Un match se joue en 90 minutes mais peut se gagner en quelques minutes. Au moment où rien n'annonçait que le Raja allait gagner largement son match face au MCO, un déclic a été le déclencheur d'un court processus victorieux : la rentrée de Benhalib et surtout son but à la 66ème minute.
Un but qui a fait sauter le verrou oujdi. Une transversale, une belle extension de Benhalib, une tête et voilà le ballon qui filait vers les poteaux. Le même Benhalib, à la 69ème minute, était l'initiateur du deuxième but. Il a remis le ballon a Rahimi le transmettant à son tour à Malango lequel, d'un tir bien appuyé, a trompé la vigilance d'Amri. Trois minutes après, est survenu le 3ème mettant définitivement à genoux le MCO.
10 minutes ont été suffisantes pour débloquer le système ultra défensif oujdi.
Il faut reconnaître que psychologiquement les Oujdis et leur coach n'étaient pas bien préparés. L'épisode fâcheuse de l'aéroport Mohammed V et l'ambiance toxique autour du club ont eu un impact négatif sur le mental du collectif.
Un but qui a fait sauter le verrou oujdi. Une transversale, une belle extension de Benhalib, une tête et voilà le ballon qui filait vers les poteaux. Le même Benhalib, à la 69ème minute, était l'initiateur du deuxième but. Il a remis le ballon a Rahimi le transmettant à son tour à Malango lequel, d'un tir bien appuyé, a trompé la vigilance d'Amri. Trois minutes après, est survenu le 3ème mettant définitivement à genoux le MCO.
10 minutes ont été suffisantes pour débloquer le système ultra défensif oujdi.
Il faut reconnaître que psychologiquement les Oujdis et leur coach n'étaient pas bien préparés. L'épisode fâcheuse de l'aéroport Mohammed V et l'ambiance toxique autour du club ont eu un impact négatif sur le mental du collectif.