L’application vidéo déploie à partir du 4 juillet une nouvelle fonctionnalité, baptisée «pause de temps d’écran». Cet outil permet «de contrôler le temps passé sur TikTok» après une «période de temps d’écran ininterrompu», détaille l’entreprise dans un Tweet publié le 4 juillet. Il est désormais possible pour chacun de définir son temps d’écran maximal d’une seule et même session d’utilisation.
La fonctionnalité permet de choisir entre 10, 20 ou 30 minutes d’utilisation ininterrompue ou encore, une durée personnalisée. Lorsque la durée de temps choisie préalablement est atteinte, une notification rappelle la nécessité de faire une pause pour « aider à faire attention et trouver son équilibre sur Tik Tok », précise l’entreprise. Mais malheureusement, cette option est désactivée par défaut, et c’est à l’utilisateur de l’activer manuellement via les paramètres.
Cette nouvelle fonctionnalité avait été annoncée début juin. Elle complète les premières mesures déjà prises pour appeler à la déconnexion. Il est par exemple possible de définir également un temps d’utilisation quotidien de l’appli. Dans la même perspective, Tik- Tok a lancé la fonctionnalité « tableau de bord ».
Il permet d’afficher le temps quotidien passé sur l’application, le détail de l’utilisation entre le jour et la nuit, mais aussi le nombre d’ouverture de l’application. TikTok avait annoncé vouloir décliner des messages hebdomadaires à destination de ses plus jeunes membres.
L’application affirme dans ce sens que « lorsqu’un utilisateur âgé de 13 à 17 ans aura utilisé l’application pendant plus de 100 minutes en une seule journée, nous lui rappellerons la possibilité d’accéder à notre outil de limitation du temps d’écran la prochaine fois qu’il ouvrira l’application ».
Il y a un an, l’application chinoise a dépassé le milliard d’utilisateurs, s’imposant rapidement comme un acteur majeur du réseau social. Selon le cabinet App Annie, TikTok est l’application la plus téléchargée en 2020, avec le temps de streaming le plus long entre toutes les autres applications. C’est pourquoi les associations de parents et les professionnels de santé dénoncent régulièrement les effets d’addictions que les plateformes provoquent via leurs algorithmes de recommandations.
Aux Etats-Unis, des plaintes ont récemment été déposées contre Facebook et Instagram, accusés de rendre délibérément les jeunes accros.
La fonctionnalité permet de choisir entre 10, 20 ou 30 minutes d’utilisation ininterrompue ou encore, une durée personnalisée. Lorsque la durée de temps choisie préalablement est atteinte, une notification rappelle la nécessité de faire une pause pour « aider à faire attention et trouver son équilibre sur Tik Tok », précise l’entreprise. Mais malheureusement, cette option est désactivée par défaut, et c’est à l’utilisateur de l’activer manuellement via les paramètres.
Cette nouvelle fonctionnalité avait été annoncée début juin. Elle complète les premières mesures déjà prises pour appeler à la déconnexion. Il est par exemple possible de définir également un temps d’utilisation quotidien de l’appli. Dans la même perspective, Tik- Tok a lancé la fonctionnalité « tableau de bord ».
Il permet d’afficher le temps quotidien passé sur l’application, le détail de l’utilisation entre le jour et la nuit, mais aussi le nombre d’ouverture de l’application. TikTok avait annoncé vouloir décliner des messages hebdomadaires à destination de ses plus jeunes membres.
L’application affirme dans ce sens que « lorsqu’un utilisateur âgé de 13 à 17 ans aura utilisé l’application pendant plus de 100 minutes en une seule journée, nous lui rappellerons la possibilité d’accéder à notre outil de limitation du temps d’écran la prochaine fois qu’il ouvrira l’application ».
Il y a un an, l’application chinoise a dépassé le milliard d’utilisateurs, s’imposant rapidement comme un acteur majeur du réseau social. Selon le cabinet App Annie, TikTok est l’application la plus téléchargée en 2020, avec le temps de streaming le plus long entre toutes les autres applications. C’est pourquoi les associations de parents et les professionnels de santé dénoncent régulièrement les effets d’addictions que les plateformes provoquent via leurs algorithmes de recommandations.
Aux Etats-Unis, des plaintes ont récemment été déposées contre Facebook et Instagram, accusés de rendre délibérément les jeunes accros.
Y. ELALAMI
