Le football n'est ni une science exacte ni un jeu rationnel !
Le football n'est pas un jeu exact comme l'est les sciences. Il n'est pas non plus une pratique rationnelle. Il faut s'y attendre à tout. Les Rajaouis l'ont oublié ou ne le savent pas. Ils en ont fait l'amère expérience ce mardi soir sur "les marais" de la pelouse du complexe sportif Mohammed V !
Un naufrage aux allures d'une catastrophe !
Douche froide, déconvenue, mauvaise surprise déception, consternation, désillusion, coup de massue, coup de tonnerre, naufrage, catastrophe… Que des mots pour qualifier l'issue de la soirée cauchemardesque vécue par la famille "Rajaouia". Une soirée qui les hantera longtemps. Même le plus pessimiste des Rajaouis ne l'avait pas envisagé même dans ses rêves les plus profonds. Le réveil sera insupportable. C'est incroyable mais c'est vrai ! C'est une réalité, une réalité amère et indigeste qu'il faudra faire avec et l'accepter. On ne peut pas être heureux et chanceux à tous les coups.
Des "poids lourds" face à des "poids légers" sur une pelouse marécageuse !
C'était prévisible. Le Raja aurait des difficultés à cause de l'état marécageux de la pelouse. Seules les balles arrêtées, les transversales et les tirs de loin seraient la clé pour débloquer la situation.
Cela s'est confirmé lors du match. Les Rajaouis ont dominé une équipe, très regroupée en défense, qui défend n'importe comment et fait n'importe quoi pour éloigner le ballon.
La pluie s'est mêlée de l'affaire pour compliquer les données. Les Rajaouis, gênés par l'état impraticable de la pelouse, n’arrivaient pas ni à construire ni à progresser. Les Sénégalais, très limités, ont profité de la lourdeur du terrain marécageux.
Un effort physique colossal est exigé des 20 joueurs du champ. Et étant plus compétitifs à ce niveau, les joueurs sénégalais ont gagné la bataille et se sont mieux adaptés. C'était un combat et un duel entre des poids lourds et des poids légers. Les poids lourds étaient avantagés face aux légers !
Les tirs au but chassent le Raja de la Ligue des Champions vers la Coupe de la CAF
Malheureux aux tirs au but, le Raja, déçu, blessé, meurtri et humilié, devra « se contenter » de la C2.
Teungueth.FC, sur des nuages, prend le cap de la phase des poules de la prestigieuse Ligue des Champions. Les Sénégalais sont encore sous le coup de la surprise. Ils le seront encore pour longtemps. Difficile pour eux de croire qu'ils viennent de battre le Raja, le grand Raja, le Raja « mondialiste », comme le qualifie si fièrement le « peuple rajaoui ».
Le football n'est pas un jeu exact comme l'est les sciences. Il n'est pas non plus une pratique rationnelle. Il faut s'y attendre à tout. Les Rajaouis l'ont oublié ou ne le savent pas. Ils en ont fait l'amère expérience ce mardi soir sur "les marais" de la pelouse du complexe sportif Mohammed V !
Un naufrage aux allures d'une catastrophe !
Douche froide, déconvenue, mauvaise surprise déception, consternation, désillusion, coup de massue, coup de tonnerre, naufrage, catastrophe… Que des mots pour qualifier l'issue de la soirée cauchemardesque vécue par la famille "Rajaouia". Une soirée qui les hantera longtemps. Même le plus pessimiste des Rajaouis ne l'avait pas envisagé même dans ses rêves les plus profonds. Le réveil sera insupportable. C'est incroyable mais c'est vrai ! C'est une réalité, une réalité amère et indigeste qu'il faudra faire avec et l'accepter. On ne peut pas être heureux et chanceux à tous les coups.
Des "poids lourds" face à des "poids légers" sur une pelouse marécageuse !
C'était prévisible. Le Raja aurait des difficultés à cause de l'état marécageux de la pelouse. Seules les balles arrêtées, les transversales et les tirs de loin seraient la clé pour débloquer la situation.
Cela s'est confirmé lors du match. Les Rajaouis ont dominé une équipe, très regroupée en défense, qui défend n'importe comment et fait n'importe quoi pour éloigner le ballon.
La pluie s'est mêlée de l'affaire pour compliquer les données. Les Rajaouis, gênés par l'état impraticable de la pelouse, n’arrivaient pas ni à construire ni à progresser. Les Sénégalais, très limités, ont profité de la lourdeur du terrain marécageux.
Un effort physique colossal est exigé des 20 joueurs du champ. Et étant plus compétitifs à ce niveau, les joueurs sénégalais ont gagné la bataille et se sont mieux adaptés. C'était un combat et un duel entre des poids lourds et des poids légers. Les poids lourds étaient avantagés face aux légers !
Les tirs au but chassent le Raja de la Ligue des Champions vers la Coupe de la CAF
Malheureux aux tirs au but, le Raja, déçu, blessé, meurtri et humilié, devra « se contenter » de la C2.
Teungueth.FC, sur des nuages, prend le cap de la phase des poules de la prestigieuse Ligue des Champions. Les Sénégalais sont encore sous le coup de la surprise. Ils le seront encore pour longtemps. Difficile pour eux de croire qu'ils viennent de battre le Raja, le grand Raja, le Raja « mondialiste », comme le qualifie si fièrement le « peuple rajaoui ».