de revenus, tout en permettant aux habitants du monde rural d'accéder aux services sociaux et administratifs nécessaires par le biais de la décentralisation administrative et en œuvrant à mettre en place des politiques intégrées pour atteindre cet objectif.
Concernant la classe moyenne, Nizar Baraka a souligné que cette classe sociale vit, aujourd'hui, dans la crainte de l’appauvrissement et de la dégradation de son niveau de vie, souffrant de la détérioration de son pouvoir d'achat, notamment après la libéralisation des prix du carburant et de la hausse du coût de la vie tous les domaines, notamment ceux de l'éducation privée, de la santé, du logement et des transports. Cette catégorie, qui constitue une force de production et un facteur de cohésion et de stabilité de la société marocaine, est obligé, a-t-il indiqué, de sortir des villes pour bénéficier de logement décent, en plus de souffrir de la multitude de prêts et de leurs coûts élevés, appelant dans ce contexte à renforcer la classe moyenne, à élargir sa base et à œuvrer pour son développement.
En ce qui concerne l'emploi et la formation, Nizar Baraka a insisté sur la nécessité de renforcer l’effet d’entrainement de la croissance sur la création d’emplois et d'offrir une formation qui ouvre des perspectives d'intégration professionnelle, de stabilité sociale, notamment une formation professionnelle adaptée aux besoins du marché du travail et au renforcement des capacités de la population à participer au développement.
Le Secrétaire général du PI a, en outre, souligné la nécessité de revoir les politiques adoptées dans notre pays, lesquelles conduisent à un élargissement des disparités sociales et spatiales et à l’enlisement de l'héritage générationnel de la pauvreté. Ces politiques se sont avérées incapables de créer une croissance créatrice d'emplois, ce qui nécessite la production de politiques différentes, afin de mettre fin à l’hémorragie et de surmonter les problématiques de redressement des dysfonctionnements et de correction des déséquilibres. Dans ce sens, il a estimé que Sa Majesté a souligné la nécessité de lancer une nouvelle révolution du Roi et du Peuple, afin de réaliser la dignité de tous les citoyens et de semer l'espoir dans le cœur des jeunes et des classes qui souffrent de cette crise.
Il a, enfin, mis en avant la mobilisation totale et l'engagement responsable du Parti de l’Istiqlal, de ses dirigeants, de ses organisations parallèles et de ses militants des diverses régions et provinces, derrière Sa Majesté, pour organiser les nouveaux ateliers de réforme portés par le discours royal prononcé à l'occasion de l'anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, ainsi que du discours du Trône, en réponse aux demandes urgentes et légitimes des citoyens.