Dans une étude qui met en évidence les scores des pays pour mesurer le développement de leurs infrastructures numériques, le Maroc se hisse à la 71ème position sur 117 pays et affiche ses meilleurs résultats lors de la nouvelle édition annuelle de l’indice de qualité numérique: «Digital Quality of Life Index» (DQL). Il a gagné 13 places par rapport à l’année 2021 et se classe 3ème au niveau de l’Afrique. Cette étude est menée par la société de cybersécurité Surfshark, et couvre 90% de la population mondiale pour évaluer les pays sur la base d’un ensemble de cinq piliers fondamentaux du bien-être numérique.
Cette quatrième édition du DQL est basée sur des informations fournies par les Nations Unies, la Banque Mondiale, la Freedom House, et l’Union internationale des communications entre autres sources. Elle évalue les pays sur la base de maints facteurs différents qui impliquent le coût, la qualité, l’e-infrastructure, l’e-sécurité et l’e-gouvernement, ainsi que d’autres indicateurs tels que la vitesse, le PIB par habitant, le coût de l’Internet mobile et le coût de l’Internet à haut débit.
L’étude a également révélé que 7 des 10 pays les mieux notés se trouvent en Europe. Israël occupe la position de leader en Asie, il remporte le premier rang du DQL 2022, laissant pour le Danemark la deuxième place.
L’Allemagne est 3ème sur le podium tandis que la France et la Suède complètent le top 5. Les Pays-Bas, la Finlande, le Japon, le Royaume-Uni et la Corée du Sud figurent ensuite dans le top 10. Les Etats-Unis dominent le continent américain. En bas du classement on trouve la RD Congo, le Yémen, l’Ethiopie, le Mozambique et le Cameroun aux cinq dernières places. En Afrique du Sud, les habitants profitent de la meilleure qualité numérique continentale.
En Océanie, la Nouvelle-Zélande devance l’Australie dans divers domaines numériques. Pour le Maroc, l’enquête indique une légère amélioration de l’indice sur l’e-gouvernement par rapport à l’année 2021.
Le Royaume est le troisième pays en Afrique qui a amélioré son classement de 13 places par rapport à l’exercice de l’édition de l’année dernière, il a aussi réussi un bon score quant à la sécurité électronique. Cependant, il peine à s’imposer par rapport aux normes mondiales, il faut noter par ailleurs que «la culture numérique est faible par rapport à un benchmark mondial et régional, bien que du contenu local et des services d’administration en ligne soient disponibles ». Il y a beaucoup de place pour l’amélioration, notamment pour la qualité, la vitesse et la stabilité d’Internet.
Cette quatrième édition du DQL est basée sur des informations fournies par les Nations Unies, la Banque Mondiale, la Freedom House, et l’Union internationale des communications entre autres sources. Elle évalue les pays sur la base de maints facteurs différents qui impliquent le coût, la qualité, l’e-infrastructure, l’e-sécurité et l’e-gouvernement, ainsi que d’autres indicateurs tels que la vitesse, le PIB par habitant, le coût de l’Internet mobile et le coût de l’Internet à haut débit.
L’étude a également révélé que 7 des 10 pays les mieux notés se trouvent en Europe. Israël occupe la position de leader en Asie, il remporte le premier rang du DQL 2022, laissant pour le Danemark la deuxième place.
L’Allemagne est 3ème sur le podium tandis que la France et la Suède complètent le top 5. Les Pays-Bas, la Finlande, le Japon, le Royaume-Uni et la Corée du Sud figurent ensuite dans le top 10. Les Etats-Unis dominent le continent américain. En bas du classement on trouve la RD Congo, le Yémen, l’Ethiopie, le Mozambique et le Cameroun aux cinq dernières places. En Afrique du Sud, les habitants profitent de la meilleure qualité numérique continentale.
En Océanie, la Nouvelle-Zélande devance l’Australie dans divers domaines numériques. Pour le Maroc, l’enquête indique une légère amélioration de l’indice sur l’e-gouvernement par rapport à l’année 2021.
Le Royaume est le troisième pays en Afrique qui a amélioré son classement de 13 places par rapport à l’exercice de l’édition de l’année dernière, il a aussi réussi un bon score quant à la sécurité électronique. Cependant, il peine à s’imposer par rapport aux normes mondiales, il faut noter par ailleurs que «la culture numérique est faible par rapport à un benchmark mondial et régional, bien que du contenu local et des services d’administration en ligne soient disponibles ». Il y a beaucoup de place pour l’amélioration, notamment pour la qualité, la vitesse et la stabilité d’Internet.
