À l'occasion du 26ème anniversaire de la disparition de Feu Hassan II, un retour sur l'histoire de ce Roi visionnaire, qui a profondément marqué le Maroc d'aujourd'hui et la scène internationale, s'impose.
Le 23 juillet 1999, le Maroc fut frappé par la disparition de son Roi emblématique, le défunt Hassan II, après près de quatre décennies de règne. La nouvelle se propagea rapidement à travers le Royaume, du Palais Royal de Rabat jusqu'aux confins du Sahara, plongeant le pays dans un deuil abyssal.
Neuf jours auparavant, le défunt Roi avait marqué l'Histoire en assistant au défilé du 14 juillet à Paris, où la Garde Royale marocaine avait paradé sur les Champs-Élysées, un geste diplomatique sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale. Ce fut le dernier acte public de Feu Hassan II, comme un ultime témoignage de Son habileté sur la scène internationale.
À Paris, Jacques Chirac, ami proche du défunt Roi, exprima une profonde tristesse, déclarant selon l'AFP : "C'est un grand Roi qui disparaît, un ami de la France". Le Quai d'Orsay s'interrogeait sur l'avenir des relations franco-marocaines, Le Monde rapportant que "la disparition de Hassan II laisse un vide diplomatique considérable".
Les funérailles à Rabat attirèrent une pléiade de dirigeants mondiaux, transformant la capitale en épicentre diplomatique. La cérémonie, empreinte de solennité, incarnait l'Histoire du Maroc moderne. Le Financial Times décrivit la scène comme "un rassemblement sans précédent de dirigeants mondiaux, témoignant de l'importance géopolitique du Maroc sous Hassan II".
Hassan II laissait derrière Lui un Maroc transformé, ayant su concilier tradition et modernité, et s'imposer sur l'échiquier mondial. Sa mort suscita une vive émotion dans les chancelleries, où Il était considéré comme un pilier de stabilité régionale et un interlocuteur précieux.
Le Washington Post qualifia le défunt Roi de "Monarque visionnaire qui a guidé son pays vers la modernité tout en maintenant ses traditions". Le journal espagnol El País mit en avant "le rôle crucial joué par Hassan II dans les relations entre l'Europe et le monde arabe".
Malgré la tristesse, l'avènement de Sa Majesté le Roi Mohammed VI laissait entrevoir un vent de renouveau. Le Maroc tournait une page de son Histoire, tout en promettant une continuité dans le changement. Der Spiegel nota que "le jeune Roi Mohammed VI hérite d'un pays stable mais confronté à de nombreux défis sociaux et économiques".
La mort de Hassan II marquait ainsi non pas une fin, mais une transition vers une nouvelle ère, porteuse d'espoirs et de défis pour le Royaume et ses partenaires internationaux. Comme le résuma The Economist, "la fin du règne de Hassan II ouvre un chapitre incertain mais prometteur pour le Maroc, à l'aube du 21ème siècle".
Les observateurs internationaux s'accordaient sur l'héritage considérable laissé par ce grand Monarque. Son règne avait été marqué par des réalisations majeures, notamment dans le domaine des infrastructures et de la diplomatie. Le quotidien algérien El Watan, malgré les tensions entre les deux pays, reconnut que "Hassan II avait su faire du Maroc un acteur incontournable sur la scène régionale et internationale".
La presse internationale souligna également le rôle crucial de Hassan II dans le processus de paix au Moyen-Orient. Le Jerusalem Post rappela "son rôle de médiateur discret mais efficace entre Israël et ses voisins arabes", tandis que le quotidien égyptien Al-Ahram mettait en avant "Sa contribution à la stabilité régionale".
La transition vers le règne de Mohammed VI fut largement commentée. Le quotidien canadien The Globe and Mail nota que "le nouveau Roi héritait d'un pays stable, progressiste et en pleine mutation", tandis que Le Figaro évoquait "l'espoir d'une modernisation accélérée sous l'impulsion du jeune Monarque".
Ainsi, la disparition de Hassan II ne marquait pas seulement la fin d’un règne, mais le passage d’un relais symbolique dans l’histoire d’un état millénaire. Monarque à la croisée de deux époques, Il sut inscrire le Royaume dans la modernité tout en préservant son identité profonde. Son héritage perdure, non seulement dans les infrastructures et institutions qu’Il a façonnées, mais aussi dans la continuité du projet national porté par Son successeur, Mohammed VI. À travers ce fil historique, le Maroc poursuit son évolution, entre tradition et réforme, confirmant que chaque chapitre de son histoire est un tremplin vers l’avenir.
Le 23 juillet 1999, le Maroc fut frappé par la disparition de son Roi emblématique, le défunt Hassan II, après près de quatre décennies de règne. La nouvelle se propagea rapidement à travers le Royaume, du Palais Royal de Rabat jusqu'aux confins du Sahara, plongeant le pays dans un deuil abyssal.
Neuf jours auparavant, le défunt Roi avait marqué l'Histoire en assistant au défilé du 14 juillet à Paris, où la Garde Royale marocaine avait paradé sur les Champs-Élysées, un geste diplomatique sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale. Ce fut le dernier acte public de Feu Hassan II, comme un ultime témoignage de Son habileté sur la scène internationale.
À Paris, Jacques Chirac, ami proche du défunt Roi, exprima une profonde tristesse, déclarant selon l'AFP : "C'est un grand Roi qui disparaît, un ami de la France". Le Quai d'Orsay s'interrogeait sur l'avenir des relations franco-marocaines, Le Monde rapportant que "la disparition de Hassan II laisse un vide diplomatique considérable".
Les funérailles à Rabat attirèrent une pléiade de dirigeants mondiaux, transformant la capitale en épicentre diplomatique. La cérémonie, empreinte de solennité, incarnait l'Histoire du Maroc moderne. Le Financial Times décrivit la scène comme "un rassemblement sans précédent de dirigeants mondiaux, témoignant de l'importance géopolitique du Maroc sous Hassan II".
Hassan II laissait derrière Lui un Maroc transformé, ayant su concilier tradition et modernité, et s'imposer sur l'échiquier mondial. Sa mort suscita une vive émotion dans les chancelleries, où Il était considéré comme un pilier de stabilité régionale et un interlocuteur précieux.
Le Washington Post qualifia le défunt Roi de "Monarque visionnaire qui a guidé son pays vers la modernité tout en maintenant ses traditions". Le journal espagnol El País mit en avant "le rôle crucial joué par Hassan II dans les relations entre l'Europe et le monde arabe".
Malgré la tristesse, l'avènement de Sa Majesté le Roi Mohammed VI laissait entrevoir un vent de renouveau. Le Maroc tournait une page de son Histoire, tout en promettant une continuité dans le changement. Der Spiegel nota que "le jeune Roi Mohammed VI hérite d'un pays stable mais confronté à de nombreux défis sociaux et économiques".
La mort de Hassan II marquait ainsi non pas une fin, mais une transition vers une nouvelle ère, porteuse d'espoirs et de défis pour le Royaume et ses partenaires internationaux. Comme le résuma The Economist, "la fin du règne de Hassan II ouvre un chapitre incertain mais prometteur pour le Maroc, à l'aube du 21ème siècle".
Les observateurs internationaux s'accordaient sur l'héritage considérable laissé par ce grand Monarque. Son règne avait été marqué par des réalisations majeures, notamment dans le domaine des infrastructures et de la diplomatie. Le quotidien algérien El Watan, malgré les tensions entre les deux pays, reconnut que "Hassan II avait su faire du Maroc un acteur incontournable sur la scène régionale et internationale".
La presse internationale souligna également le rôle crucial de Hassan II dans le processus de paix au Moyen-Orient. Le Jerusalem Post rappela "son rôle de médiateur discret mais efficace entre Israël et ses voisins arabes", tandis que le quotidien égyptien Al-Ahram mettait en avant "Sa contribution à la stabilité régionale".
La transition vers le règne de Mohammed VI fut largement commentée. Le quotidien canadien The Globe and Mail nota que "le nouveau Roi héritait d'un pays stable, progressiste et en pleine mutation", tandis que Le Figaro évoquait "l'espoir d'une modernisation accélérée sous l'impulsion du jeune Monarque".
Ainsi, la disparition de Hassan II ne marquait pas seulement la fin d’un règne, mais le passage d’un relais symbolique dans l’histoire d’un état millénaire. Monarque à la croisée de deux époques, Il sut inscrire le Royaume dans la modernité tout en préservant son identité profonde. Son héritage perdure, non seulement dans les infrastructures et institutions qu’Il a façonnées, mais aussi dans la continuité du projet national porté par Son successeur, Mohammed VI. À travers ce fil historique, le Maroc poursuit son évolution, entre tradition et réforme, confirmant que chaque chapitre de son histoire est un tremplin vers l’avenir.
Bio : Hassan II, Roi stratège et bâtisseur du Maroc contemporain
Feu Hassan II, qui régna de 1961 à 1999, façonna un Maroc moderne en conjuguant tradition et progrès. Héritier d’une Monarchie millénaire, Il consolida les bases de la Monarchie alaouite tout en ouvrant la voie à des réformes ambitieuses. Son règne marqua une période de stabilité dans une région souvent troublée.
Dès Son accession au Trône, Hassan II fit de la souveraineté nationale une priorité. L'un des moments les plus marquants fut l’organisation de la Marche Verte en 1975. Cet événement rassembla 350.000 volontaires pacifiques pour affirmer la réintégration des provinces sahariennes sous la souveraineté marocaine, renforçant l’unité nationale. Ce succès diplomatique accroît la reconnaissance du Maroc sur la scène internationale.
Hassan II lança d’importants projets de développement, notamment à travers une politique ambitieuse de construction de barrages. Dès le début de Son règne, Il mit en avant cette stratégie hydraulique pour garantir la sécurité alimentaire et soutenir l’agriculture marocaine. Cette « politique des barrages » permit la modernisation du secteur agricole en assurant un approvisionnement en eau durable.
Dans les années 80 et 90, Hassan II encouragea l’industrialisation en attirant les investissements étrangers et en développant des secteurs comme le textile et l’exploitation minière. Casablanca devint alors un centre économique majeur, accueillant des infrastructures stratégiques telles que le port de Casablanca et l’aéroport Mohammed V, contribuant au rayonnement économique du pays.
Sur le plan diplomatique, le défunt Roi entretint des relations privilégiées avec les États-Unis et la France et joua un rôle charnière dans les efforts de paix au Proche-Orient.
Hassan II préserva l’unité nationale et la Monarchie comme institution centrale. Dans les années 90, Il engagea des réformes politiques progressives, ouvrant la voie à un Maroc plus progressiste.
L’héritage de Feu Hassan II demeure tangible aujourd’hui. Le Maroc actuel, stable et doté d’infrastructures modernes, porte la marque de Son règne.
Dès Son accession au Trône, Hassan II fit de la souveraineté nationale une priorité. L'un des moments les plus marquants fut l’organisation de la Marche Verte en 1975. Cet événement rassembla 350.000 volontaires pacifiques pour affirmer la réintégration des provinces sahariennes sous la souveraineté marocaine, renforçant l’unité nationale. Ce succès diplomatique accroît la reconnaissance du Maroc sur la scène internationale.
Hassan II lança d’importants projets de développement, notamment à travers une politique ambitieuse de construction de barrages. Dès le début de Son règne, Il mit en avant cette stratégie hydraulique pour garantir la sécurité alimentaire et soutenir l’agriculture marocaine. Cette « politique des barrages » permit la modernisation du secteur agricole en assurant un approvisionnement en eau durable.
Dans les années 80 et 90, Hassan II encouragea l’industrialisation en attirant les investissements étrangers et en développant des secteurs comme le textile et l’exploitation minière. Casablanca devint alors un centre économique majeur, accueillant des infrastructures stratégiques telles que le port de Casablanca et l’aéroport Mohammed V, contribuant au rayonnement économique du pays.
Sur le plan diplomatique, le défunt Roi entretint des relations privilégiées avec les États-Unis et la France et joua un rôle charnière dans les efforts de paix au Proche-Orient.
Hassan II préserva l’unité nationale et la Monarchie comme institution centrale. Dans les années 90, Il engagea des réformes politiques progressives, ouvrant la voie à un Maroc plus progressiste.
L’héritage de Feu Hassan II demeure tangible aujourd’hui. Le Maroc actuel, stable et doté d’infrastructures modernes, porte la marque de Son règne.
Réalisations : L'Héritage hydraulique de Hassan II ou le Maroc des barrages
Dans l’Histoire moderne du Maroc, peu de figures ont marqué le paysage national aussi profondément que Feu Sa Majesté Hassan II. Son règne, qui s'étend sur près de quatre décennies, a été jalonné de réalisations monumentales, mais c'est peut-être dans le domaine de la politique hydraulique que Son empreinte demeure la plus indélébile.
Dès Son accession au Trône en 1961, Hassan II a fait de la maîtrise de l'eau une priorité nationale. Visionnaire, Il avait compris que l'avenir du Royaume dépendrait de sa capacité à gérer cette ressource précieuse dans un pays aux climats contrastés. "Si le Maroc n'était pas un don du Nil, il serait un don de ses barrages", déclarait-Il, paraphrasant l'adage sur l'Égypte antique pour souligner l'importance cruciale de ces ouvrages d'art.
Sous Son règne, le Maroc a connu un véritable âge d'or de la construction hydraulique. Des vallées de l'Atlas aux plaines côtières, des dizaines de barrages ont vu le jour, transformant le visage du pays. Ces édifices colossaux, tels que le barrage Al Massira sur l'Oum Er-Rbia ou celui d'Al Wahda sur l'Ouergha, ne sont pas de simples ouvrages techniques. Ils incarnent la volonté Royale de dompter la nature pour servir le développement du pays.
Hassan II ne se contentait pas d'inaugurer ces réalisations. Il s'impliquait personnellement dans leur conception, multipliant les visites de chantier et les entretiens avec les ingénieurs. Ses discours sur l'importance de l'eau et de l'irrigation résonnent encore aujourd'hui comme des appels à la mobilisation nationale. "Une année de sécheresse est une année de misère", rappelait-Il souvent, justifiant ainsi les investissements massifs consentis dans ce domaine.
La politique des barrages initiée par Feu Hassan II a profondément modifié l'agriculture marocaine. Des régions autrefois arides se sont transformées en véritables greniers, contribuant à l'autosuffisance alimentaire du pays. Au-delà de l'irrigation, ces infrastructures ont également permis de développer l'hydroélectricité, participant ainsi à l'électrification du Royaume.
Aujourd'hui, alors que le changement climatique pose de nouveaux défis, l'héritage de Feu Hassan II en matière de gestion de l'eau reste plus que jamais d'actualité. Les barrages qu'Il a fait ériger continuent de jouer un rôle crucial dans l'économie et l'agriculture du pays. Ils demeurent les témoins silencieux d'une époque où un Roi visionnaire avait fait le pari de l'eau pour assurer l'avenir de son peuple.
Dès Son accession au Trône en 1961, Hassan II a fait de la maîtrise de l'eau une priorité nationale. Visionnaire, Il avait compris que l'avenir du Royaume dépendrait de sa capacité à gérer cette ressource précieuse dans un pays aux climats contrastés. "Si le Maroc n'était pas un don du Nil, il serait un don de ses barrages", déclarait-Il, paraphrasant l'adage sur l'Égypte antique pour souligner l'importance cruciale de ces ouvrages d'art.
Sous Son règne, le Maroc a connu un véritable âge d'or de la construction hydraulique. Des vallées de l'Atlas aux plaines côtières, des dizaines de barrages ont vu le jour, transformant le visage du pays. Ces édifices colossaux, tels que le barrage Al Massira sur l'Oum Er-Rbia ou celui d'Al Wahda sur l'Ouergha, ne sont pas de simples ouvrages techniques. Ils incarnent la volonté Royale de dompter la nature pour servir le développement du pays.
Hassan II ne se contentait pas d'inaugurer ces réalisations. Il s'impliquait personnellement dans leur conception, multipliant les visites de chantier et les entretiens avec les ingénieurs. Ses discours sur l'importance de l'eau et de l'irrigation résonnent encore aujourd'hui comme des appels à la mobilisation nationale. "Une année de sécheresse est une année de misère", rappelait-Il souvent, justifiant ainsi les investissements massifs consentis dans ce domaine.
La politique des barrages initiée par Feu Hassan II a profondément modifié l'agriculture marocaine. Des régions autrefois arides se sont transformées en véritables greniers, contribuant à l'autosuffisance alimentaire du pays. Au-delà de l'irrigation, ces infrastructures ont également permis de développer l'hydroélectricité, participant ainsi à l'électrification du Royaume.
Aujourd'hui, alors que le changement climatique pose de nouveaux défis, l'héritage de Feu Hassan II en matière de gestion de l'eau reste plus que jamais d'actualité. Les barrages qu'Il a fait ériger continuent de jouer un rôle crucial dans l'économie et l'agriculture du pays. Ils demeurent les témoins silencieux d'une époque où un Roi visionnaire avait fait le pari de l'eau pour assurer l'avenir de son peuple.
Commémoration : Veillée de recueillement à Rabat en hommage au Regretté Roi Hassan II
Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al-Mouminine, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid et de SA le Prince Moulay Ahmed, a présidé, dimanche au Mausolée Mohammed V à Rabat, une veillée religieuse commémorant le 26ème anniversaire de la disparition du regretté Roi Hassan II.
La cérémonie a été marquée par la récitation de versets du Saint Coran et la déclamation de panégyriques du Prophète Sidna Mohammed, que la paix et la bénédiction de Dieu soient sur Lui. Le Souverain, accompagné des Princes, S'est ensuite recueilli sur la tombe de Feu SM Hassan II.
À l'issue de cette veillée, des prières ont été élevées pour le repos de l'âme de Feu SM Hassan II et de Feu SM Mohammed V, implorant le Très-Haut d'avoir les regrettés Souverains en Sa sainte Miséricorde.
L'assistance a également prié pour que Dieu préserve et assiste Sa Majesté le Roi Mohammed VI, couronnant de succès Ses diverses actions et initiatives au service de Son peuple fidèle. Des invocations ont aussi été faites pour que le Très-Haut comble le Souverain en les personnes de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid et de l'ensemble des membres de l'Illustre Famille Royale.
Ont assisté à cette veillée le Chef du gouvernement, les présidents des deux Chambres du Parlement, les Conseillers de SM le Roi, les membres du gouvernement, les présidents des instances constitutionnelles, les officiers supérieurs de l'État-Major général des Forces Armées Royales, les représentants du corps diplomatique islamique accrédité à Rabat, ainsi que plusieurs autres éminentes personnalités civiles et militaires.
Cette commémoration solennelle témoigne de l'attachement profond du peuple marocain à la mémoire de Feu SM Hassan II et de la continuité de son œuvre à travers le règne de SM le Roi Mohammed VI.
La cérémonie a été marquée par la récitation de versets du Saint Coran et la déclamation de panégyriques du Prophète Sidna Mohammed, que la paix et la bénédiction de Dieu soient sur Lui. Le Souverain, accompagné des Princes, S'est ensuite recueilli sur la tombe de Feu SM Hassan II.
À l'issue de cette veillée, des prières ont été élevées pour le repos de l'âme de Feu SM Hassan II et de Feu SM Mohammed V, implorant le Très-Haut d'avoir les regrettés Souverains en Sa sainte Miséricorde.
L'assistance a également prié pour que Dieu préserve et assiste Sa Majesté le Roi Mohammed VI, couronnant de succès Ses diverses actions et initiatives au service de Son peuple fidèle. Des invocations ont aussi été faites pour que le Très-Haut comble le Souverain en les personnes de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid et de l'ensemble des membres de l'Illustre Famille Royale.
Ont assisté à cette veillée le Chef du gouvernement, les présidents des deux Chambres du Parlement, les Conseillers de SM le Roi, les membres du gouvernement, les présidents des instances constitutionnelles, les officiers supérieurs de l'État-Major général des Forces Armées Royales, les représentants du corps diplomatique islamique accrédité à Rabat, ainsi que plusieurs autres éminentes personnalités civiles et militaires.
Cette commémoration solennelle témoigne de l'attachement profond du peuple marocain à la mémoire de Feu SM Hassan II et de la continuité de son œuvre à travers le règne de SM le Roi Mohammed VI.
La relève : Une vision Royale pour un pays magistral
Depuis l'accession au Trône de Sa Majesté le Roi Mohammed VI en 1999, le Maroc connaît un renouveau remarquable. Alliant tradition et modernité, le Souverain a élargi les ambitions du Royaume, bâtissant sur l'héritage hydraulique de son défunt Père tout en traçant de nouvelles voies de développement.
Le Plan Maroc Vert de 2008 illustre cette vision globale, modernisant l'agriculture. L'Initiative Nationale pour le Développement Humain, lancée en 2005, lutte efficacement contre la pauvreté à travers des milliers de projets concrets améliorant les conditions de vie des plus vulnérables.
Économiquement, SM le Roi a impulsé une diversification audacieuse. Le port Tanger Med, hub logistique majeur, et l'essor de l'industrie automobile autour de Casablanca et Kénitra témoignent de cette stratégie d'ouverture. La transition énergétique, symbolisée par la centrale solaire Noor à Ouarzazate, positionne le Maroc comme leader africain des énergies renouvelables.
Sur la scène internationale, le Royaume renforce son rôle de pont entre l'Europe et l'Afrique, illustré par son retour à l'Union Africaine en 2017. La diplomatie active de Mohammed VI a permis de consolider les alliances traditionnelles tout en s'ouvrant à de nouveaux partenariats.
Les réformes constitutionnelles de 2011, élargissant les libertés individuelles et renforçant la séparation des pouvoirs, démontrent la volonté Royale de modernisation politique.
Sous le règne de SM le Roi Mohammed VI, le Maroc avance résolument, conjuguant progrès économique, justice sociale et rayonnement international, relevant avec détermination les défis du XXIe siècle.
Le Plan Maroc Vert de 2008 illustre cette vision globale, modernisant l'agriculture. L'Initiative Nationale pour le Développement Humain, lancée en 2005, lutte efficacement contre la pauvreté à travers des milliers de projets concrets améliorant les conditions de vie des plus vulnérables.
Économiquement, SM le Roi a impulsé une diversification audacieuse. Le port Tanger Med, hub logistique majeur, et l'essor de l'industrie automobile autour de Casablanca et Kénitra témoignent de cette stratégie d'ouverture. La transition énergétique, symbolisée par la centrale solaire Noor à Ouarzazate, positionne le Maroc comme leader africain des énergies renouvelables.
Sur la scène internationale, le Royaume renforce son rôle de pont entre l'Europe et l'Afrique, illustré par son retour à l'Union Africaine en 2017. La diplomatie active de Mohammed VI a permis de consolider les alliances traditionnelles tout en s'ouvrant à de nouveaux partenariats.
Les réformes constitutionnelles de 2011, élargissant les libertés individuelles et renforçant la séparation des pouvoirs, démontrent la volonté Royale de modernisation politique.
Sous le règne de SM le Roi Mohammed VI, le Maroc avance résolument, conjuguant progrès économique, justice sociale et rayonnement international, relevant avec détermination les défis du XXIe siècle.
