En réponse à une question sur le développement du commerce extérieur lors de la séance plénière de questions orales à la Chambre des Représentants, le Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Industrie et du Commerce, chargé du Commerce Extérieur, Omar Hjira, est revenu sur les résultats des rencontres régionales organisées dans les douze régions du Royaume. Celles-ci ont permis d'élargir le débat avec les acteurs économiques locaux, dans le but de formuler des propositions concrètes pour enrichir la feuille de route du commerce extérieur pour la période 2025-2026.
Cette feuille de route en perspective développer et stimuler les exportations, valoriser les spécificités régionales, améliorer la compétitivité de produits marocains, accéder à de nouveaux marchés, ainsi que renforcer la coordination institutionnelle et la gouvernance, conformément à la vision Royale.
Il a noté, à cet égard, que les exportations marocaines ont atteint 430 milliards de dirhams en 2023, tandis que les importations avoisinaient 716 milliards de dirhams durant la même période. Il a souligné que 70% des exportations marocaines sont destinées au marché européen, notamment l’Espagne et la France. Près de 92% de ces exportations sont constituées de produits agricoles, des industries agroalimentaires, des produits phosphatés, du cuir ainsi que des produits électroniques.
Par ailleurs, les exportations vers l’Afrique représentent 7,6% des exportations totales du Royaume et sont constituées de produits phosphatés, de produits de pêche marine, d'automobile, de textile et d'habillement, de cuir et de produits électriques, selon le Secrétaire d’État.
Il a ajouté les dites réunions ont permis de conclure que seules trois régions du Royaume réalisent 85% des exportations marocaines, d’où l’objectif des rencontres d’explorer comment stimuler la participation de toutes les régions dans cette dynamique.
Ces rencontres consultatives, ayant réuni des acteurs éminents du secteur, ont permis de formuler 524 propositions, dont 80 proviennent des régions et 20 des acteurs clés du secteur, soit un nombre inférieur à la capacité dont dispose le Maroc. Ces propositions ont porté, poursuit le responsable gouvernementale, sur l’amélioration de la compétitivité des produits marocains, la facilitation des procédures, l’accompagnement des entreprises, en particulier les PME, les activités de promotion et l’accès aux marchés. A cela, s'ajoute l’élargissement des produits exportés, la garantie de leur durabilité, et la diversification des marchés de vente, notamment en Afrique.
Selon le responsable, le marché africain présente une opportunité importante pour les exportateurs marocains, avec une base de consommateurs de 1,3 milliard, avec un besoin de 143 produits à exporter vers le nord de l’Afrique, 159 vers l’Afrique de l’Ouest et 89 produits vers l’Afrique du Sud.
Pour aider les exportateurs à saisir ce potentiel énorme, le Secrétaire d’État chargé du commerce extérieur a souligné qu’une plateforme numérique dédiée à la communication avec les acteurs de l’exportation sera créée afin de garantir l’accès à l’information concernant les opérations d’importation et d’exportation, notamment avec les pays africains.
De plus, un salon spécial dédié à l’exposition des produits marocains destinés à l’exportation, ainsi que des produits africains, sera bientôt organisé pour illustrer la complémentarité entre les deux marchés et favoriser une coopération gagnant-gagnant.
Cette feuille de route en perspective développer et stimuler les exportations, valoriser les spécificités régionales, améliorer la compétitivité de produits marocains, accéder à de nouveaux marchés, ainsi que renforcer la coordination institutionnelle et la gouvernance, conformément à la vision Royale.
Il a noté, à cet égard, que les exportations marocaines ont atteint 430 milliards de dirhams en 2023, tandis que les importations avoisinaient 716 milliards de dirhams durant la même période. Il a souligné que 70% des exportations marocaines sont destinées au marché européen, notamment l’Espagne et la France. Près de 92% de ces exportations sont constituées de produits agricoles, des industries agroalimentaires, des produits phosphatés, du cuir ainsi que des produits électroniques.
Par ailleurs, les exportations vers l’Afrique représentent 7,6% des exportations totales du Royaume et sont constituées de produits phosphatés, de produits de pêche marine, d'automobile, de textile et d'habillement, de cuir et de produits électriques, selon le Secrétaire d’État.
Il a ajouté les dites réunions ont permis de conclure que seules trois régions du Royaume réalisent 85% des exportations marocaines, d’où l’objectif des rencontres d’explorer comment stimuler la participation de toutes les régions dans cette dynamique.
Ces rencontres consultatives, ayant réuni des acteurs éminents du secteur, ont permis de formuler 524 propositions, dont 80 proviennent des régions et 20 des acteurs clés du secteur, soit un nombre inférieur à la capacité dont dispose le Maroc. Ces propositions ont porté, poursuit le responsable gouvernementale, sur l’amélioration de la compétitivité des produits marocains, la facilitation des procédures, l’accompagnement des entreprises, en particulier les PME, les activités de promotion et l’accès aux marchés. A cela, s'ajoute l’élargissement des produits exportés, la garantie de leur durabilité, et la diversification des marchés de vente, notamment en Afrique.
Selon le responsable, le marché africain présente une opportunité importante pour les exportateurs marocains, avec une base de consommateurs de 1,3 milliard, avec un besoin de 143 produits à exporter vers le nord de l’Afrique, 159 vers l’Afrique de l’Ouest et 89 produits vers l’Afrique du Sud.
Pour aider les exportateurs à saisir ce potentiel énorme, le Secrétaire d’État chargé du commerce extérieur a souligné qu’une plateforme numérique dédiée à la communication avec les acteurs de l’exportation sera créée afin de garantir l’accès à l’information concernant les opérations d’importation et d’exportation, notamment avec les pays africains.
De plus, un salon spécial dédié à l’exposition des produits marocains destinés à l’exportation, ainsi que des produits africains, sera bientôt organisé pour illustrer la complémentarité entre les deux marchés et favoriser une coopération gagnant-gagnant.