A l’issue d’un Sommet virtuel, de deux jours, tenu samedi à Nairobi, au Kenya, des scientifiques d’Afrique subsaharienne ont promis de soutenir l’élaboration de politiques fondées sur des actions concrètes visant à faire progresser le développement durable sur le continent.
Dans un document publié, à cet effet, ces chercheurs soulignent que l’application stratégique de la recherche et des données était essentielle pour lutter contre la pauvreté, l’insécurité alimentaire, les maladies et les chocs climatiques en Afrique.
Selon Eliya Zulu, directrice exécutive de l’Institut africain des politiques de développement (AFIDEP) basé dans la capitale kenyane, il est essentiel que la communauté scientifique prête attention aux besoins des décideurs et produise des preuves qui répondent à leurs besoins politiques.
Car avec la Covid-19, il est primordial de renforcer le rôle des laboratoires de réflexion des chercheurs pour soutenir la prise de décision gouvernementale pour de meilleurs résultats de développement. Lors de ce webinaire, les scientifiques ont partagé des connaissances et des meilleures pratiques pouvant être exploitées pour influencer l’élaboration de politiques. Ces dernières font progresser la croissance inclusive, la paix et la stabilité sur le continent.
Multiples défis
De son côté, Tom Kariuki, directeur des programmes de l’Alliance pour l’accélération de l’excellence scientifique en Afrique (AESA), affiliée à l’ l’Académie africaine des sciences (AAS), estime qu’un financement adéquat de la recherche scientifique était essentiel pour transformer les moyens de subsistance alors que la COVID-19 pose toujours de multiples défis.
Pour sa part, Isayvani Naicker, directeur de la stratégie et des partenariats à l’AAS, note que l’Afrique avait le potentiel de devenir une plaque tournante pour la recherche scientifique révolutionnaire sous réserve de l’établissement de politiques favorables, d’un financement adéquat et d’une formation.
Organisée par l’AFIDEP et l’AAS, la conférence a permis de donner un nouvel élan aux interventions politiques fondées sur les données afin de relever les défis du sous-développement, de la santé et de l’environnement en Afrique. Enfin, rappelons que plus de 400 scientifiques africains y ont assisté dont le thème était « Renforcer le rôle des laboratoires de réflexion des chercheurs pour soutenir la prise de décision gouvernementale pour de meilleurs résultats de développement ».
Dans un document publié, à cet effet, ces chercheurs soulignent que l’application stratégique de la recherche et des données était essentielle pour lutter contre la pauvreté, l’insécurité alimentaire, les maladies et les chocs climatiques en Afrique.
Selon Eliya Zulu, directrice exécutive de l’Institut africain des politiques de développement (AFIDEP) basé dans la capitale kenyane, il est essentiel que la communauté scientifique prête attention aux besoins des décideurs et produise des preuves qui répondent à leurs besoins politiques.
Car avec la Covid-19, il est primordial de renforcer le rôle des laboratoires de réflexion des chercheurs pour soutenir la prise de décision gouvernementale pour de meilleurs résultats de développement. Lors de ce webinaire, les scientifiques ont partagé des connaissances et des meilleures pratiques pouvant être exploitées pour influencer l’élaboration de politiques. Ces dernières font progresser la croissance inclusive, la paix et la stabilité sur le continent.
Multiples défis
De son côté, Tom Kariuki, directeur des programmes de l’Alliance pour l’accélération de l’excellence scientifique en Afrique (AESA), affiliée à l’ l’Académie africaine des sciences (AAS), estime qu’un financement adéquat de la recherche scientifique était essentiel pour transformer les moyens de subsistance alors que la COVID-19 pose toujours de multiples défis.
Pour sa part, Isayvani Naicker, directeur de la stratégie et des partenariats à l’AAS, note que l’Afrique avait le potentiel de devenir une plaque tournante pour la recherche scientifique révolutionnaire sous réserve de l’établissement de politiques favorables, d’un financement adéquat et d’une formation.
Organisée par l’AFIDEP et l’AAS, la conférence a permis de donner un nouvel élan aux interventions politiques fondées sur les données afin de relever les défis du sous-développement, de la santé et de l’environnement en Afrique. Enfin, rappelons que plus de 400 scientifiques africains y ont assisté dont le thème était « Renforcer le rôle des laboratoires de réflexion des chercheurs pour soutenir la prise de décision gouvernementale pour de meilleurs résultats de développement ».
W. S.