Deux Palestiniens ont été tués et 19 autres ont été blessés, dimanche, dans deux frappes aériennes israéliennes visant une maison et une tente abritant des personnes déplacées dans le centre et le sud de la Bande Gaza.
Les deux Palestiniens ont été tués lors d'une frappe aérienne sur la zone d'Al-Mawasi, à l'ouest de Khan Younes, qui a également blessé huit autres personnes, a déclaré une source médicale à Anadolu.
Des témoins oculaires ont déclaré qu'un hélicoptère israélien avait pris pour cible une tente abritant des Palestiniens déplacés à Al-Mawasi, désignée par l'armée israélienne comme une "zone humanitaire sûre".
Dans le centre de la Bande de Gaza, 11 Palestiniens, pour la plupart des enfants et des personnes âgées, ont été blessés lorsqu'un drone israélien a pris pour cible une maison dans le camp de réfugiés d'Al-Bureij, ont indiqué des secouristes.
L'armée israélienne poursuit sa campagne meurtrière depuis le 7 octobre de l’année dernière contre la Bande de Gaza. Campagne qui a tué plus de 42.600 palestiniens, principalement des femmes et des enfants, et en a blessé 99.800 autres, selon les autorités sanitaires locales.
Les attaques israéliennes ont déplacé la quasi-totalité de la population de l’enclave palestinienne, sur fond de blocus permanent qui a entraîné de graves pénuries de denrées alimentaires, d'eau potable et de médicaments.
Gaza, un enfer sur terre pour les enfants palestiniens
Gaza est devenu un véritable « enfer sur terre » pour le million d’enfants qui y vit, alors qu’environ 40 d’entre eux décèdent chaque jour depuis un an, a affirmé vendredi dernier l’UNICEF.
Plus d’un an après le début de la guerre à Gaza, « les enfants continuent de subir des souffrances quotidiennes indescriptibles », a déclaré le porte-parole du Fonds des Nations unies pour l’enfance, James Elder, lors d’un point de presse à Genève.
« Gaza est l’incarnation réelle de l’enfer sur terre pour son million d’enfants. La situation s’aggrave de jour en jour au fur et à mesure que nous constatons l’impact horrible des frappes aériennes et des opérations militaires », a-t-il observé.
« Si ce niveau d’horreur ne réveille pas notre humanité et ne nous pousse pas à agir, alors qu’est-ce qui le fera ? », a-t-il interrogé.
Selon Elder, les estimations « prudentes » évaluent à plus de 14.100 le nombre d’enfants morts à Gaza depuis le 7 octobre 2023.
Cela signifie qu'« environ 35 à 40 filles et garçons sont tués chaque jour à Gaza depuis le 7 octobre », alors que de nombreux morts sont toujours sous les débris et gravats.
Ce qui semble être une politique délibérée, tant qu’à un rabbin israélien avait explicitement appelé au meurtre de femmes et d’enfants dans la bande de Gaza, expliquant qu’il s’agit d’une réponse aux ordres de la halakha, ou la loi juive.
Dans une vidéo dégoulinant de haine, le rabbin Eliyahu Mali, fondateur de la « yeshiva militaire Shirat Moshe » à Jaffa, dont les étudiants participent au génocide qui se déroule à Gaza, soutient que dans ce qu’il appelle la guerre sainte (mitzvah), le cas échéant à Gaza, et selon ce que dit la loi : « vous ne laisserez pas vivre une âme », affirmant que ceux décrits dans la guerre d’aujourd’hui comme des « saboteurs », sont « les enfants de la guerre précédente [qu’Israël] a maintenus en vie, et qu’en réalité, ce sont les femmes qui créent ces terroristes ».
« Ce n’est pas seulement le jeune homme âgé de 16, 18, 20 ou 30 ans qui vous tire dessus avec une arme, mais aussi la génération future (les enfants de Gaza) et ceux qui créent la génération future (les femmes de Gaza), parce qu’il n’y a vraiment aucune différence », a-t-il lancé.
Les deux Palestiniens ont été tués lors d'une frappe aérienne sur la zone d'Al-Mawasi, à l'ouest de Khan Younes, qui a également blessé huit autres personnes, a déclaré une source médicale à Anadolu.
Des témoins oculaires ont déclaré qu'un hélicoptère israélien avait pris pour cible une tente abritant des Palestiniens déplacés à Al-Mawasi, désignée par l'armée israélienne comme une "zone humanitaire sûre".
Dans le centre de la Bande de Gaza, 11 Palestiniens, pour la plupart des enfants et des personnes âgées, ont été blessés lorsqu'un drone israélien a pris pour cible une maison dans le camp de réfugiés d'Al-Bureij, ont indiqué des secouristes.
L'armée israélienne poursuit sa campagne meurtrière depuis le 7 octobre de l’année dernière contre la Bande de Gaza. Campagne qui a tué plus de 42.600 palestiniens, principalement des femmes et des enfants, et en a blessé 99.800 autres, selon les autorités sanitaires locales.
Les attaques israéliennes ont déplacé la quasi-totalité de la population de l’enclave palestinienne, sur fond de blocus permanent qui a entraîné de graves pénuries de denrées alimentaires, d'eau potable et de médicaments.
Gaza, un enfer sur terre pour les enfants palestiniens
Gaza est devenu un véritable « enfer sur terre » pour le million d’enfants qui y vit, alors qu’environ 40 d’entre eux décèdent chaque jour depuis un an, a affirmé vendredi dernier l’UNICEF.
Plus d’un an après le début de la guerre à Gaza, « les enfants continuent de subir des souffrances quotidiennes indescriptibles », a déclaré le porte-parole du Fonds des Nations unies pour l’enfance, James Elder, lors d’un point de presse à Genève.
« Gaza est l’incarnation réelle de l’enfer sur terre pour son million d’enfants. La situation s’aggrave de jour en jour au fur et à mesure que nous constatons l’impact horrible des frappes aériennes et des opérations militaires », a-t-il observé.
« Si ce niveau d’horreur ne réveille pas notre humanité et ne nous pousse pas à agir, alors qu’est-ce qui le fera ? », a-t-il interrogé.
Selon Elder, les estimations « prudentes » évaluent à plus de 14.100 le nombre d’enfants morts à Gaza depuis le 7 octobre 2023.
Cela signifie qu'« environ 35 à 40 filles et garçons sont tués chaque jour à Gaza depuis le 7 octobre », alors que de nombreux morts sont toujours sous les débris et gravats.
Ce qui semble être une politique délibérée, tant qu’à un rabbin israélien avait explicitement appelé au meurtre de femmes et d’enfants dans la bande de Gaza, expliquant qu’il s’agit d’une réponse aux ordres de la halakha, ou la loi juive.
Dans une vidéo dégoulinant de haine, le rabbin Eliyahu Mali, fondateur de la « yeshiva militaire Shirat Moshe » à Jaffa, dont les étudiants participent au génocide qui se déroule à Gaza, soutient que dans ce qu’il appelle la guerre sainte (mitzvah), le cas échéant à Gaza, et selon ce que dit la loi : « vous ne laisserez pas vivre une âme », affirmant que ceux décrits dans la guerre d’aujourd’hui comme des « saboteurs », sont « les enfants de la guerre précédente [qu’Israël] a maintenus en vie, et qu’en réalité, ce sont les femmes qui créent ces terroristes ».
« Ce n’est pas seulement le jeune homme âgé de 16, 18, 20 ou 30 ans qui vous tire dessus avec une arme, mais aussi la génération future (les enfants de Gaza) et ceux qui créent la génération future (les femmes de Gaza), parce qu’il n’y a vraiment aucune différence », a-t-il lancé.