Intervenant lors d'un panel sur "Les progrès et les défis de l'intégration économique en Afrique" organisé dans le cadre de la 5ème édition des "Journées internationales de macroéconomie et de finance" (JIMF), M. Reda Chami a insisté sur l'importance de l'intégration des pays africains pour favoriser la coopération économique et accélérer le développement durable du continent.
Rappelant que le continent exporte environ 60% de ses matières premières, M. Reda Chami a mis en évidence la nécessité pour les pays africains, dotés de ressources naturelles abondantes, d’œuvrer ensemble en adoptant une approche intégrée du développement, dans l’optique de réaliser pleinement leur potentiel de croissance économique et d'atteindre leurs objectifs de développement.
Il a, dans ce sens, mis l’accent sur la Zone de Libre Echange Continentale Africaine (ZLECAF) qui constitue une véritable opportunité pour les pays africains et un levier non seulement de croissance économique, mais un facteur d’intégration régionale effective.
M. Chami a aussi souligné l’importance de promouvoir la compétitivité des PME en Afrique, étant donné qu’elles représentent un fort potentiel d'emploi pour les jeunes du continent.
Dans la même veine, il a mis en exergue le nombre important des cadres africains hautement qualifiés qui quittent le continent chaque année, mettant l’accent sur l’impératif d’accorder une attention particulière au capital humain puisqu'il constitue un levier incontournable de développement économique.
En outre, le président du CESE a passé en revue les facteurs déterminants entravant la réalisation d'une intégration économique en Afrique, dont l’instabilité politique, les problèmes de sécurité et de gouvernance et le manque en infrastructures.
Ce panel qui a été animé par Fathallah Oualalou, membre du Conseil de Bank Al-Maghrib, a été marquée par la présence de la présidente du Conseil économique, social et environnemental du Congo, Émilienne Raoul et du président du Conseil Economique et Social de la République centrafricaine, Alfred Poloko.
Initiée par Bank Al-Maghrib, le Laboratoire de recherche en innovation, responsabilités et développement durable (INREDD) de l'Université Cadi Ayyad de Marrakech et Bernoulli Center for Economics (BCE) de l’Université de Bâle, en collaboration avec le Conseil régional de Dakhla-Oued Eddahab, cette 5ème édition des JIMF placée sous le thème "Intégration économique en Afrique: La voie vers un avenir plus prospère" vise à explorer les enjeux et les opportunités de l’intégration économique en Afrique et à formuler des recommandations visant à renforcer davantage cette intégration, tout en favorisant la prospérité et le développement durable et inclusif du continent.
Ce forum économique tend aussi à mettre l’accent sur les défis de l'intégration économique de l'Afrique, les opportunités et les challenges de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), ainsi que sur les expériences internationales d'intégration économique et les technologies, la recherche et l'innovation en tant que leviers de l'intégration en Afrique.
Ces journées sont rehaussées par la participation de plusieurs intervenants dont des présidents de Conseils économiques, sociaux et environnementaux et des acteurs locaux de plusieurs villes et régions du continent, ainsi que des présidents d’universités africaines de renom.
Rappelant que le continent exporte environ 60% de ses matières premières, M. Reda Chami a mis en évidence la nécessité pour les pays africains, dotés de ressources naturelles abondantes, d’œuvrer ensemble en adoptant une approche intégrée du développement, dans l’optique de réaliser pleinement leur potentiel de croissance économique et d'atteindre leurs objectifs de développement.
Il a, dans ce sens, mis l’accent sur la Zone de Libre Echange Continentale Africaine (ZLECAF) qui constitue une véritable opportunité pour les pays africains et un levier non seulement de croissance économique, mais un facteur d’intégration régionale effective.
M. Chami a aussi souligné l’importance de promouvoir la compétitivité des PME en Afrique, étant donné qu’elles représentent un fort potentiel d'emploi pour les jeunes du continent.
Dans la même veine, il a mis en exergue le nombre important des cadres africains hautement qualifiés qui quittent le continent chaque année, mettant l’accent sur l’impératif d’accorder une attention particulière au capital humain puisqu'il constitue un levier incontournable de développement économique.
En outre, le président du CESE a passé en revue les facteurs déterminants entravant la réalisation d'une intégration économique en Afrique, dont l’instabilité politique, les problèmes de sécurité et de gouvernance et le manque en infrastructures.
Ce panel qui a été animé par Fathallah Oualalou, membre du Conseil de Bank Al-Maghrib, a été marquée par la présence de la présidente du Conseil économique, social et environnemental du Congo, Émilienne Raoul et du président du Conseil Economique et Social de la République centrafricaine, Alfred Poloko.
Initiée par Bank Al-Maghrib, le Laboratoire de recherche en innovation, responsabilités et développement durable (INREDD) de l'Université Cadi Ayyad de Marrakech et Bernoulli Center for Economics (BCE) de l’Université de Bâle, en collaboration avec le Conseil régional de Dakhla-Oued Eddahab, cette 5ème édition des JIMF placée sous le thème "Intégration économique en Afrique: La voie vers un avenir plus prospère" vise à explorer les enjeux et les opportunités de l’intégration économique en Afrique et à formuler des recommandations visant à renforcer davantage cette intégration, tout en favorisant la prospérité et le développement durable et inclusif du continent.
Ce forum économique tend aussi à mettre l’accent sur les défis de l'intégration économique de l'Afrique, les opportunités et les challenges de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), ainsi que sur les expériences internationales d'intégration économique et les technologies, la recherche et l'innovation en tant que leviers de l'intégration en Afrique.
Ces journées sont rehaussées par la participation de plusieurs intervenants dont des présidents de Conseils économiques, sociaux et environnementaux et des acteurs locaux de plusieurs villes et régions du continent, ainsi que des présidents d’universités africaines de renom.