Rachid Nekkaz, malgré son atteinte d’un cancer de la prostate a, en effet, été récemment transféré, sur instructions militaires adressées à une justice aux ordres, vers la terrible prison Labiadh Sidi Cheikh, située en plein désert dans le grand Sud algérien. Auparavant et depuis plus d’une année, il était en détention préventive dans le pénitencier de Kolea, à Tipaza, à l’ouest d’Alger.
Dans sa nouvelle prison qu’il a atteint au bout d’un trajet de neuf heures, sous haute surveillance de la gendarmerie, avec les poings menottés, l’homme parle d’une cellule froide de 2m sur 2, dénuée des moindres conditions d’une détention digne et humaine. De surcroît, l’hôpital le plus proche de cette prison est à une distance de 125 kilomètres. Ce qui le pousse à la comparer au bagne de Tazmamart dans une lettre filtrée par ses avocats.
Connu pour son tempérament de trublion, limite farceur, Nekkaz s’était distingué en France au lendemain de la promulgation de la loi anti-burka en payant les amendes des musulmanes verbalisées. Il a récemment refait le coup en proposant de financer l’alimentation de ses codétenus de la prison de Kolea en raison de l’indigence du régime alimentaire en vigueur dans les prisons algériennes.
Dans sa nouvelle prison qu’il a atteint au bout d’un trajet de neuf heures, sous haute surveillance de la gendarmerie, avec les poings menottés, l’homme parle d’une cellule froide de 2m sur 2, dénuée des moindres conditions d’une détention digne et humaine. De surcroît, l’hôpital le plus proche de cette prison est à une distance de 125 kilomètres. Ce qui le pousse à la comparer au bagne de Tazmamart dans une lettre filtrée par ses avocats.
Connu pour son tempérament de trublion, limite farceur, Nekkaz s’était distingué en France au lendemain de la promulgation de la loi anti-burka en payant les amendes des musulmanes verbalisées. Il a récemment refait le coup en proposant de financer l’alimentation de ses codétenus de la prison de Kolea en raison de l’indigence du régime alimentaire en vigueur dans les prisons algériennes.