A l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, un studio multifonctionnel au profit des détenues de la prison locale Aïn Sebaâ 1 de Casablanca a été ouvert, mardi. Le studio, doté d’équipements de pointe, comprend un café culturel où se tiendront des cours et des conférences à distance, une régie, une galerie technique, une salle d’enregistrement et un espace sanitaire. Il a pour objectif de renforcer les capacités des femmes détenues en matière de savoir-faire et d’apprentissage à distance, et de leur permettre de faire preuve d’innovation artistique et intellectuelle.
Ainsi, les pensionnaires ont participé en cette journée d’ouverture à différentes activités sportives, en présence de la présidente de la Fédération royale marocaine du sport pour tous (FRMSPT), Mme Nezha Bidouane.
A cette occasion, le chef de division de l’action sociale à la Délégation générale à l’Administration pénitentiaire et à la Réinsertion (DGAPR), Benaissa Bennacer, a indiqué que ce studio va permettre aux femmes pensionnaires d’enregistrer leurs différentes créations dans les domaines de la poésie, de la musique et du théâtre, entre autres.
Il va permettre également aux étudiantes universitaires de suivre des cours et d’interagir avec leurs enseignants, a-t-il ajouté, rappelant que ce studio est le 2ème du genre qui a été ouvert après celui de la prison locale de Salé 2 qui s’est dotée d’un studio d’enseignement à distance dans le cadre d’un programme d’action signé entre l’Institut de coopération internationale de la Confédération allemande pour l’éducation des adultes (DVV) et la Fondation Mohammed VI pour la réinsertion des détenus.
Pour sa part, l’ancienne athlète et championne olympique Nezha Bidouane a indiqué, dans une déclaration similaire, que ce programme, tracé par la FRMSPT et la DGAPR, s’étend tout au long de l’année, y compris lors de la Journée internationale des droits des femmes, célébrée au sein de cette institution. Elle a également fait savoir que la pratique du sport constitue désormais un des droits de l’Homme, même pour les détenus, afin de les encourager à faire des exercices physiques et à se divertir.
Des pensionnaires, qui ont participé à cette journée, se sont félicitées de la célébration de cette journée, qui leur a « permis de respirer un air de liberté, d’oublier pour un moment la routine de la détention, et d’avoir l’impression d’être loin des murs de la prison ». Il s’agit d’une expérience pionnière dans le domaine de l’inclusion des femmes détenues dans la vie artistique et culturelle. Puisse-t-elle être généralisée sur l’ensemble des établissements pénitentiaires nationaux.
Ainsi, les pensionnaires ont participé en cette journée d’ouverture à différentes activités sportives, en présence de la présidente de la Fédération royale marocaine du sport pour tous (FRMSPT), Mme Nezha Bidouane.
A cette occasion, le chef de division de l’action sociale à la Délégation générale à l’Administration pénitentiaire et à la Réinsertion (DGAPR), Benaissa Bennacer, a indiqué que ce studio va permettre aux femmes pensionnaires d’enregistrer leurs différentes créations dans les domaines de la poésie, de la musique et du théâtre, entre autres.
Il va permettre également aux étudiantes universitaires de suivre des cours et d’interagir avec leurs enseignants, a-t-il ajouté, rappelant que ce studio est le 2ème du genre qui a été ouvert après celui de la prison locale de Salé 2 qui s’est dotée d’un studio d’enseignement à distance dans le cadre d’un programme d’action signé entre l’Institut de coopération internationale de la Confédération allemande pour l’éducation des adultes (DVV) et la Fondation Mohammed VI pour la réinsertion des détenus.
Pour sa part, l’ancienne athlète et championne olympique Nezha Bidouane a indiqué, dans une déclaration similaire, que ce programme, tracé par la FRMSPT et la DGAPR, s’étend tout au long de l’année, y compris lors de la Journée internationale des droits des femmes, célébrée au sein de cette institution. Elle a également fait savoir que la pratique du sport constitue désormais un des droits de l’Homme, même pour les détenus, afin de les encourager à faire des exercices physiques et à se divertir.
Des pensionnaires, qui ont participé à cette journée, se sont félicitées de la célébration de cette journée, qui leur a « permis de respirer un air de liberté, d’oublier pour un moment la routine de la détention, et d’avoir l’impression d’être loin des murs de la prison ». Il s’agit d’une expérience pionnière dans le domaine de l’inclusion des femmes détenues dans la vie artistique et culturelle. Puisse-t-elle être généralisée sur l’ensemble des établissements pénitentiaires nationaux.
Achraf EL OUAD
Prison locale de Salé, pionnière en la matière
En novembre 2020, et dans le cadre de la mise en oeuvre de programmes de qualification au profit des pensionnaires des établissements pénitentiaires, un studio a été mis en service au sein de la prison locale 2 de Salé.
Ce studio vise à assurer un enseignement à distance au profit des étudiants pensionnaires des établissements pénitentiaires, avait fait savoir un communiqué de la DGAPR, précisant que des professeurs universitaires donneraient des cours qui seraient diffusés en direct, à partir de ce studio, au sein des établissements pénitentiaires concernés.
Ce studio a également servi, depuis sa création il y a plus d’un an, à enregistrer les créations artistiques, culturelles et intellectuelles des pensionnaires, sous la supervision des cadres de la DGAPR.
Ce studio vise à assurer un enseignement à distance au profit des étudiants pensionnaires des établissements pénitentiaires, avait fait savoir un communiqué de la DGAPR, précisant que des professeurs universitaires donneraient des cours qui seraient diffusés en direct, à partir de ce studio, au sein des établissements pénitentiaires concernés.
Ce studio a également servi, depuis sa création il y a plus d’un an, à enregistrer les créations artistiques, culturelles et intellectuelles des pensionnaires, sous la supervision des cadres de la DGAPR.
