Un homme, ressortissant étranger et gestionnaire d'un club local, a massacré un troupeau de moutons avec sa voiture dans la petite station balnéaire d'Assanaouber, ancienne plage David, située entre Bouznika et Mohammedia.
Une vidéo publiée sur les réseaux sociaux a immortalisé cette horrible scène où l'on perçoit un véhicule utilitaire de couleur grise foncer à toute vitesse sur un paisible troupeau de ruminants chétifs qui étaient en train de brouter l'herbe jaunie avant l'heure en cette période de sécheresse.
Le conducteur fou serait un manager expatrié du "Club des Pins", un établissement situé à proximité du lieu du drame. Contrairement à ce qui a été diffusé, le monsieur n’est pas propriétaire, mais uniquement gérant de ce club qui appartient à l’association « Assanaouber».
Le pire, ce'est qu'après avoir accompli son forfait, l'auteur du massacre s'est garé près du jeune berger qui accompagnait les pauvres bêtes et qui semblait tétanisé par la scène, avant de le menacer de lui faire subir le même sort s'il s'avisait de revenir.
Les résidents de la plage d'Assanaoubar ont reconnu l'homme et l'ont identifié comme la même personne responsable de l'abattage lâche d'un chien berger de la même manière, l'année dernière. Selon des témoignages qui circulent sur la toile, la personne en question avait mené l'attaque en 2019 pour protester contre le pâturage des animaux sur «sa terre».
Suite à une plainte officielle, les autorités locales sont intervenues pour arrêter ce tueur en série d'animaux. Les organisations marocaines de défense des animaux, dont l'association "comme chats et chiens" sont également intervenues pour condamner le crime que rien ne peut justifier, même pas l'intrusion sauvage de ces bêtes sur le terrain d'autrui.
En plus du dommage matériel, significatif en cette période de crise et de sécheresse où le monde rural et ses résidents sont dans une situation économique hautement vulnérable, des acteurs associatifs s'inquiètent également de l'impact de cet attentat sur le jeune berger qui en fut malgré lui le témoin. Une association s'est donc proposée pour lui offrir les services d'un avocat, tandis qu'un certain nombre de citoyens se sont proposés sur la page Facebook "Plage David" pour lui offrir soutien psychologique et matériel.
Une vidéo publiée sur les réseaux sociaux a immortalisé cette horrible scène où l'on perçoit un véhicule utilitaire de couleur grise foncer à toute vitesse sur un paisible troupeau de ruminants chétifs qui étaient en train de brouter l'herbe jaunie avant l'heure en cette période de sécheresse.
Le conducteur fou serait un manager expatrié du "Club des Pins", un établissement situé à proximité du lieu du drame. Contrairement à ce qui a été diffusé, le monsieur n’est pas propriétaire, mais uniquement gérant de ce club qui appartient à l’association « Assanaouber».
Le pire, ce'est qu'après avoir accompli son forfait, l'auteur du massacre s'est garé près du jeune berger qui accompagnait les pauvres bêtes et qui semblait tétanisé par la scène, avant de le menacer de lui faire subir le même sort s'il s'avisait de revenir.
Les résidents de la plage d'Assanaoubar ont reconnu l'homme et l'ont identifié comme la même personne responsable de l'abattage lâche d'un chien berger de la même manière, l'année dernière. Selon des témoignages qui circulent sur la toile, la personne en question avait mené l'attaque en 2019 pour protester contre le pâturage des animaux sur «sa terre».
Suite à une plainte officielle, les autorités locales sont intervenues pour arrêter ce tueur en série d'animaux. Les organisations marocaines de défense des animaux, dont l'association "comme chats et chiens" sont également intervenues pour condamner le crime que rien ne peut justifier, même pas l'intrusion sauvage de ces bêtes sur le terrain d'autrui.
En plus du dommage matériel, significatif en cette période de crise et de sécheresse où le monde rural et ses résidents sont dans une situation économique hautement vulnérable, des acteurs associatifs s'inquiètent également de l'impact de cet attentat sur le jeune berger qui en fut malgré lui le témoin. Une association s'est donc proposée pour lui offrir les services d'un avocat, tandis qu'un certain nombre de citoyens se sont proposés sur la page Facebook "Plage David" pour lui offrir soutien psychologique et matériel.