Pour ce qui est de la croissance de notre économie, le rapport du Chef de mission du Fonds monétaire international (FMI) pour le Maroc, Roberto Cardarelli, est édifiant. Puisque l’institution souligne que cette croissance devrait s’établir autour de 3% en 2022.
Selon lui, la reprise économique devrait se poursuivre au cours des prochaines années, malgré les séquelles de la pandémie, ceci compte tenu de l’hypothèse d’une campagne agricole moyenne et d’une poursuite de la reprise des activités non agricoles.
De son côté, Comité de Coordination et de Surveillance des Risques Systémiques (CCSRS), au terme de sa 14ème session, et après avoir examiné la situation du système financier, au regard des tendances économiques et financières, observées et attendues, relève que la consolidation de la croissance est attendue en 2022 et 2023.
Pour ce qui est des finances publiques, le CCSRS estime que le déficit budgétaire devrait s’atténuer graduellement à 6,3% du PIB en 2022 et puis à 5,8% en 2023 mais le niveau de la dette resterait élevé, notant que ces analyses demeurent, toutefois, empreintes d’incertitudes en lien avec l’évolution de la situation sanitaire aux plans national et international.
Projections du financement extérieur
Concernant la position extérieure, le déficit du compte courant devrait, selon les prévisions de Bank Al-Maghrib, se creuser à 5,3% du PIB en 2022 avant de s’alléger à 4,9% en 2023, tandis que le niveau des avoirs officiels de réserve permettrait, en tenant compte notamment des projections du financement extérieur du Trésor, la couverture de plus de 6 mois et 20 jours d’importations de biens et services.
Partant de ces données, il faut dire que l’économie nationale a fait montre, au cours de l’année qui s’achève, d’une vigueur exceptionnelle dans un contexte particulier lié à la crise sanitaire, grâce notamment aux avancées enregistrées en matière de vaccination et aux résultats très positifs de la campagne agricole. L’ensemble de ses données montre la résilience de l’économie nationale et que nous tendons donc vers le bout du tunnel.
Cependant, la forte résurgence des cas de contamination Covid-19 et ses variants, notamment Omicron dans plusieurs pays partenaires du Maroc et les restrictions qui s’en suivent, ne manquent pas d’exacerber les incertitudes. Lesquelles risquent de faire de l’année 2022, celle de tous les dangers.
Selon lui, la reprise économique devrait se poursuivre au cours des prochaines années, malgré les séquelles de la pandémie, ceci compte tenu de l’hypothèse d’une campagne agricole moyenne et d’une poursuite de la reprise des activités non agricoles.
De son côté, Comité de Coordination et de Surveillance des Risques Systémiques (CCSRS), au terme de sa 14ème session, et après avoir examiné la situation du système financier, au regard des tendances économiques et financières, observées et attendues, relève que la consolidation de la croissance est attendue en 2022 et 2023.
Pour ce qui est des finances publiques, le CCSRS estime que le déficit budgétaire devrait s’atténuer graduellement à 6,3% du PIB en 2022 et puis à 5,8% en 2023 mais le niveau de la dette resterait élevé, notant que ces analyses demeurent, toutefois, empreintes d’incertitudes en lien avec l’évolution de la situation sanitaire aux plans national et international.
Projections du financement extérieur
Concernant la position extérieure, le déficit du compte courant devrait, selon les prévisions de Bank Al-Maghrib, se creuser à 5,3% du PIB en 2022 avant de s’alléger à 4,9% en 2023, tandis que le niveau des avoirs officiels de réserve permettrait, en tenant compte notamment des projections du financement extérieur du Trésor, la couverture de plus de 6 mois et 20 jours d’importations de biens et services.
Partant de ces données, il faut dire que l’économie nationale a fait montre, au cours de l’année qui s’achève, d’une vigueur exceptionnelle dans un contexte particulier lié à la crise sanitaire, grâce notamment aux avancées enregistrées en matière de vaccination et aux résultats très positifs de la campagne agricole. L’ensemble de ses données montre la résilience de l’économie nationale et que nous tendons donc vers le bout du tunnel.
Cependant, la forte résurgence des cas de contamination Covid-19 et ses variants, notamment Omicron dans plusieurs pays partenaires du Maroc et les restrictions qui s’en suivent, ne manquent pas d’exacerber les incertitudes. Lesquelles risquent de faire de l’année 2022, celle de tous les dangers.
W. S.