Les habitants de la métropole n’en peuvent plus des conditions « déplorables » du cadre de vie causé par le manque d’espaces verts dans la ville. La prolifération du béton est devenue une source d’inquiétude pour les Bidaouis qui regrettent le temps où existait un équilibre harmonieux entre le cadre bâti et les espaces verts.
Face à cela, la commune de Casablanca a contracté un crédit en empruntant à la Banque mondiale (BM) environ 54 millions de dirhams, dont une somme d’environ 24 millions de dirhams seront affectés pour sauver différentes zones de la ville de la désertification, ont rapporté des médias locaux.
Le prêt versé par l’institution mondiale s’inscrit également dans le cadre de la contribution au financement de son plan de développement 2015-2020 de la ville qui vise à réconcilier les habitants avec leur ville, d’optimiser la mobilité des habitants et des visiteurs, d’incarner l’excellence et de développer une offre de divertissement différenciée.
Des espaces verts prévus
Dans le cadre de l’amélioration du cadre de vie des habitants de la ville blanche, des espaces verts, des fontaines, ainsi que des parcs seront aménagés, réhabilités ou mis en place dans différents coins de la métropole, où les promoteurs immobiliers ne manquent pas de transformer tout espace d’agrément végétalisé en béton. « En plus de la saleté, l’insécurité, l’état déplorable des rues, ou la mauvaise gestion des eaux pluviales, nous voilà face à un manque flagrant d’espaces verts », a déploré un Casablancais sur les réseaux sociaux. Il a à ce propos ajouté que « de nos jours, il faut traverser des centaines de mètres pour tomber sur un parc ou un jardin ».
Il convient de noter que la mise en oeuvre de ce plan de développement du grand Casablanca qui a nécessité la mobilisation d’une enveloppe budgétaire « publique » globale de 33,6 MMDH, a fait l’objet de signature de 10 conventions le 26 septembre 2014, devant Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Les chantiers majeurs sont en cours de réalisation, mais peinent, selon les médias locaux, à avancer à cause de l’insuffisance des recettes et la crise qui secoue toujours les finances de la ville.
En plus de l’initiative d’un arbre par foyer, à laquelle ont été alloués 150 millions de dirhams, ledit plan a consacré un budget de 139 millions de dirhams pour la création de plusieurs parcs de proximité, dont des espaces verts.
Une enveloppe de 30 milliards de dirhams a, in fine, été consacrée à la mise en place des parcs et des entrées principales de la ville.
Face à cela, la commune de Casablanca a contracté un crédit en empruntant à la Banque mondiale (BM) environ 54 millions de dirhams, dont une somme d’environ 24 millions de dirhams seront affectés pour sauver différentes zones de la ville de la désertification, ont rapporté des médias locaux.
Le prêt versé par l’institution mondiale s’inscrit également dans le cadre de la contribution au financement de son plan de développement 2015-2020 de la ville qui vise à réconcilier les habitants avec leur ville, d’optimiser la mobilité des habitants et des visiteurs, d’incarner l’excellence et de développer une offre de divertissement différenciée.
Des espaces verts prévus
Dans le cadre de l’amélioration du cadre de vie des habitants de la ville blanche, des espaces verts, des fontaines, ainsi que des parcs seront aménagés, réhabilités ou mis en place dans différents coins de la métropole, où les promoteurs immobiliers ne manquent pas de transformer tout espace d’agrément végétalisé en béton. « En plus de la saleté, l’insécurité, l’état déplorable des rues, ou la mauvaise gestion des eaux pluviales, nous voilà face à un manque flagrant d’espaces verts », a déploré un Casablancais sur les réseaux sociaux. Il a à ce propos ajouté que « de nos jours, il faut traverser des centaines de mètres pour tomber sur un parc ou un jardin ».
Il convient de noter que la mise en oeuvre de ce plan de développement du grand Casablanca qui a nécessité la mobilisation d’une enveloppe budgétaire « publique » globale de 33,6 MMDH, a fait l’objet de signature de 10 conventions le 26 septembre 2014, devant Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Les chantiers majeurs sont en cours de réalisation, mais peinent, selon les médias locaux, à avancer à cause de l’insuffisance des recettes et la crise qui secoue toujours les finances de la ville.
En plus de l’initiative d’un arbre par foyer, à laquelle ont été alloués 150 millions de dirhams, ledit plan a consacré un budget de 139 millions de dirhams pour la création de plusieurs parcs de proximité, dont des espaces verts.
Une enveloppe de 30 milliards de dirhams a, in fine, été consacrée à la mise en place des parcs et des entrées principales de la ville.