Dans la catégorie Poésie, le Prix a été décerné ex aequo à Mohamed Ali Rabaoui et Rachid El Moumni, indique le ministère dans un communiqué. Le Prix de la Narration est revenu à Ismail Ghazali pour son roman “Les chats de l’archipel”, publié aux éditions Méditerranée (Milan, 2020), alors que le “Prix des sciences humaines” a été attribué ex aequo à Boubkar Bouhadi pour son ouvrage “Le Maroc et la guerre civile espagnole 1936-1939” publié aux Éditions Bab El Hikma (Tétouan, 2020) et Yahya El Yahyaoui, pour le livre “Écosystème des données numériques”, des Éditions Spinal (Paris, 2020).
Le “Prix des sciences sociales” a été décerné ex aequo à Yahya Ben El Walid pour son livre “Où sont les intellectuels arabes ? Contextes et représentations”, publié aux Éditions Azmina (Amman, 2020), et Idriss Makboul pour son ouvrage “L’homme, l’urbanisme et la langue, un message de la détérioration des modules dans la ville arabe” publié par le Centre arabe de recherche et d’études politiques (Beyrouth, 2020).
Le “Prix des études littéraires, artistiques et linguistiques” a été remporté par Nizar Tajditi tandis que le “Prix de la traduction” a été partagé par Ahmed Bouhassan et Mohammed El-Jarti.
Le prix des études dans le domaine de la culture amazighe a été attribué à Khalid Ansar pour son ouvrage “Sibilants in Amazigh” publié par la maison d’édition Okad (Rabat, 2020), alors que le prix de la création littéraire amazighe a été décerné ex-aequo à Hassan Oubrahim pour son roman “Titbirin Tiḥrḍaḍ” (les pigeons nus) publié à Tira Editions (Agadir, 2020) et à Taieb Amkroud pour son recueil “Arokal” (Braise sous les cendres) édité par l’imprimerie centrale de Souss (Aït Melloul, 2020).
Le jury a décidé de ne pas attribuer cette année le prix du livre dédié à l’enfant et aux jeunes. Le ministre de la jeunesse, de la culture et de la communication, Mohamed Mehdi Bensaïd, qui a reçu à cette occasion le président et les membres du jury du Prix du Maroc du livre 2021, a salué le travail du jury, affirmant la détermination du ministère à développer ce Prix et à organiser une grande cérémonie qui soit à la hauteur de la place du Livre au sein de la société marocaine.
Selon le ministère, quelque 192 livres étaient en compétition dans le cadre de l’édition de 2021, touchant à la poésie (20), à la narration (46), aux sciences humaines (19), aux sciences sociales (21), aux études littéraires, artistiques et linguistiques (30), aux études dans le domaine de la culture amazighe (8), à la création artistique amazighe (17), au livre dédié à l’enfant et aux jeunes (15) et à la traduction (16).
Le jury a été présidé par Abdelali Ouedghiri, alors que la présidence des commissions sectorielles a été confiée à Ahmed Rissouni (poésie), à Abdelkrim Jouiti (narration, créativité littéraire amazighe et livre dédié à l’enfant et aux jeunes), à Ali Sedjari (sciences sociales), à Ahmed Chaouqi Benebine (sciences humaines), à Zohor Karam (études littéraires, artistiques et linguistiques et études dans le domaine de la culture amazighe) et Abdennour Kharraki (traduction).
Le “Prix des sciences sociales” a été décerné ex aequo à Yahya Ben El Walid pour son livre “Où sont les intellectuels arabes ? Contextes et représentations”, publié aux Éditions Azmina (Amman, 2020), et Idriss Makboul pour son ouvrage “L’homme, l’urbanisme et la langue, un message de la détérioration des modules dans la ville arabe” publié par le Centre arabe de recherche et d’études politiques (Beyrouth, 2020).
Le “Prix des études littéraires, artistiques et linguistiques” a été remporté par Nizar Tajditi tandis que le “Prix de la traduction” a été partagé par Ahmed Bouhassan et Mohammed El-Jarti.
Le prix des études dans le domaine de la culture amazighe a été attribué à Khalid Ansar pour son ouvrage “Sibilants in Amazigh” publié par la maison d’édition Okad (Rabat, 2020), alors que le prix de la création littéraire amazighe a été décerné ex-aequo à Hassan Oubrahim pour son roman “Titbirin Tiḥrḍaḍ” (les pigeons nus) publié à Tira Editions (Agadir, 2020) et à Taieb Amkroud pour son recueil “Arokal” (Braise sous les cendres) édité par l’imprimerie centrale de Souss (Aït Melloul, 2020).
Le jury a décidé de ne pas attribuer cette année le prix du livre dédié à l’enfant et aux jeunes. Le ministre de la jeunesse, de la culture et de la communication, Mohamed Mehdi Bensaïd, qui a reçu à cette occasion le président et les membres du jury du Prix du Maroc du livre 2021, a salué le travail du jury, affirmant la détermination du ministère à développer ce Prix et à organiser une grande cérémonie qui soit à la hauteur de la place du Livre au sein de la société marocaine.
Selon le ministère, quelque 192 livres étaient en compétition dans le cadre de l’édition de 2021, touchant à la poésie (20), à la narration (46), aux sciences humaines (19), aux sciences sociales (21), aux études littéraires, artistiques et linguistiques (30), aux études dans le domaine de la culture amazighe (8), à la création artistique amazighe (17), au livre dédié à l’enfant et aux jeunes (15) et à la traduction (16).
Le jury a été présidé par Abdelali Ouedghiri, alors que la présidence des commissions sectorielles a été confiée à Ahmed Rissouni (poésie), à Abdelkrim Jouiti (narration, créativité littéraire amazighe et livre dédié à l’enfant et aux jeunes), à Ali Sedjari (sciences sociales), à Ahmed Chaouqi Benebine (sciences humaines), à Zohor Karam (études littéraires, artistiques et linguistiques et études dans le domaine de la culture amazighe) et Abdennour Kharraki (traduction).