Lionel Messi repart à la conquête de l'ultime rêve derrière lequel il court encore: remporter la Coupe du monde avec l'Argentine, qui lance jeudi (00h10 GMT) contre l'Equateur sa campagne des qualifications sud-américaines pour le Mondial-2022.
A 33 ans, avec son club de toujours, le Barça, Messi a collectionné les titres et remporté six fois le Ballon d'Or, un record.
Sauf qu'avec l'Albiceleste, le Graal se dérobe à lui. Depuis 1986 et le titre glané au Mexique, un an avant sa naissance, l'Argentine attend une nouvelle victoire en Coupe du monde.
Le petit attaquant l'a dit plusieurs fois: "le seul rêve qu'il me reste à réaliser est de gagner une Coupe du monde avec la sélection".
Après le lourd épisode de l'été, quand il a voulu sans succès partir de Barcelone, le capitaine argentin voudrait que cette parenthèse sud-américaine soit une bouffée d'air frais.
L'Argentine a surtout l'intention de ne pas rééditer le faux départ des qualifications pour le Mondial-2018 en Russie où elle s'était inclinée... contre l'Equateur pour la première fois de son histoire à domicile, au stade Monumental de Buenos Aires (2-0).
Il avait fallu un coup de génie de Messi, auteur d'un triplé lors de l'ultime journée au match retour à Quito (3-1), pour arracher la qualification, troisième derrière l'Uruguay et le Brésil.
Pour ce premier match à domicile, l'Albiceleste devra s'adapter, non seulement à son adversaire, mais surtout à un environnement inédit: le huis clos et l'absence de la légendaire ferveur populaire qui irrigue les tribunes argentines.
Tous les matches de ces deux premières journées de qualification se disputeront sans public, et la Bombonera, l'antre de Boca Juniors à Buenos Aires, sonnera inhabituellement creux pour la réception de l'Equateur.
Autour de son maître à jouer, le jeune sélectionneur Lionel Scaloni (42 ans), sans expérience préalable en club ou en équipe nationale, a créé la surprise.
L'ancien latéral droit a renouvelé dans les grandes largeurs l'ossature de l'équipe de son prédécesseur, Jorge Sampaoli, sortie dès les huitièmes de finale du Mondial-2018 (4-3 contre la France, future championne).
Scaloni a écarté les deux comparses habituels de la "Pulga" en attaque: Angel Di Maria, non retenu malgré une belle régularité avec le Paris SG, et Sergio Agüero, blessé, qui n'a pas encore repris avec Manchester City.
Il leur a préféré deux éléments plus jeunes: l'attaquant de la Juventus Paulo Dybala, 26 ans, et celui de l'Inter Milan Lautaro Martinez, 23 ans. L'objectif est de "laisser Messi avoir deux joueurs devant lui, dont il pourra se servir en appui ou en profondeur".
Et pour accompagner "la Pulga", c'est le milieu de Séville, Lucas Ocampos, qui a les faveurs de Scaloni.
Un joueur "costaud, technique, qui a le sens du but et est précieux dans les phases défensives", a-t-il
loué.
Côté équatorien, c'est un autre Argentin qui sera aux commandes: Gustavo Alfaro, qui n'avait jamais entraîné une équipe nationale et traîne une réputation d'entraîneur défensif.
A 33 ans, avec son club de toujours, le Barça, Messi a collectionné les titres et remporté six fois le Ballon d'Or, un record.
Sauf qu'avec l'Albiceleste, le Graal se dérobe à lui. Depuis 1986 et le titre glané au Mexique, un an avant sa naissance, l'Argentine attend une nouvelle victoire en Coupe du monde.
Le petit attaquant l'a dit plusieurs fois: "le seul rêve qu'il me reste à réaliser est de gagner une Coupe du monde avec la sélection".
Après le lourd épisode de l'été, quand il a voulu sans succès partir de Barcelone, le capitaine argentin voudrait que cette parenthèse sud-américaine soit une bouffée d'air frais.
L'Argentine a surtout l'intention de ne pas rééditer le faux départ des qualifications pour le Mondial-2018 en Russie où elle s'était inclinée... contre l'Equateur pour la première fois de son histoire à domicile, au stade Monumental de Buenos Aires (2-0).
Il avait fallu un coup de génie de Messi, auteur d'un triplé lors de l'ultime journée au match retour à Quito (3-1), pour arracher la qualification, troisième derrière l'Uruguay et le Brésil.
Pour ce premier match à domicile, l'Albiceleste devra s'adapter, non seulement à son adversaire, mais surtout à un environnement inédit: le huis clos et l'absence de la légendaire ferveur populaire qui irrigue les tribunes argentines.
Tous les matches de ces deux premières journées de qualification se disputeront sans public, et la Bombonera, l'antre de Boca Juniors à Buenos Aires, sonnera inhabituellement creux pour la réception de l'Equateur.
Autour de son maître à jouer, le jeune sélectionneur Lionel Scaloni (42 ans), sans expérience préalable en club ou en équipe nationale, a créé la surprise.
L'ancien latéral droit a renouvelé dans les grandes largeurs l'ossature de l'équipe de son prédécesseur, Jorge Sampaoli, sortie dès les huitièmes de finale du Mondial-2018 (4-3 contre la France, future championne).
Scaloni a écarté les deux comparses habituels de la "Pulga" en attaque: Angel Di Maria, non retenu malgré une belle régularité avec le Paris SG, et Sergio Agüero, blessé, qui n'a pas encore repris avec Manchester City.
Il leur a préféré deux éléments plus jeunes: l'attaquant de la Juventus Paulo Dybala, 26 ans, et celui de l'Inter Milan Lautaro Martinez, 23 ans. L'objectif est de "laisser Messi avoir deux joueurs devant lui, dont il pourra se servir en appui ou en profondeur".
Et pour accompagner "la Pulga", c'est le milieu de Séville, Lucas Ocampos, qui a les faveurs de Scaloni.
Un joueur "costaud, technique, qui a le sens du but et est précieux dans les phases défensives", a-t-il
loué.
Côté équatorien, c'est un autre Argentin qui sera aux commandes: Gustavo Alfaro, qui n'avait jamais entraîné une équipe nationale et traîne une réputation d'entraîneur défensif.