Sans trop épiloguer sur une situation financière jugée critique et lourde de dettes concédées par l’ex-président s’éclipsant sans laisser de traces et qui poussa les supporters à revendiquer le retour du Groupe OCP, le nouveau président, Lhabib laknouzi, recruta, pour cette saison 2024-2025, le cadre national Aziz Karkach pour bâtir une formation plus compétitive et pour mieux forger une équipe qui pourrait peut- être insuffler un quelconque souffle d’optimisme et sortir le club des affres du doute et des équivoques qui sévissent dans les rouages du club cher à tous les khouribguis.
Or, au terme de la 2ème journée et juste après sa récente et humiliante défaite devant le CAK à Kénitra, l’OCK croula dans le derby qui l’opposa au RCOZ devant un public déçu, dépité et désabusé en raison surtout des embrouilles et manœuvres malveillantes qui bloquent toutes les initiatives essayant de redresser une situation de crise qui perdure depuis cette douloureuse relégation, relégation qui advint malheureusement à un moment où le club khouribgui s’apprêtait à célébrer son centenaire.
Et donc, depuis sa relégation, l’OCK n’arrivait toujours pas à insuffler chez ses supporters un quelconque espoir de retour chez les grands, pas seulement en matière de résultats, mais aussi et surtout en matière de gestion des ressources humaines et financières potentielles.
En effet, dès que le nouveau comité-directeur présidé par Lhabib Knouzi prit les rênes de l’Olympique Club de Khouribga, il fut confronté à un grave imbroglio de gestion du club dont une véritable déroute financière.
Ainsi, membres du comité, adhérents et supporters et à l’unanimité ne manquèrent pas de demander l’ouverture d’une enquête judiciaire, en plus évidemment d’un audit par qui de droit auprès de la FRMF.
A souligner que depuis la relégation du club khouribgui à la division inférieure, l’ex président notamment M. Youssef Jajili se suffit d’envoyer sa démission express, de disparaitre sans donner signe de vie, ni signe de s’excuser auprès des Greeen Ghost, ni, à aucun moment, rendre compte d’une quelconque situation financière.
Pire, l’ex président laissa derrière lui une véritable crise financière pour ne pas dire une trésorerie étripée à l’image de dépenses exagérées ou même jugées douteuses, de chèques impayés et même, selon certains proches, de factures jugées fictives.
Pire encore, le conseil administratif actuel de la sociétésportive FC Khouribga est, il y a presque deux mois, sans président depuis que ce dernier ait présenté sa démission en catimini et sans même se donner la peine de s’ouvrir au public ou même à la presse.
Ainsi, dès l’entame de cette nouvelle saison, et comme aux habitudes de ces dernières saisons, le mystère entoure toujours l'OCK à tous les niveaux.
La réalité d'aujourd'hui est plus complexe, surtoutqu’après que le président duconseil d'administration de la société ait préféré, avant l’ouverture de la nouvelle saison et à un momenttrès sensible, présenter sa démission, ce qui soulevabeaucoup d’interrogations, mais aussi beaucoup de suspicion dans les rouages du club phosphatier.
Dans cette dynamique d’imbroglios et de micmac, une assemblée générale sans, ni ordre du jour, ni rapports moral et financier, avait été annoncée pour le 15 août, mais avait été reportée sine die et comme d’habitude sans que justifications ou autres ne soient données à qui de droit.
En général, le club phosphatier de Khouribga vire-t-il vers l’inconnu ?
Or, au terme de la 2ème journée et juste après sa récente et humiliante défaite devant le CAK à Kénitra, l’OCK croula dans le derby qui l’opposa au RCOZ devant un public déçu, dépité et désabusé en raison surtout des embrouilles et manœuvres malveillantes qui bloquent toutes les initiatives essayant de redresser une situation de crise qui perdure depuis cette douloureuse relégation, relégation qui advint malheureusement à un moment où le club khouribgui s’apprêtait à célébrer son centenaire.
Et donc, depuis sa relégation, l’OCK n’arrivait toujours pas à insuffler chez ses supporters un quelconque espoir de retour chez les grands, pas seulement en matière de résultats, mais aussi et surtout en matière de gestion des ressources humaines et financières potentielles.
En effet, dès que le nouveau comité-directeur présidé par Lhabib Knouzi prit les rênes de l’Olympique Club de Khouribga, il fut confronté à un grave imbroglio de gestion du club dont une véritable déroute financière.
Ainsi, membres du comité, adhérents et supporters et à l’unanimité ne manquèrent pas de demander l’ouverture d’une enquête judiciaire, en plus évidemment d’un audit par qui de droit auprès de la FRMF.
A souligner que depuis la relégation du club khouribgui à la division inférieure, l’ex président notamment M. Youssef Jajili se suffit d’envoyer sa démission express, de disparaitre sans donner signe de vie, ni signe de s’excuser auprès des Greeen Ghost, ni, à aucun moment, rendre compte d’une quelconque situation financière.
Pire, l’ex président laissa derrière lui une véritable crise financière pour ne pas dire une trésorerie étripée à l’image de dépenses exagérées ou même jugées douteuses, de chèques impayés et même, selon certains proches, de factures jugées fictives.
Pire encore, le conseil administratif actuel de la sociétésportive FC Khouribga est, il y a presque deux mois, sans président depuis que ce dernier ait présenté sa démission en catimini et sans même se donner la peine de s’ouvrir au public ou même à la presse.
Ainsi, dès l’entame de cette nouvelle saison, et comme aux habitudes de ces dernières saisons, le mystère entoure toujours l'OCK à tous les niveaux.
La réalité d'aujourd'hui est plus complexe, surtoutqu’après que le président duconseil d'administration de la société ait préféré, avant l’ouverture de la nouvelle saison et à un momenttrès sensible, présenter sa démission, ce qui soulevabeaucoup d’interrogations, mais aussi beaucoup de suspicion dans les rouages du club phosphatier.
Dans cette dynamique d’imbroglios et de micmac, une assemblée générale sans, ni ordre du jour, ni rapports moral et financier, avait été annoncée pour le 15 août, mais avait été reportée sine die et comme d’habitude sans que justifications ou autres ne soient données à qui de droit.
En général, le club phosphatier de Khouribga vire-t-il vers l’inconnu ?