La dernière journée du championnat anglais a rendu son verdict ce dimanche. Au coude à coude avec Arsenal, c’est finalement Manchester City qui soulève le trophée (91 points contre 89 pour Arsenal). Les deux clubs étaient engagés dans une course à distance depuis le match nul qui les a opposés le 30 mars dernier (0-0), pour le compte de la 30ème journée de Premier League.
À l’issue de cette rencontre, Arsenal occupait la seconde place avec 65 points, et City était troisième avec 64 points. Ce nul faisait alors les affaires de Liverpool (67 points), qui a ensuite été écarté de la course au titre à cause de ses résultats mitigés.
Depuis, les Skyblues se sont montrés intraitables et ont enchaîné neuf victoires en neuf matches alors que les Gunners concédaient une défaite, pour huit victoires.
Rodri est d’ailleurs revenu avec des mots durs sur cette rencontre, qui pour lui, a condamné Arsenal, son adversaire étant responsable d’une attitude qui selon lui n’a pas été assez conquérante.
« La différence entre nous et Arsenal, c’est la mentalité. Quand Arsenal est arrivé à l’Etihad, j’ai senti que ces gars-là ne voulaient pas nous battre, ils veulent juste faire match nul, cette mentalité, ce n’est pas la nôtre. Si vous nous donnez un point, nous gagnerons les 7 ou 8 derniers matches », est-il revenu.
À l’issue de cette rencontre, Arsenal occupait la seconde place avec 65 points, et City était troisième avec 64 points. Ce nul faisait alors les affaires de Liverpool (67 points), qui a ensuite été écarté de la course au titre à cause de ses résultats mitigés.
Depuis, les Skyblues se sont montrés intraitables et ont enchaîné neuf victoires en neuf matches alors que les Gunners concédaient une défaite, pour huit victoires.
Rodri est d’ailleurs revenu avec des mots durs sur cette rencontre, qui pour lui, a condamné Arsenal, son adversaire étant responsable d’une attitude qui selon lui n’a pas été assez conquérante.
« La différence entre nous et Arsenal, c’est la mentalité. Quand Arsenal est arrivé à l’Etihad, j’ai senti que ces gars-là ne voulaient pas nous battre, ils veulent juste faire match nul, cette mentalité, ce n’est pas la nôtre. Si vous nous donnez un point, nous gagnerons les 7 ou 8 derniers matches », est-il revenu.
Malgré ses dires, le club au canon a été l’auteur d’une belle deuxième partie de saison, puisqu’il a abandonné seulement 4 points sur les 54 points possibles en 2024, contre Manchester City justement (0-0) et puis contre Aston Villa (2-0).
Arsenal a également battu son record de victoires sur une saison (28 victoires, soit 2 de plus que les « Invincibles » de 2004), et cumulé un montant très flatteur de 18 « clean sheets » sur l’ensemble de la saison. On peut penser dès lors qu’Arteta a semé de belles promesses pour l’année prochaine, suite à une cuvée 2023-2024 convaincante.
Avec dans son effectif des joueurs comme Martin Odegaard (25 ans), Declan Rice (25 ans), Kai Havertz (24 ans), William Saliba (23 ans) ou encore le remuant Bukayo Saka (22 ans), le digne enfant du club, tous menés d'une main de maître par le chef d'orchestre espagnol, Arsenal a de quoi être confiant pour l'avenir.
Finalement, le club de Londres pourra regretter son passage à vide lors de l’hiver, durant le mois de décembre, lorsqu’il a concédé trois de ses cinq défaites de Premier League.
Pour ce qui est de la Ligue des champions, la compétition reine au niveau européen, Arsenal a signé un beau retour au stade des quarts de finale et peut nourrir l’ambition de faire au moins aussi bien en 2024-2025.
Arsenal a également battu son record de victoires sur une saison (28 victoires, soit 2 de plus que les « Invincibles » de 2004), et cumulé un montant très flatteur de 18 « clean sheets » sur l’ensemble de la saison. On peut penser dès lors qu’Arteta a semé de belles promesses pour l’année prochaine, suite à une cuvée 2023-2024 convaincante.
Avec dans son effectif des joueurs comme Martin Odegaard (25 ans), Declan Rice (25 ans), Kai Havertz (24 ans), William Saliba (23 ans) ou encore le remuant Bukayo Saka (22 ans), le digne enfant du club, tous menés d'une main de maître par le chef d'orchestre espagnol, Arsenal a de quoi être confiant pour l'avenir.
Finalement, le club de Londres pourra regretter son passage à vide lors de l’hiver, durant le mois de décembre, lorsqu’il a concédé trois de ses cinq défaites de Premier League.
Pour ce qui est de la Ligue des champions, la compétition reine au niveau européen, Arsenal a signé un beau retour au stade des quarts de finale et peut nourrir l’ambition de faire au moins aussi bien en 2024-2025.