Le rapport a révélé que le nombre de personnes touchées par la faim dans le monde a augmenté pour atteindre jusqu’à 828 millions en 2021, soit une hausse d’environ 46 millions par rapport à 2020 et de 150 millions depuis l’apparition de la pandémie de Covid-19.
Selon la même source, le monde s'éloigne de son objectif d'éliminer la faim, l'insécurité alimentaire et la malnutrition sous toutes ses formes d'ici 2030, étant donné que près de 670 millions de personnes (8 % de la population mondiale) souffrent toujours de la faim en 2030, même en cas de redressement économique mondial.
Le rapport a été publiée conjointement par le Programme alimentaire mondial (PAM) et le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le Fonds international de développement agricole (FIDA) et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
« Le présent rapport met en lumière de manière récurrente l’intensification des principaux facteurs d’insécurité alimentaire et de malnutrition : les conflits, les phénomènes climatiques extrêmes et les chocs économiques, dont les effets se conjuguent à ceux de l’accroissement des inégalités », ont écrit les dirigeants des cinq organismes des Nations Unies dans l’avant-propos du rapport.
« L’enjeu n’est pas de savoir si d’autres épreuves nous attendent ou non, mais de prendre les choses en main avec plus de courage et renforcer la résilience face à l’adversité », ont ajouté dans le même sens.
Selon la même source, le monde s'éloigne de son objectif d'éliminer la faim, l'insécurité alimentaire et la malnutrition sous toutes ses formes d'ici 2030, étant donné que près de 670 millions de personnes (8 % de la population mondiale) souffrent toujours de la faim en 2030, même en cas de redressement économique mondial.
Le rapport a été publiée conjointement par le Programme alimentaire mondial (PAM) et le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le Fonds international de développement agricole (FIDA) et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
« Le présent rapport met en lumière de manière récurrente l’intensification des principaux facteurs d’insécurité alimentaire et de malnutrition : les conflits, les phénomènes climatiques extrêmes et les chocs économiques, dont les effets se conjuguent à ceux de l’accroissement des inégalités », ont écrit les dirigeants des cinq organismes des Nations Unies dans l’avant-propos du rapport.
« L’enjeu n’est pas de savoir si d’autres épreuves nous attendent ou non, mais de prendre les choses en main avec plus de courage et renforcer la résilience face à l’adversité », ont ajouté dans le même sens.