D’ailleurs, la gravité des coupures varie selon les cas. Certains pays ayant souffert de perturbations pendant seulement quelques minutes tandis que d’autres continuaient à être fortement affectés jusqu'à la fin de la semaine dernière.
La raison de la panne n’est toujours pas connue. Cependant, l’autorité de régulation des télécoms nigériane a évoqué dans un communiqué « une combinaison de coupures de câbles, situés quelque part en Côte d’Ivoire et au Sénégal », « entraînant des pannes d’équipement ».
Le pays le plus touché est la Côte d’Ivoire, où quatre sur cinq des câbles sous-marins des deux opérateurs, Orange (filiale de l’opérateur français) et MTN (filiale du groupe sud-africain), permettant à la Côte d’Ivoire d’accéder à Internet ont été perturbés.
En revanche, certains opérateurs ont su préserver leurs services sans interruption. On parle de Moov Africa, une filiale du Groupe Maroc Telecom, qui s’est appui sur son infrastructure pour maintenir ses services opérationnels, attirant de nombreuses personnes vers ses services.
Face aux inquiétudes soulevées par cette crise, Moov Africa a agi en mettant en place de nouvelles capacités au niveau du câble sous-marin West Africa et des points d’accès Internet au Maroc, en vue de maintenir la connectivité des clients dans les pays concernés. Petit à petit, la connectivité a repris, notamment en ce qui concerne les activités économiques et bancaires, en attendant la résolution définitive de la panne survenue.
Ainsi, les clients de Moov Africa en Côte d’Ivoire ont continué à accéder à Internet grâce au câble sous-marin West Africa du Groupe Maroc Telecom, qui relie l’Afrique de l’Ouest à l’Europe via le Maroc. Ce câble, d’une longueur de 9.400 km et d’une capacité allant jusqu’à 60 Tbps, a permis de maintenir la connectivité Internet dans la région, malgré les perturbations survenues.
Pour rappel, le câble West Africa relie l’Afrique de l’Ouest à l’Europe via le Maroc. Il compte huit points d’atterrissage répartis dans sept pays.
Plus qu’une simple crise passagère, cette anomalie vécue dans certains pays d’Afrique a mis en lumière les défis persistants en matière de connectivité Internet. Plusieurs experts ont soulevé la nécessité d’investir dans des infrastructures de communication résilientes en vue de garantir une connectivité Internet stable.
La raison de la panne n’est toujours pas connue. Cependant, l’autorité de régulation des télécoms nigériane a évoqué dans un communiqué « une combinaison de coupures de câbles, situés quelque part en Côte d’Ivoire et au Sénégal », « entraînant des pannes d’équipement ».
Le pays le plus touché est la Côte d’Ivoire, où quatre sur cinq des câbles sous-marins des deux opérateurs, Orange (filiale de l’opérateur français) et MTN (filiale du groupe sud-africain), permettant à la Côte d’Ivoire d’accéder à Internet ont été perturbés.
En revanche, certains opérateurs ont su préserver leurs services sans interruption. On parle de Moov Africa, une filiale du Groupe Maroc Telecom, qui s’est appui sur son infrastructure pour maintenir ses services opérationnels, attirant de nombreuses personnes vers ses services.
Face aux inquiétudes soulevées par cette crise, Moov Africa a agi en mettant en place de nouvelles capacités au niveau du câble sous-marin West Africa et des points d’accès Internet au Maroc, en vue de maintenir la connectivité des clients dans les pays concernés. Petit à petit, la connectivité a repris, notamment en ce qui concerne les activités économiques et bancaires, en attendant la résolution définitive de la panne survenue.
Ainsi, les clients de Moov Africa en Côte d’Ivoire ont continué à accéder à Internet grâce au câble sous-marin West Africa du Groupe Maroc Telecom, qui relie l’Afrique de l’Ouest à l’Europe via le Maroc. Ce câble, d’une longueur de 9.400 km et d’une capacité allant jusqu’à 60 Tbps, a permis de maintenir la connectivité Internet dans la région, malgré les perturbations survenues.
Pour rappel, le câble West Africa relie l’Afrique de l’Ouest à l’Europe via le Maroc. Il compte huit points d’atterrissage répartis dans sept pays.
Plus qu’une simple crise passagère, cette anomalie vécue dans certains pays d’Afrique a mis en lumière les défis persistants en matière de connectivité Internet. Plusieurs experts ont soulevé la nécessité d’investir dans des infrastructures de communication résilientes en vue de garantir une connectivité Internet stable.