M. Azevedo avait annoncé mi-mai à la surprise générale qu'il quitterait ses fonctions à la tête de l'organisation fin août, un an avant la fin de son mandat, pour "raisons familiales".
Après son départ, un des quatre directeurs adjoints de l'OMC - un Américain, un Allemand, un Nigérian et un Chinois - devait diriger l'organisation en attendant que le successeur du Brésilien soit désigné.
"Il n'y a pas eu de consensus", a déclaré le porte-parole de l'OMC, Keith Rockwell, cité par des médias, ajoutant que le directeur sortant de l'organisation était "déçu".
Se refusant à "spéculer" sur les causes de l'échec, M. Rockwell a admis que "la question de la nationalité" était un des facteurs soulevés, tout comme l'"expérience".
"Le commerce est un sujet hautement politique", a-t-il déclaré, tout en insistant sur le fait que l'absence de directeur intérimaire n'était pas "une grosse affaire".
L'absence de directeur général intérimaire peut poser cependant quelques "questions épineuses" juridiquement, a-t-il reconnu, tout en soulignant qu'il s'agissait d'une période de "deux à trois mois".
Le processus de nomination du successeur de M. Azevedo -huit candidats sont en lice- doit en effet commencer en septembre et peut durer jusqu'en novembre.
(Avec Agences)
Après son départ, un des quatre directeurs adjoints de l'OMC - un Américain, un Allemand, un Nigérian et un Chinois - devait diriger l'organisation en attendant que le successeur du Brésilien soit désigné.
"Il n'y a pas eu de consensus", a déclaré le porte-parole de l'OMC, Keith Rockwell, cité par des médias, ajoutant que le directeur sortant de l'organisation était "déçu".
Se refusant à "spéculer" sur les causes de l'échec, M. Rockwell a admis que "la question de la nationalité" était un des facteurs soulevés, tout comme l'"expérience".
"Le commerce est un sujet hautement politique", a-t-il déclaré, tout en insistant sur le fait que l'absence de directeur intérimaire n'était pas "une grosse affaire".
L'absence de directeur général intérimaire peut poser cependant quelques "questions épineuses" juridiquement, a-t-il reconnu, tout en soulignant qu'il s'agissait d'une période de "deux à trois mois".
Le processus de nomination du successeur de M. Azevedo -huit candidats sont en lice- doit en effet commencer en septembre et peut durer jusqu'en novembre.
(Avec Agences)