Les intervenants à une rencontre initiée, tout récemment, par le Consulat général du Maroc à New York, en collaboration avec la City University of New York (CUNY), ont rendu un vibrant hommage au défricheur de l’Amérique avec ses Etats du Texas, l’Arizona et le Nouveau-Mexique, un natif d’Azemmour. A l’unisson, ils ont salué le rôle jalon que ce Marocain a joué, lors du XVIème siècle, dans la découverte du « Nouveau monde ».
Connu dans le milieu académique sous le sobriquet d’Estevanico, Mustapha Zemmouri a entamé son périple en 1527 lorsqu’il va rejoindre un commandant espagnol du nom d’Andrés Dorantes de Carranza et d’autres explorateurs pour aller à la découverte de la région Sud-Ouest de l’Amérique, dans le cadre d’une expédition que l’on appelle couramment, la Panfilo Narvaez. Prenant part à l’ouverture de cette conférence, intitulée «Sur les traces d’un explorateur africain remarquable», le Consul général du Maroc à New York, Abdelkader Jamoussi, a mis en exergue l’importance de cet événement qui coïncide avec la célébration, en février aux Etats-Unis, du patrimoine africain et des contributions des Afro-Américains aux mille et une composantes de la vie de cette contrée occidentale. Selon le représentant diplomatique marocain, pareilles initiatives ne peuvent qu’apporter leur grain de sel à l’édifice du village planétaire en consolidant les liens entre les peuples. La raison en est, surtout, qu’elles rappellent, à maints égards, les relations distinguées et séculaires entre le Maroc et les Etats-Unis.
Mustapha Zemmouri a, donc, joué un rôle important dans l’exploration des aspects de la géographie, de la société et de la culture de l’Amérique. Estevanico, comme les académiciens du pays de l’Oncle Sam se plaisent à l’appeler, représente le symbole de la détermination, la diversité et l’inclusion qui doit servir de modèle dans le monde d’aujourd’hui. Son impact historique remet en question les idées reçues et incite à réévaluer la vision collective de l’Histoire, tout en reconnaissant l’apport significatif de personnalités « d’ailleurs » dans le façonnement du monde.
Le savoir-faire d’Estevanico en matière de navigation, ses prouesses linguistiques et sa capacité à s’adapter à la culture et au mode de vie des peuples autochtones ont fait de lui un acteur indispensable dans les expéditions auxquelles il a participé. C’est en tout cas ce qu’a soutenu Abdeslem Idrissi, professeur à la City University of New York, qui modérait la conférence.
Zemmouri fit donc office de passerelle culturelle entre l’Orient et l’Occident grâce à sa maîtrise, rare et fine, de plusieurs langues et son assimilation des autres cultures du monde, surtout si l’on sait qu’il fut un intermédiaire crucial entre les expéditeurs espagnols et les tribus autochtones. Sa contribution à la découverte de la partie NordOuest américain n’est, quant à elle, pas à minimiser.
Estevanico fut, en sus, un diplomate qui négocia des traités de paix. De plus, cet explorateur aux multiples atouts a été une source d’inspiration pour plusieurs romanciers marocains, qui lui ont réservé une part significative de leurs œuvres.
L’histoire de Mustapha Zemmouri, premier Africain à avoir foulé le sol américain, vient nous rappeler, à quelques détails près, le rôle clé et innovant incarné, envers et contre tous, par le Royaume dans le partenariat tripartite entre l’Afrique et les Etats-Unis dont il prend part.
Organisée en collaboration avec Royal Air Maroc et le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME), la conférence a vu la participation de membres des corps diplomatiques et consulaires africains, européens et asiatiques accrédités aux Etats-Unis, ainsi que d’autres personnalités, dont le Président du Conseil d’arrondissement de Staten Island, Vito John Fossella.
Connu dans le milieu académique sous le sobriquet d’Estevanico, Mustapha Zemmouri a entamé son périple en 1527 lorsqu’il va rejoindre un commandant espagnol du nom d’Andrés Dorantes de Carranza et d’autres explorateurs pour aller à la découverte de la région Sud-Ouest de l’Amérique, dans le cadre d’une expédition que l’on appelle couramment, la Panfilo Narvaez. Prenant part à l’ouverture de cette conférence, intitulée «Sur les traces d’un explorateur africain remarquable», le Consul général du Maroc à New York, Abdelkader Jamoussi, a mis en exergue l’importance de cet événement qui coïncide avec la célébration, en février aux Etats-Unis, du patrimoine africain et des contributions des Afro-Américains aux mille et une composantes de la vie de cette contrée occidentale. Selon le représentant diplomatique marocain, pareilles initiatives ne peuvent qu’apporter leur grain de sel à l’édifice du village planétaire en consolidant les liens entre les peuples. La raison en est, surtout, qu’elles rappellent, à maints égards, les relations distinguées et séculaires entre le Maroc et les Etats-Unis.
Mustapha Zemmouri a, donc, joué un rôle important dans l’exploration des aspects de la géographie, de la société et de la culture de l’Amérique. Estevanico, comme les académiciens du pays de l’Oncle Sam se plaisent à l’appeler, représente le symbole de la détermination, la diversité et l’inclusion qui doit servir de modèle dans le monde d’aujourd’hui. Son impact historique remet en question les idées reçues et incite à réévaluer la vision collective de l’Histoire, tout en reconnaissant l’apport significatif de personnalités « d’ailleurs » dans le façonnement du monde.
Le savoir-faire d’Estevanico en matière de navigation, ses prouesses linguistiques et sa capacité à s’adapter à la culture et au mode de vie des peuples autochtones ont fait de lui un acteur indispensable dans les expéditions auxquelles il a participé. C’est en tout cas ce qu’a soutenu Abdeslem Idrissi, professeur à la City University of New York, qui modérait la conférence.
Zemmouri fit donc office de passerelle culturelle entre l’Orient et l’Occident grâce à sa maîtrise, rare et fine, de plusieurs langues et son assimilation des autres cultures du monde, surtout si l’on sait qu’il fut un intermédiaire crucial entre les expéditeurs espagnols et les tribus autochtones. Sa contribution à la découverte de la partie NordOuest américain n’est, quant à elle, pas à minimiser.
Estevanico fut, en sus, un diplomate qui négocia des traités de paix. De plus, cet explorateur aux multiples atouts a été une source d’inspiration pour plusieurs romanciers marocains, qui lui ont réservé une part significative de leurs œuvres.
L’histoire de Mustapha Zemmouri, premier Africain à avoir foulé le sol américain, vient nous rappeler, à quelques détails près, le rôle clé et innovant incarné, envers et contre tous, par le Royaume dans le partenariat tripartite entre l’Afrique et les Etats-Unis dont il prend part.
Organisée en collaboration avec Royal Air Maroc et le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME), la conférence a vu la participation de membres des corps diplomatiques et consulaires africains, européens et asiatiques accrédités aux Etats-Unis, ainsi que d’autres personnalités, dont le Président du Conseil d’arrondissement de Staten Island, Vito John Fossella.
Biographie : Mohammed Kenbib, gardien de la mémoire marocaine
Il y a un peu plus de trois ans, la cérémonie d’installation de Mohammed Kenbib, directeur de l’Institut Royal pour la recherche sur l’Histoire du Maroc, a eu lieu au siège de l’Académie du Royaume du Maroc à Rabat. Nommé à ce poste par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, au Palais Royal à Fès, à l’issue du Conseil des ministres, M. Kenbib succède à Mohamed Kably. Prenant part à cette rencontre, le secrétaire perpétuel de l’Académie du Royaume du Maroc, Abdeljalil Lahjomri, a mis en lumière la compétence avérée de M. Kenbib, dont les nombreuses années de recherches historiques, notamment en Histoire contemporaine du Maroc, font état de ses connaissances et de son savoir indéniables dans le domaine. M. Lahjomri a attiré l’attention sur les efforts consentis et le bilan positif de l’ancien directeur de l’Institut, M. kably, ayant créé l’école historique marocaine. Il a relevé le rôle de l’Institut Royal pour la recherche sur l’Histoire du Maroc, l’ancrage de l’identité marocaine, le confortement de l’Histoire sociale et la valorisation de l’archivage, ajoutant que l’Académie du Royaume du Maroc et ses établissements affiliés œuvrent selon les références constitutionnelles et préconisent les principes universels du dialogue inter-civilisationnel.
L’enseignement de l’Histoire est une opportunité pour approfondir les bases et les connaissances historiques, a dit M. Lahjomri, notant que la Constitution marocaine stipule dans son préambule que le Maroc «entend préserver, dans sa plénitude et sa diversité, son identité nationale, qui est une et indivisible». De son côté, M. Kenbib a fait part de sa fierté de la confiance placée en lui par le Souverain en le nommant à la tête de l’Institut Royal de Recherche sur l’Histoire du Maroc, rappelant l’importance accordée par le Royaume à l’ouverture sur les cultures étrangères. Il a, donc, rappelé l’organisation de différentes sessions à l’Académie du Royaume, portant sur différents continents, notant que ces colloques stimulent l’intérêt de bon nombre de chercheurs et historiens du monde. M. Kenbib est professeur émérite de l’Université Mohammed V de Rabat et docteur d’Etat de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. Ses recherches portent, surtout, sur l’Histoire contemporaine marocaine au crible des relations internationales.
Professeur-visiteur à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, M. Kenbib a également enseigné à Oxford en qualité de «Senior Associate Professor», et aux Etats-Unis en tant que «Fulbright Scholar in Residence». Il a été directeur scientifique des Rendez-Vous de l’Histoire (Rabat, 2004-2008), consultant près le président du Conseil national des droits de l’Homme (2011-2013) et conseiller culturel à l’ambassade du Maroc à Paris (1997-2001). Il est membre du conseil scientifique de l’Institut du Monde Arabe (Paris).
L’Institut Royal pour la Recherche sur l’Histoire du Maroc est une entité scientifique chargée, notamment, d’activer, d’approfondir et de promouvoir la recherche sur l’Histoire du Maroc portant sur le passé proche et lointain du pays, en vue d’ancrer l’identité nationale et de raffermir la mémoire collective, de diffuser la connaissance historique et de veiller à des publications à destination des chercheurs, du grand public et également de la jeunesse et de l’enfance.
L’enseignement de l’Histoire est une opportunité pour approfondir les bases et les connaissances historiques, a dit M. Lahjomri, notant que la Constitution marocaine stipule dans son préambule que le Maroc «entend préserver, dans sa plénitude et sa diversité, son identité nationale, qui est une et indivisible». De son côté, M. Kenbib a fait part de sa fierté de la confiance placée en lui par le Souverain en le nommant à la tête de l’Institut Royal de Recherche sur l’Histoire du Maroc, rappelant l’importance accordée par le Royaume à l’ouverture sur les cultures étrangères. Il a, donc, rappelé l’organisation de différentes sessions à l’Académie du Royaume, portant sur différents continents, notant que ces colloques stimulent l’intérêt de bon nombre de chercheurs et historiens du monde. M. Kenbib est professeur émérite de l’Université Mohammed V de Rabat et docteur d’Etat de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. Ses recherches portent, surtout, sur l’Histoire contemporaine marocaine au crible des relations internationales.
Professeur-visiteur à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, M. Kenbib a également enseigné à Oxford en qualité de «Senior Associate Professor», et aux Etats-Unis en tant que «Fulbright Scholar in Residence». Il a été directeur scientifique des Rendez-Vous de l’Histoire (Rabat, 2004-2008), consultant près le président du Conseil national des droits de l’Homme (2011-2013) et conseiller culturel à l’ambassade du Maroc à Paris (1997-2001). Il est membre du conseil scientifique de l’Institut du Monde Arabe (Paris).
L’Institut Royal pour la Recherche sur l’Histoire du Maroc est une entité scientifique chargée, notamment, d’activer, d’approfondir et de promouvoir la recherche sur l’Histoire du Maroc portant sur le passé proche et lointain du pays, en vue d’ancrer l’identité nationale et de raffermir la mémoire collective, de diffuser la connaissance historique et de veiller à des publications à destination des chercheurs, du grand public et également de la jeunesse et de l’enfance.
Séminaire : L’Histoire du Maroc, une épopée jalonnée de dates phares
« La recherche historique sur le Maroc : esquisse de bilan et perspectives ». Tel est l’intitulé du récent séminaire qui s’est tenu, jeudi dernier à l’Institut Royal pour la recherche sur l’Histoire du Maroc, sis à la Capitale du Royaume. Cette rencontre chargée de symboles patriotiques a permis à l’historien Mohammed Kenbib, directeur de l’Institut, de passer en revue les temps forts de l’Histoire du pays au gré des dynasties qui s’y sont succédé en s’arrêtant plus longuement sur ses dates phares, telles que sa libération du carcan du protectorat français. Cet événement reflète tout particulièrement la détermination de l’organisateur Mohammed Kenbib à faire reculer les frontières de l’Histoire, perçue comme une science collective, et à démystifier des termes qui peuvent paraître flous pour d’aucuns, tels que le passé, l’oubli, la mémoire, les traditions, etc. De même, notre protagoniste s’est enhardi à élargir le champ de la recherche. Dans son intervention, l’historien appelle à une dynamique d’interactivité entre tous les acteurs de l’Histoire par le biais des livres, des magazines et des réseaux sociaux. De plus, ce connaisseur des jalons de l’épopée historique et patriotique marocaine arrive à la conclusion manifeste selon laquelle l’Histoire est une discipline qui se situe au carrefour de tous les domaines de la vie, des sciences exactes aux sciences humaines et politiques, en passant par le sport, et les défis stratégiques et technologiques auxquels notre monde est confronté.
L’Histoire, ce terme fourre-tout, est aussi une bouée de sauvetage contre l’oubli de nos repères identitaires multimillénaires.
En somme, M. Kenbib met à nu la mémoire sélective de certains pays voisins ou lointains en pointant du doigt leur omission, volontaire ou non, de l’identité sahraouie marocaine qui plonge ses racines dans les entrailles de l’Histoire.
L’Histoire, ce terme fourre-tout, est aussi une bouée de sauvetage contre l’oubli de nos repères identitaires multimillénaires.
En somme, M. Kenbib met à nu la mémoire sélective de certains pays voisins ou lointains en pointant du doigt leur omission, volontaire ou non, de l’identité sahraouie marocaine qui plonge ses racines dans les entrailles de l’Histoire.
Rétrospective : Les provinces méridionales marocaines au gré de l’Histoire
Il y a quelques mois, l’Institut Royal de Recherche sur l’Histoire du Maroc, rattaché à l’Académie du Royaume du Maroc, a organisé une conférence scientifique dispensée par l’historien Jilali El Adnani sur «La marocanité du Sahara à travers les archives et les documents marocains et étrangers».
Le conférencier a, à cette occasion, jeté la lumière sur l’importance des archives qui prouvent la Marocanité du Sahara et montrent les liens historiques unissant les tribus sahraouies et les Sultans et Rois du Maroc à travers le temps. Il a, en outre, fourni aux chercheurs et aux diplomates des faits et mécanismes pour les aider à comprendre l’intégralité de la question du Sahara. Lors de cette rencontre, qui s’est déroulée en présence de l’historien Mohammed Kenbib, et d’une kyrielle d’universitaires et d’étudiants chercheurs intéressés par l’Histoire du Maroc, le conférencier a examiné une série d’archives et de documents étrangers exposant les témoignages et la correspondance historique de nombreux acteurs politiques étrangers qui ont reconnu la souveraineté du Maroc sur ses provinces méridionales. Le processus de recherche des documents et des archives prouvant la souveraineté du Maroc sur son Sahara a pris environ 20 ans de travail à l’historien. Il s’agit de documents et de lettres qui prouvent la marocanité du Sahara et défendent l’intégrité territoriale du Royaume, a précisé le professeur. Jilali El Adnani est écrivain et professeur d’Histoire à l’Université Mohammed V de Rabat (Faculté des Lettres et des Sciences humaines). Il compte à son actif plusieurs ouvrages, dont «Le Sahara à l’épreuve de la colonisation : un nouveau regard sur les questions territoriales» et «Anthropologie religieuse et colonisation : le dilemme de la modernisation».
Le conférencier a, à cette occasion, jeté la lumière sur l’importance des archives qui prouvent la Marocanité du Sahara et montrent les liens historiques unissant les tribus sahraouies et les Sultans et Rois du Maroc à travers le temps. Il a, en outre, fourni aux chercheurs et aux diplomates des faits et mécanismes pour les aider à comprendre l’intégralité de la question du Sahara. Lors de cette rencontre, qui s’est déroulée en présence de l’historien Mohammed Kenbib, et d’une kyrielle d’universitaires et d’étudiants chercheurs intéressés par l’Histoire du Maroc, le conférencier a examiné une série d’archives et de documents étrangers exposant les témoignages et la correspondance historique de nombreux acteurs politiques étrangers qui ont reconnu la souveraineté du Maroc sur ses provinces méridionales. Le processus de recherche des documents et des archives prouvant la souveraineté du Maroc sur son Sahara a pris environ 20 ans de travail à l’historien. Il s’agit de documents et de lettres qui prouvent la marocanité du Sahara et défendent l’intégrité territoriale du Royaume, a précisé le professeur. Jilali El Adnani est écrivain et professeur d’Histoire à l’Université Mohammed V de Rabat (Faculté des Lettres et des Sciences humaines). Il compte à son actif plusieurs ouvrages, dont «Le Sahara à l’épreuve de la colonisation : un nouveau regard sur les questions territoriales» et «Anthropologie religieuse et colonisation : le dilemme de la modernisation».
Pionnières : Une astronome marocaine tutoie les étoiles
Native de la Cité blanche du Royaume en 1969, Merieme Chadid est une astronome, exploratrice et chercheuse en Antarctique. Aussi, enseigne-t-elle à l’Université Côte d’Azur et à l’Université Nice-Sophia-Antipolis, à l’Hexagone. Chadid, l’astronome de l’extrême, dirige, en sus, des expéditions scientifiques au cœur de l’Antarctique dans l’optique d’installer un Observatoire de l’Univers. Merieme Chadid a grandi dans une famille modeste à Casablanca. Son rêve de devenir astronome a germé chez-elle dès l’âge de douze ans. Après avoir décroché une maîtrise de physique à Casablanca, elle s’est établie à Toulouse, en France, où elle a soutenu un doctorat en astronomie et études spatiales à l’Université Paul Sabatier en 1996. Sa spécialité ? L’explication des ondes de choc hypersoniques dans les étoiles variables pulsantes. Elle intègre, de ce fait, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) à Montpellier, puis l’Observatoire européen austral (ESO) au Chili. Elle a alors œuvré à l’installation du Very Large Telescope (VLT) dans le désert d’Atacama au Chili, avant de rejoindre en 2002 les Universités publiques en France. Merieme Chadid est en outre dotée de l’Habilitation universitaire à diriger des recherches, la plus haute qualification académique, de l’Université Nice-Sophia-Antipolis. Elle est également diplômée de la John F. Kennedy School of Government de l’Université de Harvard (États-Unis), où elle a acquis une formation dans les domaines du développement international, de la gouvernance et du leadership public.