Intervenant lors de l’ouverture du 20ème Workshop Responsible Care, organisé par la Fédération de la Chimie et de la Parachimie (FCP) sous le thème "Économie circulaire et efficacité hydrique : défis et opportunités", M. Mezzour a indiqué qu’avec plus de 300 milliards de dirhams (MMDH) d’investissements projetés sur les quatre prochaines années, ce secteur est sur le point de doubler les exportations nationales, ouvrant des perspectives financières et industrielles inédites.
Ces projets, tels que ceux liés aux batteries à Kénitra, Tanger et ailleurs, promettent une transformation économique profonde, comparable à une véritable "Coupe du monde de l’industrie", a-t-il relevé, notant que l’industrie chimique se positionne aujourd’hui comme un pilier majeur de l’avenir industriel du Maroc.
Le ministre a également fait remarquer que le développement de cette industrie ne peut se réaliser sans un accompagnement énergétique adéquat, précisant que le Maroc se positionne en leader compétitif dans la production de batteries, avec des coûts inférieurs de 50% à ceux de l’Europe, grâce à l’abondance de ressources naturelles telles que le vent et le soleil.
Cette transition, selon lui, requiert des infrastructures solides et des politiques durables, en particulier dans la gestion de l’eau et des déchets, avec une accélération des "autoroutes de l’eau" et des investissements dans les infrastructures énergétiques, afin de garantir l’efficacité et la viabilité des projets. Et de poursuivre que la valorisation des déchets industriels, considérés comme des ressources précieuses, est cruciale pour maintenir une compétitivité à l’échelle internationale.
La gestion responsable de la chaîne de valeur, notamment en matière de durabilité et de conformité, est essentielle pour accéder aux marchés mondiaux, a-t-il soutenu, notant qu'avec ces projets, le Maroc ambitionne d’intégrer une nouvelle division industrielle mondiale, affirmant ainsi son rôle de leader dans des secteurs clés tels que l’hydrogène, les batteries et les technologies durables.
De son côté, le président de la FCP, Abed Chagar, a mis en lumière les efforts de la fédération pour accompagner les entreprises dans leur transition vers des modèles économiques durables, tout en renforçant leur compétitivité sur les marchés internationaux.
Ce secteur emploie directement 60.000 personnes dans des postes qualifiés et durables, tandis que la transition énergétique progresse, avec 50% de l'électricité consommée dans le secteur provenant déjà de sources renouvelables, et une consommation globale d'eau et d'énergie ayant respectivement diminué de 22% et 10% au cours des cinq dernières années, a-t-il fait savoir.
Et de noter que ces progrès positionnent le Maroc comme un acteur clé à l'échelle internationale, soutenu par des forums majeurs organisés en 2023 et 2024.
Ce rendez-vous illustre le dynamisme exceptionnel de la chimie marocaine ces dernières années, marqué par une synergie efficace entre opérateurs, pouvoirs publics et plusieurs dizaines de TPME, qui ont contribué à faire de ce secteur un pilier stratégique pour l'économie nationale, notamment grâce à des innovations dans des domaines émergents comme la chimie des batteries électriques, a-t-il dit.
Le 20e Workshop Responsible Care s’inscrit dans le cadre d’une stratégie nationale visant à aligner l’industrie chimique sur les meilleures pratiques internationales, tout en soutenant les objectifs de développement durable du Royaume.
Ce conclave a été marqué par des discussions sur les opportunités d’investissement dans des infrastructures industrielles vertes, renforçant ainsi le rôle de l’industrie chimique marocaine en tant que catalyseur de transformation économique durable.
Ces projets, tels que ceux liés aux batteries à Kénitra, Tanger et ailleurs, promettent une transformation économique profonde, comparable à une véritable "Coupe du monde de l’industrie", a-t-il relevé, notant que l’industrie chimique se positionne aujourd’hui comme un pilier majeur de l’avenir industriel du Maroc.
Le ministre a également fait remarquer que le développement de cette industrie ne peut se réaliser sans un accompagnement énergétique adéquat, précisant que le Maroc se positionne en leader compétitif dans la production de batteries, avec des coûts inférieurs de 50% à ceux de l’Europe, grâce à l’abondance de ressources naturelles telles que le vent et le soleil.
Cette transition, selon lui, requiert des infrastructures solides et des politiques durables, en particulier dans la gestion de l’eau et des déchets, avec une accélération des "autoroutes de l’eau" et des investissements dans les infrastructures énergétiques, afin de garantir l’efficacité et la viabilité des projets. Et de poursuivre que la valorisation des déchets industriels, considérés comme des ressources précieuses, est cruciale pour maintenir une compétitivité à l’échelle internationale.
La gestion responsable de la chaîne de valeur, notamment en matière de durabilité et de conformité, est essentielle pour accéder aux marchés mondiaux, a-t-il soutenu, notant qu'avec ces projets, le Maroc ambitionne d’intégrer une nouvelle division industrielle mondiale, affirmant ainsi son rôle de leader dans des secteurs clés tels que l’hydrogène, les batteries et les technologies durables.
De son côté, le président de la FCP, Abed Chagar, a mis en lumière les efforts de la fédération pour accompagner les entreprises dans leur transition vers des modèles économiques durables, tout en renforçant leur compétitivité sur les marchés internationaux.
Ce secteur emploie directement 60.000 personnes dans des postes qualifiés et durables, tandis que la transition énergétique progresse, avec 50% de l'électricité consommée dans le secteur provenant déjà de sources renouvelables, et une consommation globale d'eau et d'énergie ayant respectivement diminué de 22% et 10% au cours des cinq dernières années, a-t-il fait savoir.
Et de noter que ces progrès positionnent le Maroc comme un acteur clé à l'échelle internationale, soutenu par des forums majeurs organisés en 2023 et 2024.
Ce rendez-vous illustre le dynamisme exceptionnel de la chimie marocaine ces dernières années, marqué par une synergie efficace entre opérateurs, pouvoirs publics et plusieurs dizaines de TPME, qui ont contribué à faire de ce secteur un pilier stratégique pour l'économie nationale, notamment grâce à des innovations dans des domaines émergents comme la chimie des batteries électriques, a-t-il dit.
Le 20e Workshop Responsible Care s’inscrit dans le cadre d’une stratégie nationale visant à aligner l’industrie chimique sur les meilleures pratiques internationales, tout en soutenant les objectifs de développement durable du Royaume.
Ce conclave a été marqué par des discussions sur les opportunités d’investissement dans des infrastructures industrielles vertes, renforçant ainsi le rôle de l’industrie chimique marocaine en tant que catalyseur de transformation économique durable.