La détection du premier cas de variole du singe (Mpox) a provoqué une certaine panique parmi les Marocains, qui craignent une aggravation de la situation épidémiologique similaire à celle observée avec la COVID-19. Selon Dr Tayeb Hamdi, médecin et chercheur en politiques et systèmes de santé, la détection précoce de ce cas importé reflète l’efficacité des systèmes de veille, de surveillance et d’alerte mis en place au Royaume depuis le début de l’alerte sanitaire mondiale.
Ce protocole vise, d'après Dr Hamdi, à détecter les cas importés le plus rapidement possible, tout en réduisant au maximum les cas secondaires et la transmission locale. Cependant, "jusqu'à aujourd'hui, l’inquiétude n’est pas à l’agenda", rassure-t-il, tout en appelant à une vigilance accrue pour lutter contre une propagation à grande échelle du virus.
Il recommande donc de suivre les mesures d’hygiène habituelles, notamment le lavage des mains, d'éviter le contact avec des personnes présentant des symptômes similaires à ceux de la variole du singe, et de faire enquêter ces cas de manière plus approfondie par des professionnels de santé.
Au regard de Dr Tayeb Hamdi, une population sensibilisée, des professionnels de santé avisés, ainsi qu’une veille et surveillance efficaces, sont largement suffisants, notamment grâce à la prise en charge des cas détectés et aux mesures de santé publique appropriées.
Parallèlement, il appelle à la solidarité internationale dans ce contexte épidémiologique, qui pourrait s’aggraver dans plusieurs pays. Il exhorte les pays riches, qui ne sont pas confrontés à la maladie mais disposent de ressources financières, de vaccins et de tests, à partager ces moyens avec les pays africains touchés par le virus et l’épidémie, et qui manquent de vaccins, de tests et de ressources suffisantes pour freiner et contenir l’épidémie.
Pour rappel, les symptômes de la variole du singe incluent la fièvre, les céphalées, les douleurs musculaires, les adénopathies, les frissons et une fatigue générale. On observe également l’apparition de lésions et de bulles remplies de liquide sous la peau.
Ce protocole vise, d'après Dr Hamdi, à détecter les cas importés le plus rapidement possible, tout en réduisant au maximum les cas secondaires et la transmission locale. Cependant, "jusqu'à aujourd'hui, l’inquiétude n’est pas à l’agenda", rassure-t-il, tout en appelant à une vigilance accrue pour lutter contre une propagation à grande échelle du virus.
Il recommande donc de suivre les mesures d’hygiène habituelles, notamment le lavage des mains, d'éviter le contact avec des personnes présentant des symptômes similaires à ceux de la variole du singe, et de faire enquêter ces cas de manière plus approfondie par des professionnels de santé.
Au regard de Dr Tayeb Hamdi, une population sensibilisée, des professionnels de santé avisés, ainsi qu’une veille et surveillance efficaces, sont largement suffisants, notamment grâce à la prise en charge des cas détectés et aux mesures de santé publique appropriées.
Parallèlement, il appelle à la solidarité internationale dans ce contexte épidémiologique, qui pourrait s’aggraver dans plusieurs pays. Il exhorte les pays riches, qui ne sont pas confrontés à la maladie mais disposent de ressources financières, de vaccins et de tests, à partager ces moyens avec les pays africains touchés par le virus et l’épidémie, et qui manquent de vaccins, de tests et de ressources suffisantes pour freiner et contenir l’épidémie.
Pour rappel, les symptômes de la variole du singe incluent la fièvre, les céphalées, les douleurs musculaires, les adénopathies, les frissons et une fatigue générale. On observe également l’apparition de lésions et de bulles remplies de liquide sous la peau.