Enrique Mora, négociateur de l’Union européenne chargé de coordonner les pourparlers sur le nucléaire iranien à Vienne, devait arriver hier mardi à Téhéran, afin de débloquer les négociations à l’arrêt depuis le 11 mars. Les pourparlers visent à ramener les Etats-Unis dans cet accord, notamment par la levée des sanctions contre l’Iran, et la garantie du plein respect par Téhéran de ses engagements.
Après l’arrêt en mars des négociations dans la capitale autrichienne, l’Iran a appelé le 25 avril à une réunion «le plus tôt possible» en vue de rétablir l’accord sur le nucléaire. «L’ordre du jour des pourparlers (de Mora) à Téhéran est quasiment fixé», a indiqué le porte-parole du ministère, Saïd Khatibzadeh, lors de sa conférence de presse hebdomadaire. «Il rencontrera Ali Bagheri, négociateur en chef de la République islamique d’Iran», a-t-il ajouté.
La dernière visite de Mora à Téhéran remonte au 27 mars, et deux jours plus tard, il s’était rendu aux Etats-Unis. «Le voyage de Mora fait avancer les pourparlers dans la bonne direction», a assuré Khatibzadeh, mais cela «ne signifie pas qu’il arrive avec un nouveau message après une pause», a-t-il toutefois souligné. «Si les Etats-Unis décident aujourd’hui de respecter les droits du peuple iranien, nous pouvons aller à Vienne après la visite de M. Mora et signer l’accord», a encore dit le porte-parole.
Après l’arrêt en mars des négociations dans la capitale autrichienne, l’Iran a appelé le 25 avril à une réunion «le plus tôt possible» en vue de rétablir l’accord sur le nucléaire. «L’ordre du jour des pourparlers (de Mora) à Téhéran est quasiment fixé», a indiqué le porte-parole du ministère, Saïd Khatibzadeh, lors de sa conférence de presse hebdomadaire. «Il rencontrera Ali Bagheri, négociateur en chef de la République islamique d’Iran», a-t-il ajouté.
La dernière visite de Mora à Téhéran remonte au 27 mars, et deux jours plus tard, il s’était rendu aux Etats-Unis. «Le voyage de Mora fait avancer les pourparlers dans la bonne direction», a assuré Khatibzadeh, mais cela «ne signifie pas qu’il arrive avec un nouveau message après une pause», a-t-il toutefois souligné. «Si les Etats-Unis décident aujourd’hui de respecter les droits du peuple iranien, nous pouvons aller à Vienne après la visite de M. Mora et signer l’accord», a encore dit le porte-parole.