Au fil des mois, une tendance alarmante se dessine dans le paysage économique du Maroc, entraînant une augmentation significative des cas de faillite des entreprises. Une récente étude, menée par ” Allianz Trade”, pointe du doigt cette situation préoccupante, prévoyant une hausse de 13% des cas de faillite par rapport à l'année précédente. Si cette projection se matérialise, le nombre d'entreprises en difficulté passerait de 14.200 à 16.100, mettant en lumière les défis économiques auxquels est confronté le royaume.
Cette hausse spectaculaire fait suite à une année 2021 marquée par une augmentation record de 59% des cas de faillite, survenue peu après le début de la pandémie de Covid-19. Les répercussions de cette crise sanitaire mondiale continuent donc de se faire sentir de manière significative sur l'économie nationale, exacerbant les fragilités structurelles déjà présentes.
L'étude identifie plusieurs facteurs contribuant à cette détérioration de la situation des entreprises marocaines. En premier lieu, les conséquences économiques directes de la pandémie, telles que les restrictions de mobilité, les fermetures d'entreprises et les perturbations des chaînes d'approvisionnement, ont exercé une pression supplémentaire sur des entreprises déjà fragilisées. De plus, les variations climatiques, l'inflation galopante et l'augmentation des délais de performance ont également été citées comme des facteurs aggravants.
Parmi les principaux signaux d'alerte relevés par l'étude figurent le retard dans les délais de performance, la baisse des revenus et le manque de liquidités financières. Ces indicateurs rendent les entreprises plus vulnérables à la faillite, d'autant plus dans un contexte de hausse généralisée des prix, d'inflation et de risques accrus liés à une performance économique dégradée.
Le constat est d'autant plus préoccupant que le taux de faillite au Maroc dépasse de loin la moyenne mondiale, dépassant les 9%. Cette situation soulève des interrogations légitimes quant aux raisons sous-jacentes à cette tendance, en particulier concernant les petites et moyennes entreprises, souvent les plus durement touchées.
Les prévisions pour les années à venir ne laissent guère entrevoir une amélioration immédiate de la situation. Si une stabilisation est envisagée l'année prochaine, les cas de faillite devraient continuer à augmenter dans un avenir proche, plongeant ainsi l'économie marocaine dans une période d'incertitude et de fragilité accrues. Face à ces défis, des mesures efficaces et ciblées seront nécessaires pour soutenir les entreprises en difficulté et favoriser une reprise économique durable.
Cette hausse spectaculaire fait suite à une année 2021 marquée par une augmentation record de 59% des cas de faillite, survenue peu après le début de la pandémie de Covid-19. Les répercussions de cette crise sanitaire mondiale continuent donc de se faire sentir de manière significative sur l'économie nationale, exacerbant les fragilités structurelles déjà présentes.
L'étude identifie plusieurs facteurs contribuant à cette détérioration de la situation des entreprises marocaines. En premier lieu, les conséquences économiques directes de la pandémie, telles que les restrictions de mobilité, les fermetures d'entreprises et les perturbations des chaînes d'approvisionnement, ont exercé une pression supplémentaire sur des entreprises déjà fragilisées. De plus, les variations climatiques, l'inflation galopante et l'augmentation des délais de performance ont également été citées comme des facteurs aggravants.
Parmi les principaux signaux d'alerte relevés par l'étude figurent le retard dans les délais de performance, la baisse des revenus et le manque de liquidités financières. Ces indicateurs rendent les entreprises plus vulnérables à la faillite, d'autant plus dans un contexte de hausse généralisée des prix, d'inflation et de risques accrus liés à une performance économique dégradée.
Le constat est d'autant plus préoccupant que le taux de faillite au Maroc dépasse de loin la moyenne mondiale, dépassant les 9%. Cette situation soulève des interrogations légitimes quant aux raisons sous-jacentes à cette tendance, en particulier concernant les petites et moyennes entreprises, souvent les plus durement touchées.
Les prévisions pour les années à venir ne laissent guère entrevoir une amélioration immédiate de la situation. Si une stabilisation est envisagée l'année prochaine, les cas de faillite devraient continuer à augmenter dans un avenir proche, plongeant ainsi l'économie marocaine dans une période d'incertitude et de fragilité accrues. Face à ces défis, des mesures efficaces et ciblées seront nécessaires pour soutenir les entreprises en difficulté et favoriser une reprise économique durable.