Alors que la hausse des prix des produits alimentaires reste difficile à contenir et que le gouvernement a décidé, à partir de cette année, de réduire progressivement la subvention sur le gaz butane, la classe moyenne se retrouve dans une situation financière de plus en plus précaire.
Le Projet de Loi de Finances (PLF) 2025 tente de soulager cette catégorie en proposant un réaménagement du barème de calcul de l’IR, visant à permettre une augmentation, quoique modérée, du salaire net des fonctionnaires et des salariés. Si l’impact devrait varier selon le revenu de chacun, ce sont principalement les catégories inférieures de la classe moyenne qui devraient en bénéficier.
En parallèle, les résultats du dialogue social ont été plus bénéfiques aux fonctionnaires qu’aux salariés du secteur privé. Ainsi, la classe moyenne intermédiaire et supérieure (représentant 37,3% de la population marocaine, selon le HCP) continuera à subir une forte pression fiscale.
Le Projet de Loi de Finances (PLF) 2025 tente de soulager cette catégorie en proposant un réaménagement du barème de calcul de l’IR, visant à permettre une augmentation, quoique modérée, du salaire net des fonctionnaires et des salariés. Si l’impact devrait varier selon le revenu de chacun, ce sont principalement les catégories inférieures de la classe moyenne qui devraient en bénéficier.
En parallèle, les résultats du dialogue social ont été plus bénéfiques aux fonctionnaires qu’aux salariés du secteur privé. Ainsi, la classe moyenne intermédiaire et supérieure (représentant 37,3% de la population marocaine, selon le HCP) continuera à subir une forte pression fiscale.
Trouvez l'intégralité de l'article dans notre édition du Jeudi 31 Octobre 2024, disponible en kiosque.